Bonheur, Droit et Éthique : Exploration Philosophique
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Bonheur et Plaisir
Hédonisme : Épicure de Samos est le fondateur de l'épicurisme. Selon lui, ce qui pousse les hommes à agir pour atteindre le bonheur est le plaisir. Le point de vue hédoniste est moral parce que les hommes recherchent le plaisir et fuient la douleur. L'intelligence morale est une calculatrice de l'intellect.
L'hédonisme individualiste, l'épicurisme : Recherche du plaisir, élimination de la douleur, recherche du niveau maximum de plaisir et élimination de la douleur. Fonctionne comme une intelligence calculatrice. Recette du bonheur : Ne pas craindre la mort, ni les dieux, ni le destin, n'avoir pas de désirs et consacrer du temps à philosopher.
L'hédonisme social : l'utilitarisme : Estime que les hommes sont doués de sentiments sociaux, dont la satisfaction est une source de plaisir. Ces sentiments de sympathie comptent. La sympathie nous amène à étendre à l'ensemble nos désirs de bonheur. Le but moral est de réaliser le plus grand bonheur (le plus grand plaisir) pour le plus grand nombre d'êtres vivants. Ce principe de la morale est à la fois un critère de prise de décisions rationnelles. Jeremy Bentham introduit une arithmétique des plaisirs qui reposent sur deux hypothèses :
- Le plaisir est susceptible de mesure, parce que tous les plaisirs sont de qualité égale.
- Les plaisirs de personnes différentes peuvent être comparées les unes aux autres pour atteindre un total maximum de plaisir.
Stuart Mill rejette ces hypothèses et revendique que les plaisirs diffèrent dans la quantité mais aussi dans la qualité.
L'hédonisme de la consommation : Ils croient que le bonheur est de consommer tous les produits qui offrent le plaisir sans limites ni calculs. Il est immoral du point de vue de l'utilitarisme.
Deux formes de l'utilitarisme :
- Utilitarisme de l'acte : Correction de chaque action par ses conséquences.
- Utilitarisme de la règle : Se demander si l'action à laquelle nous sommes soumis à certaines règles et d'envisager la bonté morale de ses conséquences.
Le Droit dans la Tradition Kantienne
La raison pratique : Nous sommes conscients qu'il y a des mandats spécifiques que nous suivons, que nous rendre heureux ou non si nous obéissons. Notre propre raison, c'est elle qui nous donne des lois sur la manière de se comporter et sont exprimés en commandes (impératifs). Ce qui fait qu'un homme a agi d'une manière ou d'une autre, c'est sa volonté. On distingue 3 types de règles :
- Maximum : Les règles sont pour moi.
- Impératif hypothétique : Mandat conditionné. (Si vous le souhaitez, vous) est susceptible d'être réticents à répondre à la fin. Est-ce a posteriori. Il s'agit d'un homme intéressé et matérialiste éthique utilisé comme un moyen.
- Impératif catégorique : Le devoir : la morale doit être un ensemble de règles contraignantes pour tous les individus et toutes les situations. Il s'agit d'une éthique formelle et désintéressée. Est-ce a posteriori. Aucun homme utilisé comme un moyen vers la fin.
L'autonomie et la dignité humaine : Se dit de celui qui est guidé par ses propres critères, qui ne se laisse pas emporter par ses désirs, qui ne dépend pas sur d'autres critères. Est a priori et égoïste. Les êtres humains n'ont pas de prix, ont une dignité. Sont dignes de tout respect.
Bonheur et Autonomie : L'Éthique d'Aristote
Considère que le bonheur est un homme au sens plein du terme. S'il y a une activité qui nous définit comme les hommes, être heureux c'est l'exercer : Le but ultime de toute activité humaine vise un atout que, par conséquent, une fin. Aristote tous les êtres humains ont tendance à des activités à sa fin et à toutes fins, à son tour à une fin ultime. Selon Aristote, le bonheur est le nec plus ultra naturel : Le bonheur est : "Un bien parfait, est recherché pour lui-même et pour rien d'autre que lui. Une assez bonne en elle-même, qui a déjà ne veut rien." Le puits est fait avec l'exercice d'une activité plus typiques des êtres humains. "Le bien qui est obtenue avec une activité continue.
La durée de vie théorique : Il est tout le monde communauté a un rôle. Leurs obligations morales sont pour l'exécuter bien et essayer d'acquérir les vertus nécessaires pour réussir. Aristote se demande si il ya une fonction de l'être humain en tant que telle, si il y aurait le bonheur et la vertu serait le plus parfait. théorie de l'intelligence, qui est le plus propre à l'homme que vous voulez pour vous-même et pas autrement, et peut être exercé avec une continuité, car la satisfaction est prévu dans la même période. Ainsi Aristote constituent l'exercice de l'activité théorique du contemplatif, c'est le bonheur.
La sagesse pratique : Celui qui vit de son intelligence pratique, qui est, à dominer leurs passions pour atteindre le bonheur et nous aider dans cette tâche les vertus qui peuvent être de deux types :
- Dianoétique (prudence) ou de l'intelligence.
- L'éthique ou le caractère. (Nécessite la politique)
Aristotélisme : Aristote soutient dans l'éthique de Thomas d'Aquin. Tial est essentiel de le savoir est le but ultime des actions humaines et dans la vie contemplative. Thomisme la fin de l'homme a demandé en théologie.
Le Droit : Une Expérience Quotidienne
Types de tâches :
- Juridique ou morale.
- Social.
- Religieux.
- Moral.
- Professionnel.
Obligations positives ou imparfaites : Commande d'effectuer une certaine action.
Devoirs négatifs ou parfaits : Ce sont les interdictions. Ils sont clairs et précis.
Tradition Dialogique
Règles du discours :
- Tout objet capable de parole et d'action peut participer dans le discours.
- Quelle que soit la problématisation de toute affirmation.
- Toute personne peut saisir des informations dans le discours.
- Tout le monde peut exprimer leurs positions, les désirs et besoins.
- Ne peut être empêché de tout orateur de faire valoir leurs droits énoncés dans le règlement ci-dessus, le discours interne ou contrainte extérieure.
La dignité : Vient de la possibilité d'envisager d'autres peuvent ou ne peuvent participer dans le discours.