Abdication d'Alphonse XIII et la Seconde République
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Dans le deuxième paragraphe, le roi reconnaît qu'il a commis une erreur, mais sans malice, dit-il. Ces erreurs doivent être prises en compte : l'intrusion dans la vie politique, la catastrophe annuelle dans la guerre au Maroc et le soutien à la dictature de Primo de Rivera.
Dans le troisième paragraphe, le roi Alphonse XIII explique qu'il considère que les Espagnols pourraient maintenir leurs privilèges par droit royal et histoire dynastique. Il dit aussi qu'il souhaite s'éloigner de tout ce qui est une confrontation entre les frères, et d'éviter une guerre civile (qui se produirait environ 5 ans plus tard).
Dans le quatrième paragraphe, il dit que l'armée a suspendu le pouvoir réel, mais ne renonce pas aux droits du monarque, même s'il quitte le pays avec plein droit de choisir leur destin. Destination se terminant avec la mise en place de la Deuxième République et la guerre civile espagnole. Enfin, Alphonse XIII demanda à l'Espagne d'accepter la décision de la majorité, comme il l'a fait.
À la suite de son départ, c'est la Seconde République qui a concerné les principaux politiques, sociales et économiques.
ALPHONSE XIII. Texte politique et historiographique à but informatif car il vise les Espagnols. Son auteur a été Alphonse XIII, roi d'Espagne de 1902 à 1931, fils d'Alphonse XII et Maria Cristina. Le système de restauration est en crise avec le texte explique pourquoi le règne. En exil, le palais royal a été abandonné à cause de l'exil. Avec lui se termine la dernière période de la Restauration, caractérisée par l'instabilité socio-politique et une très forte crise économique qui a entraîné un gouvernement irréversible pour ce système. Donc, l'idée principale du texte est la reconnaissance des erreurs commises à l'époque, mais explique surtout pourquoi il a démissionné du trône.
Dans le 1er paragraphe, il dit que les élections municipales de 1931, avec les conseillers élus des municipalités, étaient en fait un vote pour la monarchie elle-même. C'est là que le roi s'est rendu compte qu'il n'avait pas de soutien populaire à cause des 50 capitales provinciales, 41 ont voté contre la monarchie. Le roi espère que ce ne serait qu'une façon de le punir, lui et la monarchie, pour les erreurs.