Comprendre les actes et le processus juridiques

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FONCTIONNEMENT DES LITIGES

Les actes de procédure et pièces

Concept : Les actes de procédure sont toutes les actions humaines qui influent sur un processus. Il s'agit des actes volontaires du juge, ou de tiers, qui créent, modifient ou éteignent des relations juridiques au sein d'un processus.

Éléments à connaître :

  • L'existence d'une ou plusieurs volontés destinées à produire des effets dans le processus. La règle générale est que ces manifestations sont unilatérales, contrairement à l'acte juridique en matière civile.
  • La volonté doit se manifester, et cet événement est généralement l'accomplissement des formalités.
  • L'acte doit être destiné à produire des effets dans le processus.

Caractéristiques de la loi sur la procédure juridique :

  1. Ils sont essentiellement solennels : La solennité se reflète dans l'acte. Les actes de procédure sont essentiellement écrits. Reste la règle générale dans notre droit procédural en matière civile, de la nature complémentaire de l'acte. Dans le nouveau projet de Code de procédure civile, l'oralité est le principe de base.
  2. Il est le plus souvent unilatéral : Juste la manifestation de la volonté d'une partie produit des effets sur le processus (application, exceptions, réponse à la demande, demande reconventionnelle, etc.). Cependant, il existe des exceptions aux actes juridiques de processus bilatéral : l'engagement, l'arbitrage, le compromis, la conciliation, etc.
  3. Il faut nécessairement un processus : Alors que le processus exige la procédure des actes juridiques, il n'y a pas de demande sans processus.
  4. Ils sont indépendants les uns des autres : Chaque acte juridique est une procédure suffisante en soi. Mais malgré cette indépendance, les actes juridiques de procédure sont liés les uns aux autres. Chacun des actes de procédure juridique fait partie de la procédure, et c'est la déclaration rationnelle et logique qui détermine les actes de procédure juridique.
  5. Le principe de l'autonomie est limité en matière de procédure : Le cadre juridique des actes de procédure est prévu par la loi et est public, sous réserve des exceptions prévues par la loi elle-même.

1) Les actes des tribunaux : Se réfèrent à tous les jugements que peuvent dicter les juges : décrets, arrêtés, ordonnances interlocutoires et jugements définitifs.

2) Actes de procédure des parties : Peuvent consister en une demande que chaque partie adresse à la cour, visant à assurer l'évolution progressive de la procédure. Ce sont les actes accomplis par les parties pour parvenir à la décision finale. Par exemple, les incidents sont les questions accessoires à l'instance. Ils peuvent également être présentés par des actions en justice où les parties ont l'intention de procéder non seulement aux actes progressifs, mais aussi de régler les questions de fond (par exemple, réponse à la demande, réponse, réplique, entre autres). Il existe également des actes visant à prouver les revendications ou les compensations. Enfin, il y a ceux qui impliquent ou cherchent à contester les décisions de justice en raison de défauts de forme ou de fond. Par exemple, les recours procéduraux.

3) Les actes de procédure du tiers : L'intervention d'un tiers n'ayant aucun intérêt dans le processus, et donc la caractéristique principale est l'impartialité. Par exemple, les témoins et les experts.

THÉORIE GÉNÉRALE DU PROCESSUS

Pour comprendre la théorie générale des processus, il faut tenir compte de trois concepts fondamentaux :

  1. L'action.
  2. La Cour.
  3. Le processus.

Ces trois éléments sont étroitement liés et ne peuvent être conçus séparément.

Compétence

En matière civile, les tribunaux ne peuvent agir d'office. Pour commencer un procès, l'initiative doit toujours émaner de la volonté des parties. Pour qu'un tribunal puisse commencer à entendre une affaire judiciaire, il est nécessaire qu'une partie intervienne ou enjoigne à l'intervention du tribunal.

Ici entre en jeu la notion d'action, nécessaire pour exercer l'action de procédure comprise comme l'acte de provoquer l'activité des tribunaux de l'État.

L'action est une manifestation de la volonté d'une des parties au différend. En principe, nul ne peut être contraint de déduire une part ; c'est un acte entièrement volontaire ou facultatif, selon la personne qui dit le droit.

Comment l'action est-elle exercée ? Ce pouvoir est exercé par la demande, qui est le seul moyen approprié pour intenter une action civile. C'est la seule façon dont le tribunal peut intervenir.

Le processus

C'est le moyen mis en place par la loi pour l'exercice de la compétence. C'est le plus parfait connu, par lequel les parties exposent leurs prétentions et à travers lequel le juge est saisi de l'affaire et la résout. Le processus suppose l'existence d'un différend juridique. Par cette résolution du différend, le litige est réglé. Le processus, dans cette action ou procédure, peut être défini comme le conflit juridique, désormais entre les parties, et soumis à la connaissance d'un tribunal ordinaire, spécial ou d'arbitrage. Le processus requiert l'existence d'éléments ou de conditions préalables contenues dans sa définition :

  1. Existence d'un différend juridique.
  2. Que le conflit soit en cours.
  3. Que le conflit soit entre les parties.
  4. Et qu'il y ait un tribunal pour régler ce différend.

Tous ces éléments sont ce qu'on appelle les éléments du processus.

En plus de ces éléments du processus, il y a des éléments appelés conditions préalables à la validité du processus :

  1. Compétence relative et absolue du tribunal appelé à trancher le différend.
  2. La capacité des parties à comparaître devant le tribunal.
  3. Le respect ou l'accomplissement des formalités prescrites par la loi pour la validité des diverses lois qui le composent.

On peut définir les règles de procédure comme ces exigences qui doivent être remplies pour que la relation juridique dans la procédure existe et soit valide, ce qui entraîne toutes les fins juridiques. La relation à la procédure valide exige la soumission de la demande, orale ou écrite, de la résolution judiciaire de la juridiction ordinaire, spéciale ou d'arbitrage, et la notification à la partie défenderesse.

D'autre part, il faut se rappeler que le mot « processus » ne doit pas être confondu avec « traiter », ni avec « procès », ni avec « dépôt », ni avec « cause », ni avec « contester ».

Le processus peut être fondé sur des règles différentes qui constituent les procédures. Les processus ne sont pas toujours justifiés de la même manière.

L'application d'une procédure ne peut être livrée à la partie. La procédure devrait être appliquée de manière objective, en fonction de la nature de l'action à déduire.

La source immédiate et directe de la procédure est le Code de procédure civile, qui n'est pas unique ; il existe aussi d'autres lois de procédure.

Le droit fonctionnel de la procédure est classé dans le Code de procédure civile et la Loi sur la procédure pénale.

Le droit procédural civil est régi par la loi dans le Code de procédure civile, et le droit de procédure pénale dans le Code de procédure pénale.

Le droit procédural civil régit les procédures civiles en cours dans l'une des procédures que le Code prévoit.

Les règles du Code de procédure civile, et donc régies conformément à l'art. 1, la procédure des affaires judiciaires ou litiges contentieux sont soumis à la connaissance des tribunaux.

STRUCTURE DU CODE DE PROCÉDURE CIVILE

Le Code de procédure civile est divisé en 4 livres, 925 articles et un titre final. Chacun de ces quatre livres est subdivisé en titres, et certains d'entre eux en paragraphes.

Le champ d'application du Code réglemente, dans une procédure méthodique et ordonnée, la guerre civile entre les parties et les actes juridictionnels gracieux qui sont entendus par les tribunaux.

Les livres du Code de procédure civile sont les suivants :

  1. Livre Un : Dispositions communes à l'ensemble de la procédure : Ici, toutes les procédures sont appliquées sans distinction, voire criminelles. Elle couvre des sujets comme tout ce qui concerne les parties, la façon de subir un procès, les parties indirectes, les tiers, la procédure judiciaire, les délais, les notifications, les incidents, les injonctions, etc.
  2. Livre Deux : Du Jugement ordinaire : Ce livre est important car si la plainte déposée dans le procès a mis en place un traitement spécial, les dispositions de ce livre doivent s'appliquer. C'est le type de première instance de base ou du procès. Il est également important car même si une procédure est spéciale, vous pouvez obtenir pour mettre en œuvre les dispositions pertinentes du livre II dans toutes les procédures qui ne sont pas spécifiquement couvertes dans les règles de procédure particulières. Exemple : dans la procédure d'exécution ou dans le procès sommaire, s'il n'y a pas de règles concernant la forme des témoignages, alors ce sont les règles pertinentes du Livre II qui s'appliquent, tel que prévu à l'article 3 du CPC.
  3. Livre Trois : De première instance spéciale : Réglemente un certain nombre de procédures dont l'application est différente des costumes ordinaires. La question a une procédure spéciale en fonction de la nature de l'action déduite. À l'intérieur de ces règles, on trouve l'action de l'exécutif, le procès sommaire, etc.
  4. Quatrième Livre de justice non contentieuse : Le quatrième livre s'applique dans les cas où aucun différend entre les parties n'est promu.

Application des règles du Code de procédure civile dans un cas particulier :

Il faut distinguer si nous avons affaire à une question litigieuse ou à un litige.

Dans le cas où il s'agit d'une question controversée : La première chose à faire est de déterminer la nature de la matière, pour savoir si cette action est établie ou non dans les règles du Code de procédure civile, des règles spéciales du livre III du Code. Par exemple, si l'action est exécutée, elle a une procédure spéciale et il faut recourir à la procédure de direction.

Ces règles spéciales du troisième livre doivent être complétées par les règles du livre premier.

Si les règles du troisième livre sont insuffisantes, en vertu de ces règles spéciales existait une faille dans un sujet, en outre, appliquer les dispositions pertinentes du Livre II, exactement comme prévu (par exemple par application de l'article 3).

Dans le cas d'actes judiciaires non contentieux : Voici ce qu'il faut faire dans chaque cas si l'acte juridique non contentieux en question est ou n'est pas spécifiquement réglementé dans le Livre IV. Si l'acte est régi par le livre dit, ces règles spéciales doivent être appliquées. Exemple : la nomination de tuteurs et de curateurs (articles 838 et suivants du CPC). Ces règles doivent être complétées par celles du Livre IV et aussi avec les dispositions pertinentes du titre I du livre IV. S'il y a une lacune, en appliquant le même article 3, on appliquera les dispositions pertinentes du livre II. Par exemple, identifier un témoin.

Champ d'application du Code de procédure civile :

Ce qui est dit dans l'article 1 de la CPC, quand il dit que les dispositions du présent Code régissent la procédure pour les litiges entre les parties et les actes de juridiction gracieuse, qui sont entendus par les tribunaux.

Cela signifie que le CPC ne s'applique pas, en principe, aux questions suivantes :

  • Les prétentions en matière pénale, car elles sont régies par d'autres règles, à moins que le Code de procédure pénale ne renvoie à la CPP (exemples : l'article 32 concernant les règles applicables aux notifications, Art.52, applications des règles communes à toute procédure, etc., sinon il ne peut pas être appliqué).
  • Dans tous les cas, être soumis à des concours ou à des actes juridiques non contentieux soumis à un traitement spécial ou expressément exclus de l'application du présent Code.

PROCÉDURE

Concept :

Est l'ensemble des principes et règles régissant le processus et se compose d'une série d'étapes de la procédure qui se développent progressivement et viennent dans le temps et sont interdépendants, culminant avec la décision finale.

Caractéristiques de la procédure civile :

  1. La procédure est écrite : La procédure écrite prévaut sur l'oralité. Cela ne signifie pas que toutes les actions sont écrites. Exemple : La déclaration de témoin est verbale, qui est transcrite par écrit, les allégations contenues dans les tribunaux.
  2. La publicité de la procédure : Les actes des tribunaux sont publics, ce qui signifie que les actions des procédures devraient être publiques, sauf indication contraire par la loi.
  3. Ils sont généralement structurés sur la base de la double incrimination : Il se compose d'un double contrôle judiciaire, ce qui est important car il donne toutes les garanties aux justiciables. Moyens la possibilité de revoir la procédure, mais pas toute révision, mais il est celui qui effectue la cour supérieure si elle obtient l'appel correspondant.
  4. Les parties ont la possibilité de remplacer les procédures juridiques : La même chose pour le juge. Vous ne pouvez pas changer les règles de procédure à moins que la loi elle-même ne le permette. Exemple : les arbitres procédure arbitraires.

Classement de la procédure :

Voir leur classement à partir de plusieurs points de vue :

  1. Compte tenu de la nature des règles à appliquer ou la nature de l'objet des poursuites judiciaires, la procédure peut être civile ou pénale :
    1. Procédure civile : visée dans le Code de procédure civile et d'autres lois de procédure (par exemple, le Code du travail, Loi sur le mariage).
    2. Procédure pénale : visée au Code de procédure pénale et d'autres lois, par exemple : Code de justice militaire, la loi sur la sécurité d'État.
  2. Dans le traitement qui a le point de vue, il faut distinguer entre les communes ou la procédure ordinaire et extraordinaire ou spéciale :
    1. Ou en union procédure ordinaire : L'résiduelle et à tous les autres, c'est-à-dire communs, qui sont habituellement traitées de cette manière toutes les races judiciaires, qui ne sont pas désignées un traitement spécial. Par exemple, une valeur élevée, les petites créances, des petites créances.
    2. Extraordinaires ou spéciales de procédure : Est-ce celui qui est régi par des dispositions spéciales pour certains cas qu'il établit. Des exemples il existe une procédure de direction commune (l'application des règles du troisième livre de la CPC) et il existe une procédure spéciale de direction (par exemple, procédure d'exécution établies par la loi bancaire).
  3. Vu la façon dont de mener le procès ou le rituel du procès, on peut distinguer entre une procédure orale ou verbale, la procédure écrite et une procédure mixte :
    1. Procédures écrites : Il est dominé les débats devraient être enregistrés comme documenté dans le processus. Sont ceux dans le traitement il ya une prédominance de la traduction littérale de la procédure écrite.
    2. Orale ou verbale de procédure : Il est dominé les débats par voie orale ou par voie orale et non écrite. Ex procédure sommaire.
    3. Joint intérieur : est celui dans lequel toutes les actions sont mélangées, oralement et par écrit, sans distinction, sans qu'il y ait une prédominance de l'une ou l'autre.
  4. Considérant que l'objectif poursuivi par l'exercice de l'action, la procédure peut être connue, et la direction par intérim ou de précaution :
    1. Procédure de connaissances ou de la cognition : celles qui sont destinées à la déclaration d'un droit, la constitution d'une relation juridique ou une déclaration de responsabilité pour l'exécution d'un service. Ils visent principalement à établir l'applicabilité d'une ou plusieurs règles juridiques à un fait ou des faits qui se sont produits.
    2. Procédure d'exécution ou de prestation : est celle qui vise à satisfaire, à la partie qui a obtenu dans la phrase déclarative du procès ou qui détient un droit qui permet à sa demande d'un bref d'exécution d'entrer dans la pleine satisfaction des dispositions dans la condamnation ou la source de l'obligation a été violée.
    3. Procédures de précaution ou de précaution : ceux qui poursuivent destinées à assurer le résultat de l'action différents. Au Chili, la doctrine appelle ordonnances ou aux injonctions des mesures de précaution.
  5. Selon le montant contesté, on parle de procédures de demandes de faible importance, les petites créances et de niveau supérieur (il est clair à partir des articles 698 et 703 du CPC) :
    1. Montant minimum procédure : que nous avons affaire à une procédure où la valeur du litige n'excède pas 10 UTM.
    2. Des petites créances : où la valeur du litige dépasse 10 UTM et toujours supérieure à l'UTM 500.
    3. Sinistres importants : lorsque la valeur du litige dépasse le UTM 500.

ACTION

Introduction :

L'élément objectif du processus est le conflit, quelle que soit la nature juridique d'accord sur ce point.

Contentieux : des moyens de conflit intersubjectif d'intérêt juridiquement important, règle ou réglable à bon escient et se caractérise par l'existence d'une créance résistée.

Le processus vise à régler le différend, qui gagne son existence que par la vertu des déclarations faites par l'acteur, puisque seule sa propre offre pour les effets générés par le processus nécessaire pour le but d'obtenir une solution.

En conséquence, il est nécessaire que le processus soit originaire, qu'il soit engagé dans une action pour mettre en mouvement le tribunal de résolution des conflits promu préliminaire.

Il convient de noter que, dans le respect de la fonction judiciaire régie par le principe de la passivité, selon laquelle les tribunaux ne peuvent exercer son ministère, mais à la demande d'une partie, sauf dans les cas où la loi est habilitée à procéder d'office (art. 10 COT). En conséquence, l'action apparaît comme un budget devant être mis en mouvement l'exercice des fonctions judiciaires.

Rayée de la pratique de l'auto-gouvernance et de l'incapacité de s'auto-composer le conflit, donne au citoyen le droit d'action à mettre en œuvre la compétence et dans le processus de résolution des conflits.

Concept d'action : l'action est le pouvoir juridique qui assiste à tous les sujets de droit de recours devant les tribunaux, de la manière prescrite par la loi, afin d'apporter de l'activité juridictionnelle de ces produits par le processus de sorte que la dernière phrase est décidée si l'affirmation qu'il contient doit être ou non à l'hôte.

Pour l'action Carnelutti, c'est un droit autonome de contester la composition est juste.

Couture d'action est le pouvoir légal qui est tous soumis au droit d'accès aux tribunaux, appelant à la satisfaction d'une revendication.

Professeur Juan Colombo Campbell définit l'action de procédure comme le droit de l'objet d'un différend soit soumis à la décision du tribunal dans le processus.

Pour sa part, la revendication peut être définie comme le droit des parties à demander au tribunal une décision judiciaire favorable à leurs intérêts dans la résolution finale du processus.

Les deux institutions ont des besoins uniques et différents. Le tribunal statue sur l'action, venant juste à son chemin, ouvrant le processus si l'hôte ou le rejetant s'il le rejette. Le droit d'action est éteint par la même chose avec votre exercice, contrairement à la demande, qui est maintenue pendant toute la procédure, jusqu'à la décision finale sur elle et décider si elles sont effectuées, même après les recours judiciaires.

Signification :

Le mot « action » est utilisé avec des significations différentes. Cela dépendra de ce que le domaine du droit en cause :

  • En droit commercial, le mot action est utilisé pour désigner la partie ou la part de la division du capital d'une société.
  • En droit pénal, l'action est synonyme de la conduite d'un individu qui commet un crime.
  • En droit civil, l'action est utilisée comme moyen de protéger les droits individuels (par exemple l'action en revendication qui protège le droit de propriété).
  • Dans le droit procédural, le mot action prend également des significations différentes :
    • Comme synonyme de droits subjectifs. L'action pourrait être déduite du point de vue du droit individuel. En ce sens, l'action est un mécanisme de surveillance des droits subjectifs. On dit donc que l'action est le droit d'exercer le droit de poursuivre en justice tout ce que nous devons.
    • Comme synonyme de la demande. Ceci est discutable étant donné que la demande de processus à travers lequel l'action est intentée, et est donc erroné de considérer ces termes comme des synonymes, puisque les deux concepts sont différents.
    • Comme synonyme de prétention. La revendication est la subordination des intérêts des autres à leur propre intérêt. Par conséquent, l'action et l'intention sont distincts.
    • Comme un acte qui sert à amener l'activité judiciaire de l'État. Il s'agit d'une notion autonome et est le vrai sens ou la signification du mot action.

Pour E. Couture, l'action est le pouvoir ou l'autorité pour diriger l'activité des tribunaux de l'État. Ainsi, à travers l'action, on veille à ce que l'État soit en mouvement avec sa fonction judiciaire, mais pour cela, il doit y avoir, avec la procédure, la formulation d'un grief, et les deux sont faites par l'acte juridique de procédure appelé demande.

L'Académie Royale de Langue Espagnole définit l'action de ce point de vue : l'école dérivée d'un droit subjectif à faire valoir au procès que le contenu.

Nature juridique de l'action

Ce concept a également eu des interprétations différentes et il existe plusieurs théories pour expliquer la nature juridique de l'action. Le problème consiste à déterminer quelle relation existe entre le droit subjectif et l'action.

Les théories qui expliquent la nature juridique de l'action sont principalement deux :

  1. Théorie de la propriété, moniste ou classique : Selon ce point de vue, la violation de toute loi crée un droit nouveau qui est en cours de réparation ou de rétablissement du droit violé. Donc, si elle viole le droit de propriété, une telle action vise le prétendant né à le récupérer, ce qui explique pourquoi cette doctrine estime que l'action est le droit revendiqué devant les tribunaux.

La théorie classique suppose que l'action comporte quatre éléments :

  • Le droit comme fondement ou objet de protection.
  • Un intérêt protégé par la loi.
  • Le titulaire du droit.
  • La capacité ou l'attitude procédurale.

De ce qui précède, en vertu de cette doctrine, on en déduit les conséquences suivantes :

  • Pas d'action s'il n'y a pas de droit ; seulement il y a un droit et une violation de la loi peut concevoir l'existence de l'action.
  • L'action dépend de la nature du droit, et crée un droit subjectif à être intentée une action contre l'autre partie de la morale et génère un droit réel de l'action sur tous ceux qui ne savent pas ou portent atteinte à ce droit.

Critique de cette théorie :

Cette théorie n'est pas acceptable à l'heure actuelle, puisqu'elle n'explique pas les différentes situations qui se présentent, comme suit :

  • D'abord, elle n'explique pas l'existence dans le système juridique de droits sans action, comme dans le cas des obligations naturelles. Voyons quels sont les devoirs naturels : Ceux qui ne confèrent pas le droit de les appliquer, mais s'ils sont rencontrés, ils permettent de conserver ce qui a été donné ou payé sous eux. Art.1470 Code civil.
  • D'autre part, elle ne nous dit pas où il y a exercice de l'action sans droit, comme pour toutes les demandes qui sont rejetées dans la dernière phrase n'est pas fondée.
  • Troisièmement, elle n'explique pas les actions non satisfaites malgré avoir reçu dans le processus, comme dans le cas d'insolvabilité du débiteur.
  • Enfin, aucune action tant que le droit accordé en déduit le tribunal n'explique les situations où l'exercice est envisagé sans une loi, mais l'action est exercée dans le but de protéger un événement tel que la possession et pour lequel effet est susceptible d'effectuer plusieurs actions possessoires pour la protection, la restauration, restitution, etc.

II. Théories dualistes et modernes de l'action.

Les auteurs soutiennent que ces théories s'accordent sur le fait que le droit individuel d'action doit être séparé. Ces théories postulent que les droits subjectifs et l'action sont différents.

Le crédit que vous reconnaissez à cette théorie est d'avoir le droit judiciaire distinct de fond ou du droit procédural et d'avoir également mis l'accent sur le caractère public de l'action, donnant à l'État une priorité donnée pour régler les différends.

En outre, cette théorie a servi de base à l'indépendance du contentieux.

Mais pas tous les partisans de cette théorie ne sont pas d'accord sur ce qui est la relation entre l'action et le droit subjectif. Ainsi, selon l'avocat d'une certaine relation entre deux concepts, il y a deux nuances à cette théorie :

  • Théories spécifiques.
  • Théories abstraites.

1. Théories concrètes de l'action : Ses partisans reconnaissent que le droit et l'action sont deux choses différentes et soutiennent que seule l'action est responsable à l'ayant droit. Ils sont de grands partisans de cette théorie, Windscheid et Muther. Pour le premier, le récipiendaire de l'action n'est que la partie défenderesse ; contrairement à Muther, le bénéficiaire de l'action est le juge et par le défendeur.

Les partisans de cette théorie de l'action la conçoivent comme un droit à une peine d'un contenu spécifique, le caractère favorable pour le propriétaire, qui a droit à un tel contenu, concret et positif, précisément parce que la propriété de l'action de jouir.

Théories de l'action comme droit abstrait : Selon eux, ceux qui préconisent des mesures responsables font valoir qu'il a le droit et celui qui ne fonctionne pas, et il n'y a pas de relation entre le droit subjectif et l'action.

Selon cette théorie, avec différentes nuances, l'action n'est pas un droit public concret, mais abstrait, car elle est indépendante de la présence ou de l'absence d'un droit substantiel, puisque l'existence de celle-ci ne nécessite que de sorte que la demande contenue dans la plainte déposée est reçue dans la phrase, mais pas pour objet de porter la cause et l'exercice de la compétence.

Les auteurs indiquent que les parties ont une action, peu importe si oui ou non la loi de fond, parce que le jury sera finalement pas le début du processus, de déterminer la présence ou l'absence du droit substantiel réclamé. Sous cette forme, explique clairement la raison pour laquelle on peut déduire des actions dépourvues de raison.

Les principaux partisans de cette théorie sont Carnelutti, Couture, Alcalá Zamora.

Critique :

Cette théorie a été critiquée comme exagérant les mérites de l'action, puisque, selon elle, pourrait même aller jusqu'à impliquer une action par l'acteur afin d'obtenir une déclaration judiciaire qui ne correspond pas vraiment au droit, c'est qu'il marque pas.

L'action dans notre Code de procédure civile

Dans notre CPC, il n'y a aucune notion d'action. Dans tous les cas, nous pouvons dire que, compte tenu du moment de la rédaction, notre Code est basé sur la théorie moniste ou classique. Ainsi, dans divers articles du Code de procédure civile, on peut voir que c'était le sens que lui donne la commission qui a rédigé le Code. Par exemple, l'article 17 du CPC. Plus tard, nous nous référerons à cet exemple.

Mesures à prendre :

  • L'existence d'un sujet actif, qui est le demandeur ou le requérant qui exerce l'action, et cela peut être tout sujet de droit, ou personne morale naturelle.
  • Existence d'un contribuable, qui est constitué par l'État, car l'action est dirigée contre l'État devant les tribunaux pour mettre en mouvement l'activité judiciaire.
  • Existence d'un objet constitué par la finalité de l'action qui entraîne l'activité de la Cour d'État.
  • L'existence d'une cause, qui est l'existence d'un conflit d'intérêt légal non résolu.

Catégories d'actions

Actions de catégories différentes, en fonction des points de vue à partir desquels elles sont formulées.

En effet :

  • Dans son objet ou son but, les actions sont classées comme phrase, déclarative, constitutive, de direction et de précaution :
    • Actions de condamnation : ceux par lesquels l'acteur poursuit le défendeur est condamné à un certain bénéfice pour eux (par exemple, en faisant valoir que l'action vise à être condamné le défendeur à rembourser au demandeur réclamé ou des biens mobiliers immobiliers ; d'action pour le recouvrement d'un solde impayé du prix d'achat qui doit être condamné le défendeur à verser au requérant le prix, etc.). Ce sont les actions les plus courantes dans la vie de la loi.
    • Actions déclaratoires : sont celles qui visent à obtenir la simple énoncé d'une situation juridique, en fait, semble incertaine (exemples d'action qui vise à annuler un contrat, l'action vise à faire constater que l'état matrimonial ou le particulier défi d'un statut particulier matrimonial, etc.). Dans la pratique, ces mesures ont un champ plus étroit qu'auparavant. Mais il y a beaucoup de similitudes entre eux et le déclaratif, comme elle condamne également les actions nécessitent une déclaration du droit dont la prestation est destinée, mais diffèrent en ce que les actions de la déclaration de culpabilité, la déclaration préalable est d'exiger la prestation au lieu déclarative dans l'intérêt de l'acteur est satisfait de la simple déclaration, n'étant pas soumis à l'exécution forcée.
    • Actions constitutifs : sont ceux qui cherchent à obtenir de nouveaux états de droit ou de modifier un statut juridique existant à travers la publication de l'ordonnance en conséquence. Il est également question des actes constituant le statut et les droits. Exemples de l'ancienne : l'action sur le recouvrement des dommages-intérêts contre les actes illicites ; ils ont vraiment tendance à obtenir un crédit pas eu auparavant. Divorce, mesures d'interdiction, annulation du mariage, filiation, etc. ; exemple de ce dernier. L'importance de ces actions, en particulier, les États fédérés, est que la décision a des effets erga omnes, c'est-à-dire pour tout le monde et que ces effets se produisent seulement pour l'avenir et ne touchent pas le passé. La différence entre ce type d'action et le jugement déclaratoire est que ce dernier vise à établir ou à déclarer l'existence ou non d'un certain état de la loi constitutive et ont donc tendance à modifier cette règle de droit.
    • Actions exécutives : sont ceux qui ont tendance à forcer la conformité de la disposition, qui a de manière fiable dans un document auquel la loi donne le droit d'exécution.
    • Ou de protection des mesures de précaution : sont celles qui visent à assurer la conformité avec une disposition dont la reconnaissance ou déclaration judiciaire est toujours en cours (exemples des mesures de précaution).
  • Considérant la procédure à appliquer, nous avons une action ordinaire, un résumé et une injonction :
    • Actions ordinaires : sont celles qui sont traitées selon la procédure ordinaire ou commune. De ce point de vue, les autres actions sont dites génériques extraordinaires ou spéciales.
    • Actions sommaires : ceux qui s'appliquent à eux sont caractérisés par une plus brève et centrée sur les cas qui, par leur nature, exigent un traitement rapide pour être efficace. Exemple d'essai de résiliation de bail.
    • Actions exécutives : ceux qui sont caractérisés sont donnés un processus obligatoire et des mesures de contrainte, contre la résistance du débiteur. Procédure commence par la saisie de biens et est régie par les articles 434 et suivants. CPC.
    • Mesures de précaution : celles qui sont traitées avec une procédure incidente de l'affaire au principal, afin d'obtenir une ordonnance ou une résolution sera d'assurer la justice, également dans une procédure brève visant à assurer le résultat de l'action principale. Ces mesures de protection.
  • Considérant la nature du droit qui sous-tend les actions, pourraient être économiques ou familiales :
    • Actions de participation : ils peuvent garantir les droits de la propriété, qui sont ceux qui peuvent être évaluées en argent. Revendications de propriété peuvent protéger les droits réels ou personnels. Les réels sont ceux qui servent la sécurité des droits de propriété personnelle et servent de garantie personnelle.
    • Actions extrapatrimoniales ou de la famille : activités familiales garanties des droits de la famille, pas d'argent, en principe, une valeur : par rapport à l'exemple de l'état civil des personnes.
  • Compte tenu de la question sur laquelle porte l'action, on a parlé :
    • Les actions civiles : sont celles dans lesquelles le droit dont la protection est demandée est de nature civile.
    • Accusations : sont celles dans lesquelles le droit dont la protection est demandée est un criminel. Cette classification est d'une importance pratique, car ces actions diffèrent quant à la compétence des tribunaux, la procédure, sont soumis à diverses formes de preuve, qui est crédité aux fins des états pour les résoudre, etc.
  • Compte tenu de l'objet ou la nature du droit d'accès, et nous avons mobilier et immobilier :
    • Actions de meubles : sont celles qui protègent les meubles, le droit, ou qui est exercée sur un meuble ou traite d'un fait raison. Pour savoir que les choses sont le facteur essentiel du mobilier devrait être l'article 580 du CC de cette manière, c'est l'action du Cabinet, une telle action doit être payée pour celui qui a emprunté de l'argent.
    • Actions de propriété : sont celles qui protègent le droit de propriété, c'est-à-dire qui est exercée sur un bâtiment chose. Par exemple, l'action de l'acheteur de le faire livrer le bien est acheté une propriété.
  • Alors que si l'action peut ou ne peut pas survivre seule, les actions peuvent être principales ou accessoires :
    • Les principales actions : celles qui protègent un droit indépendant, qui est, celui qui peut se tenir par elle-même, l'action a sa propre vie (par exemple, les mesures de recouvrement du prix de vente).
    • Actions auxiliaires : sont celles qui ne peuvent survivre par elles-mêmes, exigent une autre action importante pour survivre. Reconventionnelles des mesures de précaution, le pourvoi incident, l'action de garantie : Exemple. L'importance de cette classification réside en ce que les actions accessoires suivent le sort du principal.
  • Compte tenu de la qualité de l'action que les exercices peuvent être classés en :
    • Les actions directes : sont celles qui exercent le droit même support (par exemple, l'action de restitution a été rendue exécutoire par le propriétaire de la chose réclamée).
    • Les actions indirectes : sont celles qui sont revendiquées par des tiers au nom du titulaire du droit, par une disposition expresse de la loi (action paulienne par exemple). L'action paulienne peut être définie comme celle réalisée à annuler, les actes de disposition du créancier demandeur de la séquestration des biens du débiteur et le célèbre avec une fraude par des tiers au détriment de ce créancier, dont la créance est antérieure à ces actes.
    • Actions de classe : sont ceux qui sont revendiqués par toute personne dans le village dans le seul intérêt de la communauté (comme ruineuse travail injonction). Article 932 et suivants du CC.

Importance de déterminer la nature de l'action.

  1. Il est utilisé pour déterminer la juridiction compétente du droit dans de nombreux cas, établissant des règles de compétence compte tenu de la nature de l'action.
  2. Permet de définir la procédure pour le procès. C'est-à-dire la vitesse du processus.
  3. Convient à des fins de preuve de première instance. C'est-à-dire, sur qui faire porter le fardeau de la preuve. Test set être rendu dans le procès et acceptée par le tribunal, tout cela parce que les faits litigieux de l'essai doivent être pertinents à la nature de l'action.
  4. Il est utilisé pour déterminer la teneur de la décision finale. Parce que la décision de l'affaire en cause, le tribunal doit convenir à toutes les actions dérivées de la demande et en y répondant. (Art.170 n° 6 du Code de procédure civile). La décision doit contenir toutes les réclamations et les défenses ont été affirmées lors du procès.

Actions multiples.

En règle générale, dans chaque essai, seule une action est intentée. Cependant, la loi n'a pas d'objection à ce que dans un seul essai ne puisse être invoquée par le demandeur contre le défendeur dans des actions diverses, mais en s'en tenant à certaines limites. Ce phénomène est appelé la pluralité de procédure des actions et est reconnu au paragraphe 1 de l'article 17 de la CPC, pour exprimer que dans un procès unique peut être interjeté deux ou plusieurs actions à condition qu'elles ne soient pas incompatibles.

Permettre à un essai unique peut être dérivée de deux ou plusieurs actions à condition qu'ils ne soient pas incompatibles empêche les mêmes parties doivent suivre deux ou plusieurs procès, dans des circonstances qui peuvent ainsi être traitées ou pas dans un processus et en même temps, cela implique une plus grande commodité pour les parties et inférieure travail des tribunaux. Sa fondation est donc l'économie.

Il convient de noter que dans tous les cas, les actions ne doivent pas nécessairement être liées par un lien juridique ; il est suffisamment d'exercice impliquant le même défendeur et même demandeur.

Exemple : dans un procès ordinaire, je peux poursuivre le paiement du solde du prix de vente contre mon acheteur, ainsi que le paiement d'une certaine somme d'argent qu'il m'avait donnée, l'action de la résiliation du contrat de vente avec indemnité de dommages-intérêts, etc.

Naturellement, l'exercice de deux ou plusieurs actions en un seul essai est soumise à certaines limitations et ils sont : ils doivent être compatibles et doivent être soumis à la même procédure.

Que les actions sont des moyens compatibles qui peuvent être remplies simultanément sans difficulté.

Toutefois, la loi permet à une même demande de citer deux ou plus des actions incompatibles, à traiter comme une filiale de l'autre (article 17 paragraphe 2 du CPP).

On peut affirmer que deux ou plusieurs actions dans un même procès qui sont incompatibles, mais qu'ils soient un avantage dans un autre, et doit donc être réclamée ni accordée. Si aucune action est affirmée dans l'octroi d'autres, la demande est incompréhensible, et le juge ne peut pas simultanément les recevoir à la peine.

Échantillon : ne peut pas en même temps exiger le respect d'un contrat et sa résolution ; vous ne pouvez pas appliquer une prestation dans un autre.

Il y a d'autres cas dans le même processus pour répondre aux différentes actions, mais ce n'est plus la même demande. Ce qui se passera dans deux cas :

Le premier cas se produit si nous avons affaire à des processus d'accumulation ou de jonction (arts.92 et suivants du Code de procédure civile). Cela signifie que le même processus pour répondre ou lorsque deux ou plusieurs fichiers qui sont traitées séparément, soit devant le même tribunal ou d'autres tribunaux et de se rassembler physiquement en un seul, où la loi.

Cette accumulation est due à l'économie judiciaire, qui vise à éviter des coûts excessifs pour les parties et vise à éviter des jugements contradictoires.

Le deuxième cas serait quand dans un procès que le défendeur est en attente déduit reconventionnelle. Dans un procès, l'accusé peut avoir une action qui peut faire valoir contre son accusateur, indépendamment de l'action du demandeur. Dans ce cas aussi, par le principe d'économie jurisprudentielle, la loi permet au défendeur de faire valoir son action dans le même procès a déjà commencé.

La demande reconventionnelle est une allégation qui suit le défendeur contre l'acteur dans le même procès a déjà commencé. Cette demande reconventionnelle est une manifestation du principe de l'extension.

Enfin, on peut dire que l'art. 17 du Code de procédure civile utilise correctement le mot « action », plutôt que de réelles préoccupations pluralité de revendications à donner effet au processus (et l'exercice de la compétence) tout simplement déduire seulement une action.

Mais gardez à l'esprit que notre procédure civile législateur est sujette à la théorie moniste qui conçoit l'action comme un synonyme de prétention.

Une action de grève

L'action dépend exclusivement de la volonté de l'acteur et cela signifie que vous pouvez déduire de votre demande au moment qui crée plus pertinent, pas le temps. Si la personne est tenue d'action comme on peut en déduire que le défendeur n'a pas prétendu le délai de prescription.

Notre législation ne peut exiger du déposant d'intenter une action. Cependant, il y a des cas d'urgence qui établissent l'exercice forcé de l'action, sous certaines sanctions si ce n'est pas fait. (Par exemple, si l'orgueil, artículo21 CPC).

Exigences relatives à l'exercice de l'action

Pour que l'action invoquée pour réussir le concours, il est nécessaire de certaines exigences qui peuvent être de forme ou de fond.

1. Les conditions de forme sont celles qui sont requises pour que cette action soit admise à la transformation.

2. Les exigences de fond sont liées à la demande, qui doit être établie pour une action réussie ; il faut prouver les faits dans cette affaire.

1. Les exigences de fond sont les suivantes :

  • Que le demandeur ait le droit à l'action, à savoir qu'il doit posséder un droit subjectif pour les équipements de la protection juridique invoquée, qui devrait être fondé et doit également prouver les faits sur lesquels elle est fondée.
  • La protection judiciaire demandée par l'acteur se traduit en un profit matériel réel, ou moral. Aujourd'hui, cela signifie que la course devrait être sur les questions spécifiques, devrait être une bonne question et non de simples attentes.
  • Que l'acteur ait un intérêt. Le droit est un intérêt protégé par la loi. Si cet intérêt fait défaut, la protection disparaît. Aucun intérêt, aucune action.

2. Les exigences formelles sont les suivantes :

  • Capacité de l'acteur : c'est-à-dire qu'il doit être en mesure d'exercer ; s'il ne la possède pas, il doit agir dûment représenté par son représentant légal.
  • Capacité à la partie défenderesse : nécessite également la capacité d'exercer le défendeur ; sinon, vous avez à l'action directe contre leur représentant légal.
  • Le respect des formalités juridiques : Les formalités visent certaines exigences que la loi permet à l'application. (Art.254 CPC).

Le défaut de satisfaire à ces exigences, en fonction de son importance, ne peut être accepté pour le traitement jusqu'à ce que la situation soit corrigée ou omise. Si les vices ne sont pas trop graves, la demande peut être acceptée pour le traitement, mais le défendeur peut contester (par exemple, l'incapacité de la diffamation).

Le recours doit être exercé par un tribunal compétent ; cela signifie que la demande doit être déposée auprès du tribunal établi par la loi, en respectant les règles de concurrence et de termes absolus relatifs.

Moyens par lesquels une action est intentée.

L'action doit se faire par le biais d'une présentation faite devant le tribunal qui est appelée la demande.

La demande peut être définie comme le moyen de procédure pour intenter une action civile. Légalement, il s'agit d'un acte de procédure du demandeur par écrit, ce qui est vrai en général, et dans cette lettre, le demandeur affirme ses prétentions devant les tribunaux. L'affaire a pris un concept de la demande en disant qu'il est le moyen légal de faire appliquer l'action, ou comme le moyen par lequel le demandeur déduit l'action, et c'est le moyen de faire valoir le droit revendiqué.

Possibilité de poursuivre l'action.

Le code ne prévoit pas la possibilité pour le demandeur de déposer sa plainte ; l'acteur peut exercer le cas échéant.

Cette règle a des exceptions et il y a certains cas où l'action doit être exercée uniquement si l'acteur ne perd pas son droit.

  • Les exceptions sont les suivantes :
  • Le cas prévu à l'article 21 du Code de procédure civile.
  • Le cas de se vanter (art.269 CPC).
  • Mesures préliminaires de précaution (article 280 CPP).
  • La réserve d'actions dans une direction (arts.473 et 474 CPC).

a. - La situation de l'article 21 du CPC.

Il s'agit d'un cas visé à la situation qui pourrait se produire si un stock tombe à plusieurs personnes et que tout ce qu'ils ne l'exercent pas. Dans cette situation, le défendeur a le droit et c'est ce qu'ils peuvent demander au tribunal que la demande est portée à la connaissance d'autres personnes qui n'exercent pas, ceci afin qu'elles choisissent si elles adhèrent ou non.

Il peut y avoir plusieurs possibilités en ce qui concerne les personnes qui n'ont pas exercé l'application :

  • Pour accéder à la demande et la déposer ; dans ce cas, elles deviennent une partie du procès. Ces personnes doivent agir par l'intermédiaire d'un agent unique, commun ou un mandataire, c'est-à-dire d'agir par une seule corde.
  • Pour déclarer qu'elles adhéreront à la demande. La loi stipule que le droit expirera, ce qui signifie qu'elles perdent leur action, y renoncent et ne peuvent plus poursuivre à l'avenir.
  • Vous ne serez pas exprimer. Si tout ce qu'elles disent aura une incidence sur l'issue du procès. Dans ce cas, il peut apparaître à n'importe quel stade de la procédure concernant ce qui a été fait.

Cet article 21 est une manifestation de l'économie jurisprudentielle ; il empêche le défendeur lui-même de faire face à plusieurs poursuites. Il empêche également la Cour de rendre des décisions contradictoires.

Les exigences pour invoquer l'article 21 sont :

  • C'est un procès qui a commencé, que la demande a été déposée et signifiée au défendeur. Le procès est légalement lancé lorsque le défendeur est informé.
  • Que l'action corresponde à plusieurs personnes.
  • Lequel de ces nombreuses personnes l'une d'elles a exercé.
  • Que le défendeur ait demandé au tribunal que la demande soit portée à l'attention des personnes non déduites. Cette demande est comprise comme devant être faite avant de répondre à la demande et dans le cadre du site.

b. - Affaire de se vanter (art.269 CPC) :

Est-ce un exercice forcé de l'action.

Bénéficiant de l'acte par lequel une personne manifeste un droit correspondant qui ne jouit pas. Toutefois, pour qu'il y ait de se vanter dans un sens juridique du terme, il est également nécessaire :

  • La manifestation de la vantardise par écrit ou oralement, faite à au moins deux personnes avant de témoigner dans le procès civil.
  • Lorsque le défilé lui-même a agi d'une procédure pénale qui peut conduire à des actions civiles contre le défendeur.

Traitement :

La demande d'orgueil est gérée selon les règles du procès sommaire.

Dans toutes les dotations, deux personnes sont impliquées : le vantard et le vanté. De là, ils produisent une vanter, se vanter, ou se vanter qu'ils pourraient avoir une incidence, peuvent demander à être forcés de se vanter, c'est celui qui a dit qu'il avait exprimé à tel droit de ne pas intenter une action en connaissance de cause dans les 10 jours, faute de quoi, s'il n'est pas fait, s'il n'est pas entendu parler de ce droit.

Si l'action conduit à la vantardise et que le délai accordé à se vanter d'en déduire son action sans se conformer à la commande, si le vantait demander une déclaration par le tribunal, sauf si l'avertissement sur l'oreille droite après la vantardise de cette pétition sera traitée comme un incident.

Bragging mesures prescrites dans les six mois.

c. - Mesures préliminaires de précaution (article 280 CPP)

Sont celles que le requérant peut demander au tribunal avant de déposer sa demande, afin de garantir l'aboutissement de l'action envisagée à déduction.

Si le tribunal accède à cette demande pour une mesure préliminaire de précaution, le demandeur doit déposer sa demande dans les 10 jours. Si elle ne suit pas en temps voulu, elle sera considérée comme une réclamation frauduleuse.

d. - Actions de réserve dans une direction (articles 473 et 474 CPC).

Dans une action de l'exécutif, il peut y avoir une opposition à courir dans ce qui découle de la demande, sans aucun moyen d'exprimer des preuves pour prouver leurs défenses, vous pouvez demander qu'elle se réserve le droit de soulever des exceptions dans un courrier ordinaire à la fin des 15 jours après la notification de la décision finale.

La demande.

Il doit satisfaire à certaines exigences.

Exigences et formalités de la demande :

Il y a d'abord les exigences générales, qui exigent non seulement la demande mais toute écriture.

Deuxièmement, il y a des exigences spécifiques ou une caractéristique particulière de la déclaration. (Art.254 CPC).

Enfin, il y a un troisième groupe d'exigences imposées par les lois de procédure, autres que l'article 254 du CPC.

a. - Exigences communes à toute écriture.

Toute demande est à la tête de ce qui est une somme, qui est une sorte de résumé du procès, qui dit succinctement que toutes les allégations faites dans la déclaration. (Art.30 du CPP).

La demande doit être faite sur papier ordinaire.

Vous devez également être signé, bien que la loi ne l'exige expressément.

Doit être présentée avec toutes les copies nécessaires pour aviser les parties.

b. Les exigences spécifiques sont définies à l'article 254 du CPC.

c. - Conditions requises par des lois spéciales. Exemple de la loi 18.120 : doivent être conformes au patronage et à la puissance, pour l'avocat qui va parrainer et défendre les droits au procès.

Avis juridique de la demande et l'emplacement.

Chaque fois qu'il y a une lettre à un tribunal compétent, il doit lui fournir, donner effet à ce processus.

Cette demande doit être soumise à l'attention du défendeur et ce tribunal doit être servi, parce que le défendeur a à prendre connaissance de la situation par une forme autorisée par la loi (article 38 du CPC). Généralement faite en personne et a remis une copie au défendeur (article 40 du CPP).

Par le présent avis ou la communication se produit sur le site, qui est un processus très important, ou essentiel dans un procès. Aucun site, pas de procès, parce que le défendeur n'aura aucune possibilité de se défendre lors du procès.

La date limite pour répondre à la demande est variable, selon le procès en question. Exemple : procès ordinaire 15 jours si le défendeur est notifié dans le district où le tribunal fonctionnel. Si vous habitez à l'extérieur, sera porté à trois jours (article 258 CPP).

L'emplacement d'un essai se compose de deux éléments essentiels.

  • L'avis juridique de l'allégation de la défenderesse.
  • Il devrait être entièrement conforme à la loi donne au défendeur de se défendre ou de contester la créance.

N'importe lequel de ces éléments fait défaut ou omet de dire que pas de site dans ce procès et toutes les procédures subséquentes qui peuvent être faites sont nulles, car il lui manque l'élément essentiel est appelé à ne pas permettre au défendeur de se défendre. Tant et si bien que le juge permet au défendeur de retirer la demande non notifiée.

Fin de l'action :

Il s'agit de la fin de celle-ci après qu'elle a été exercée. Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles elle s'éteint.

Il est dit que la seule façon d'éteindre l'action est la démission de la personne ou le propriétaire de l'action. C'est l'opinion majoritaire.

L'action une fois qu'elle a été déduite peut également être éteinte par l'adoption de la phrase.

Également été mentionné comme une cause d'extinction de la limitation.

La renonciation, qui exploite une fois le procès a déjà commencé. Aussi pour le compromis, compromis et de conciliation.

Action revendication.

La demande est l'acte par lequel il a été affirmé devant un tribunal et faire face à une personne autre que la résolution d'un conflit entre cette personne et l'auteur de la plainte.

La confusion des deux concepts (action et intention) vient du fait que, généralement dans les procédures civiles, ils sont exercés ensemble. Par exemple, dans la revendication de procédure civile ordinaire pour l'exercice de l'action et le dépôt de la demande.

Ainsi, la demande se révèle être une conséquence logique de l'action. L'exercice du droit d'action à présenter une réclamation, et que ce droit est avant le procès.

L'Académie Royale de Langue, définit la demande ou l'objet d'un procès, le juge de demander une décision spécifique.

Éléments de la demande sont les suivants :

  • L'existence d'un sujet actif est l'acteur ou du demandeur.
  • Existence d'un contribuable, que la demande est la partie défenderesse. Et l'action est dirigée contre l'État pour mettre en mouvement son activité judiciaire, la demande est dirigée contre le défendeur.
  • Existence d'un objet qui est des avantages juridiques que la requérante demande (prestation juridique est demandée). Cela répond à la question : qu'est-ce que la demande est appelée ? Exemple : reconnaître ma qualité de propriétaire, héritier, etc.
  • L'existence d'une cause, qui est établie par la loi, dans le dernier paragraphe de l'article 177 CPC, est définie comme étant la base immédiate déduite en droit de première instance. Cela équivaut à demander pourquoi.
    • Si vous êtes droits de la personne, ce cas sera le fait juridique qui engendre l'obligation (le contrat, quasi-contrat, etc.).
    • Si vous êtes droits réels, dans ce cas pour déterminer la cause doit analyser les moyens d'acquérir les droits fonciers qui se posent (occupation, adhésion, tradition, etc.).

L'exception :

Dans l'action intentée par la demanderesse, faire une demande par le dépôt de la réclamation, le contribuable ou l'inaction ou le défendeur peut réagir.

En conséquence, le contribuable déduit répondre à la demande contre lui la peine de faire une réclamation, peut adopter les attitudes suivantes :

  1. Contumace : C'est une situation qui se produit dans le processus lorsque le défendeur assume une attitude passive, restant inactif, ne rien faire. La rébellion n'a pas d'importance l'acceptation d'un défendeur de la demande, avancés par la plaignante a fait dans sa demande, mais implique plutôt une réponse tacite de la demande qui se voient généralement refuser les principes fondamentaux de la demande.
  2. Réaction : Toutefois, si le défendeur comparaît, le processus peut prendre au sujet de la demande ou l'autre des attitudes suivantes :
    • Cambriolage : L'acceptation raid questions ou d'adhésion qui prévoit expressément à la demande du défendeur a affirmé que le sujet active dans son application. Pour un administrateur judiciaire, acquiescer à la demande doit avoir une puissance capacité spéciale à cette fin, en conformité avec les dispositions du paragraphe 2 de l'article 7 de la CPC. Le raid, quand elle est totale, c'est-à-dire lorsque vous importez l'acceptation de toutes les conclusions factuelles et juridiques de la revendication figurant dans la demande, ne provoquera pas l'arrêt du processus de notre droit, mais seulement publié à la cour de l'obligation réception de l'affaire au procès après la fin de la période de discussion en conformité avec les dispositions de l'article 313 du CPC. Exceptionnellement, dans les cas où l'intérêt public est compromis, le raid n'a pas produit l'effet de l'omission de procédures pour la réception de l'affaire au procès, la preuve terme et les observations de l'essai, comme dans cas de nullité de mariage, divorce, perpétuelle, etc. Lorsque le raid est une partie, ne génère que l'omission de prouver les droits des faits et de la demande qui sont acceptés, après avoir reçu le résultat du test par rapport au reste des faits sur lesquels le raid n'était pas tombé le défendeur.
    • L'opposition à réclamer : Il s'agit de la déclaration d'intention par la demande du défendeur que la Cour contre l'échec de l'acteur d'agir sur la demande faite par lui. En opposition à la demande, le défendeur conclut au rejet par l'action en justice affirmant la réclamation faite par l'acteur. L'opposition à la demande peut prendre les formes suivantes :
      • La défense négative : Ici, l'accusé nie l'élément de fait ou de droit qui sous-tend la demande. Est-ce une simple déclaration négative qui ne porte pas d'un fait nouveau. La réponse à la plainte dans laquelle le défendeur se limite à de simples allégations ou de défense et de ne pas faire d'exceptions pour la réclamation faite à la demande, signifie que le fardeau de la preuve incombe au demandeur, comme ceux le contribuable dans le processus ne présente pas un fait nouveau, l'intention de détruire la revendication affirmée.
      • Exceptions : Les exceptions sont les demandes faites par le défendeur, fondées sur des faits et du droit, qui sont effectivement éteints, de prévention ou d'invalidation de l'effet juridique revendiqué comme la base de la réclamation.
        • Les exceptions sont classées dans notre droit à :
          • Les exceptions dilatoires : Concept : celles qui ont trait à la régularité de la procédure sans affecter le bien-fondé de l'action (réclamation) déduit et gèle ainsi le procès jusqu'à ce que vous corrigiez le défaut. Exceptions dilatoires ont une limitation, car elles sont énumérées à l'article 303 du CPC, mais génériques assisté qui peuvent être compris dans le n° 6, tous les vices de procédure dont la correction peut demander au tribunal de cette manière, qui ne sont pas spécifiés. Par exemple, vous pouvez demander par la nullité de la procédure par voie de notification manquant ou défectueux de la demande, l'absence de l'accusé de la capacité ou de la personnalité ou du représentant légal qui a été appelé en son nom. Ces exceptions au simple procès civil doivent être appliquées toutes dans une lettre, avant de répondre à la demande et dans la période de préavis. Ce genre d'exceptions suspend le déroulement du procès et devrait être résolue par le tribunal après que le traitement de l'incident qu'ils génèrent. Sont préliminaires et la livraison spéciale.
          • Non-recevoir : Concept : Ces mesures visent à détruire le fondement de la demande de la partie adverse et sont donc tenues autant que les relations juridiques importants discutés dans le processus. Notre jurisprudence a défini l'exception péremptoire que tout titre ou motifs juridiques que le défendeur choisit de détruire, affaiblir et, en tant que tel, à rendre inefficace l'action de l'acteur, par exemple, la prescription, le paiement de la dette, etc. Ces exceptions sont généralement confondues avec les modes d'extinction des obligations énoncées dans le Code civil. Exceptions péremptoires ne suspendent pas le traitement du processus et ils doivent être confirmés par la défenderesse dans son mémoire en défense de la réclamation (article 309 du CPC). Il est important de noter que la partie défenderesse aura le fardeau de la preuve dans l'octroi de dérogations en ce qui concerne la revendication, car avec eux le contribuable dans le processus introduit un nouveau développement de caractère préventif, la modification ou la suppression, qui vise à détruire la demande que fait valoir. Enfin, le tribunal doit statuer sur les exceptions affirmées par le défendeur de la part de la dernière phrase, doit contenir les conclusions de fait et de droit sur lesquelles elle s'appuie pour faire cette déclaration. (Article 170 CPC n° 6).
          • Exceptions mixtes : Concept : Ce sont toutefois des exceptions qui ont le caractère d'impératives ; le législateur permet au défendeur de les faire respecter en tant que moyens dilatoires avant que la réponse à la plainte. Exceptions péremptoires que le législateur, il est possible de les appliquer, car les exceptions sont retarder une décision finale et de transaction. Exceptions faites de la chose jugée et retarder transaction que le tribunal peut échouer après le traitement de l'incident conclu qu'elles produisent ou qu'elles estimations qui sont de vastes connaissances, dans ce cas, envoyez répondre à la plainte et se réserve l'échec de ces exceptions à la décision finale (art. 304 CPC).
          • Exceptions anormales : Concept : Ce sont impératives que le législateur permet au défendeur d'être faites par écrit après la réponse à la demande, tout au long du déroulement du procès jusqu'à la citation à comparaître pour entendre la peine en première instance et à l'audition de la cause en appel (art.310 CPC). Sont de cette nature la prescription, la doctrine de la chose jugée, la transaction et le paiement effectif de la dette, à condition qu'il soit basé sur une histoire écrite. Ces exceptions anormales, si elles sont faites en première instance, après avoir reçu l'affaire en jugement, être considéré comme un incident ; vous pouvez bénéficier d'un procès si le tribunal a examiné et se réserve la résolution finale. Si on écarte en appel, continuera la même procédure, mais dans ce cas, la cour d'appel se prononcera sur eux dans une seule instance. (Art.310 CPC).
      • La demande reconventionnelle : Concept : une demande reconventionnelle du défendeur contre le demandeur, qui déduit en utilisant le processus judiciaire provoqué par cette dernière initiative. En termes plus simples, il est dit que la demande reconventionnelle est la demande du défendeur contre le demandeur. La raison en est autorisée à déduire la partie défenderesse reconventionnelle obéit à un principe d'économie jurisprudentielle, car il permet d'utiliser la même procédure résout à la fois l'acteur a fait la demande que fait valoir dans sa demande et la réclamation du droit invoqué son reconventionnelle. L'occasion de laquelle le défendeur doit tirer sa demande reconventionnelle est dans la réponse de la demande (art.314 CPC). Enfin, la demande reconventionnelle doit être traitée et ne pas en conjonction avec l'application principale (art.316 CPC), alors elle doit être notifiée à la requérante, qui peut prendre sur la demande reconventionnelle les mêmes attitudes que le défendeur à l'égard de la demande.

LE PROCES

Avant de noter que le processus était le moyen établi par la loi pour l'exercice de la compétence, la création la plus parfaite connue et par lequel les parties de leurs revendications et à travers lequel le tribunal saisi de l'affaire et qu'elle n'en résout.

Définition : La séquence des événements qui sont retournés progressivement, afin de résoudre, à travers un procès de l'autorité, le différend qui leur sont soumis.

Analyse de cette définition : Du moment où la violation se produit un droit, le propriétaire avait utilisé pour protéger l'État, qui est fourni par les organismes à qui la fonction judiciaire. La manière de déclencher cette protection est déduit une réclamation, qui est la façon normale d'engager des procédures, et se manifeste plus tard dans une procédure judiciaire qui est appelée une peine.

Toutefois, entre le dépôt de la plainte et la délivrance de la peine, se développent une série d'actes de procédure judiciaire, qui est ainsi appelé un processus. Le processus de mot est de relativement récente ; comme précédemment utilisé le terme « vue », synonyme de déclaration des droits, mais de préférence le premier parce qu'il est plus large, car elle comprend à la fois les actes de procédure des parties et le tribunal, quel que soit la nature de ces « contentieuse ou volontaire », et il implique également les mesures d'exécution et de prévention, qui ne sont pas spécifiquement conçues pour déclarer institutions des droits, mais poursuivre la réalisation compulsive ou les mettre en garde au début.

Il a été dit à juste titre que le processus à long terme est entre les sexes et le terme « vue », l'espèce. Ce dernier est généralement déclaration controversée et pertinentes du droit. La première implique l'idée, au lieu de la protection judiciaire de l'État pour les particuliers.

En outre, la procédure de première instance d'expression est plus proche de ce processus. Pour l'influence espagnole dans les codes du Chili, cette expression est la même procédure, ce qui est de savoir comment on se réfère au livre II du procès de la CPC, exécutif obligations Jugement de donner, à faire et à ne pas faire dans les parties I et II du livre CPC III, de l'arbitrage, même de parler de plaidoiries dans le RPC, etc.

Ensuite, nous donnons un sens du terme « procédure » pour distinguer les processus à long terme.

Procédure : L'ensemble des exigences formelles qui organise le développement du processus pour remplir son objectif.

Il convient également de noter que le terme « processus » ne doit pas être confondu avec « enregistrement ».

Fichier : est l'expression matérielle du processus, un objet physique, une chose. Liasse de papiers qui enregistrent les actes d'un procès (article 29 du CPP).

Dans cette loi, le législateur utilise trois mots différents : lettres, documents et procédures.

A. - Les écrits :

Définition : demande que les parties ont fait et soumis à la juridiction concernée.

L'écriture est synonyme d'ordre. Grâce à elles, les parties font valoir leurs revendications et contre, et affirment plusieurs demandes pour donner effet à cette progression.

Ces écrits doivent être formels, et dans cette affaire, la loi distingue entre deux types de formalités :

  • Formalités communes ou générales, qui doivent toujours être respectées.
  • Des formalités particulières de chaque lettre en particulier, qui sont établies pour certains écrits. Exemples :
    • Art.254 du CPP prévoit que les exigences essentielles de la déclaration.
    • En ce qui concerne la défense de la réclamation, vous devez satisfaire aux exigences de l'article 309 du CPC.
    • L'avis d'appel doit contenir les exigences contenues dans les articles 189 et 190 paragraphe 1 de la CPC.

Dans des conditions générales, la loi prévoit plusieurs formalités qui doivent toujours répondre à l'écrit :

  • Doivent être soumises sur papier ordinaire.
  • Devrait conduire à une somme qui précise sous forme de résumé de la procédure en question ou de son contenu.
  • Les écrits sont présentés à la Cour par le Secrétaire. Il individualise la personne qui demande la lettre, l'identification des pièces du procès et le n° de rôle.
  • Chaque lettre doit être accompagnée d'autant de copies que le nombre de parties à informer de la résolution écrite.

Le paragraphe 2 de l'Art.31 du CPP prévoit certaines exceptions possibles pour quelques écrits où il est nécessaire de fournir une copie ; ce sont les aspects qui touchent une simple formalité. Exemple : des écrits qui sont destinés à comparaître personnellement en cour, contraintes d'ordre, en général, toute autre mesure de la transformation simple, etc.

Le paragraphe 3 de l'art.31 CPC prévoit que, si les copies ne sont pas livrées ou si elle est en profond désaccord entre elles et la lettre originale, ne fonctionne pas au sein de la partie et le tribunal devrait imposer une amende plan.

Le paragraphe 4 du même article prévoit que l'ordonnance du tribunal, en outre, que les copies d'accompagnement dans les trois jours, à défaut de quoi n'ont pas soumis la lettre. Les décisions de la cour a ordonné des amendes et à l'arrière, sous peine d'accompagnement sont définitives.

e. - Les lettres doivent être signées par la partie ou le mandataire, le cas échéant. Aussi la première lettre doit être signée par le procureur de sponsoring.

Cette dernière est une condition importante si la loi ne prévoit pas expressément indiqué.

B. - Tous les documents :

Tous ces instruments publics ou privés d'accompagnement.

Une lettre est aussi un document, mais la loi se réfère à tous les documents ou des instruments du point de vue des éléments de preuve, pièce qui accompagne le procès pour prouver le fait. Le document est considéré comme un critère de ressources. Un tel bail, un acte, etc.

C. - Les performances de toutes sortes :

Ces actions correspondent aux diverses mesures qui seront vérifiées dans le processus. Les différentes étapes procédurales qui façonnent le dossier. Exemples : production d'une citation à comparaître à une audience, des preuves de déclarations de témoins, l'acquittement de positions, de notification, etc.

Observations écrites :

Toute écriture est présentée, comme déjà mentionné, par le greffier du tribunal compétent, sauf la première lettre dans les collectivités où il existe plusieurs tribunaux dans la même compétition, auquel cas il doit, si aucune cour d'appel, le secrétaire du tribunal, mais aller en cour de service.

Secrétaire de recevoir des copies de la lettre doit être placée sur chaque feuillet sa signature partielle ou un tampon approuvé par le tribunal (appelé une charge) ; le sceau est très important car il indique la date de dépôt, qui indique si la lettre a été présentée à temps ou pas.

Par ailleurs, le secrétaire remet un reçu pour les documents d'accompagnement (ce qui n'est presque jamais demandé).

Le greffier doit alors présenter une déclaration devant le juge pour une décision.

Le processus de division ou de l'autorité :

Du point de vue matériel, le processus est normal sous forme de principe d'une seule unité (un volume). Exceptionnellement, il est permis à la division, et cela peut être dû principalement à deux raisons :

  • Le nombre d'actions à elle : dans ce cas, on parle de beaucoup. Ce problème est résolu et ordonné par le juge.
  • En raison de la qualité de la substance ou le contenu de la procédure, on parle ici des livres ou des classes. Cela se produit lorsqu'un processus se produit différents problèmes ou incidents (article 87 paragraphe 2 du CPP) et dans un autre cas, la loi exige la formation de ces ordinateurs portables, par exemple dans un cadre (bloc-notes de premier plan et de l'urgence. Art. 458 CPC).

En outre, toutes les parties du processus doivent être ajoutées par ordre chronologique et successivement ; ici, le secrétaire est tenu de rendre la numérotation de chaque folio, avec des chiffres et des lettres, c'est ce que le fichier est appelé foliation.

Parfois, une partie peut demander, pour des motifs raisonnables, qu'un précédent soit notamment tenu à l'écart du processus ; c'est ce qu'on appelle le maintien en détention ; ce dossier est à noter le 1er janvier (Chèques, traites, etc.).

Et le service des dossiers de maintenance :

La loi stipule que les dossiers seront conservés au greffe de la Cour, en garde à vue et sous la responsabilité du secrétaire. (Art.36 de la CPC et de l'art. 380 N° 4 du Code).

En ce qui concerne la requête, l'une des parties et d'autres personnes sont habilitées à examiner les dossiers et les procédures judiciaires imposées. C'est parce que le principe de la publicité. Le COT art.9 n° prévoit expressément que les actes des tribunaux sont publics, donc n'importe qui peut vérifier les tribunaux respectifs dans une instance civile de la procédure qui lui sont imposées.

Toutefois, il n'est pas autorisé à retirer les dossiers des tribunaux, avec des exceptions prévues par la loi ; les fonctionnaires peuvent supprimer le fichier (art.37 CPC), et ce sont les bénéficiaires de la magistrature judiciaire des défenseurs publics et des procureurs. Chaque fois que vous supprimez un fichier, il convient de noter dans un livre.

Parfois, une partie ou un tiers nécessite d'éliminer ou de récupérer un document qui a été ajouté, important pour le processus, cela dépend de la nature du document, et cela doit demander au juge, qui doit accorder, qui doit provenir de la répartition du document (arts.29 paragraphe 2 et 35 du CPC).

La ventilation est le remplacement du document incorporé par un procédé qui remplace le virage, indiquant que le document a été retiré.

La nature juridique du processus :

L'une des questions les plus débattues dans les procédures scientifiques est la nature juridique ou l'essence du processus. Cinq solutions principales ont été formulées à cet égard : a) la théorie contractualiste, b) la relation juridique, c) la situation juridique, d) de la pluralité de relations, et e) de l'institution.

1. - La théorie contractualiste (Pothier, Demolombe, Aubry et Rau) : Cette théorie suppose l'existence d'un contrat entre le demandeur et le défendeur dans la fixation des points de controverse, ce qui limite le pouvoir du tribunal de résolution. Son origine vient de l'institution du droit romain appelée contentieux Contestatio, et a deux variantes : le contrat et le quasi-contrat.

La théorie des contrats est basée sur les principes philosophiques de Rousseau sur le contrat social, puisque l'on estime que la soumission de la volonté individuelle à l'autorité au sein du processus a son origine dans un contrat.

L'hypothèse de cette théorie, en ce que il y aurait un accord volontaire entre les parties à soumettre un conflit d'intérêt juridique à la connaissance d'un tribunal pour une décision rendue par le processus de confrontation, est fausse et pourrait être appliquée que dans les cas de questions volontairement soumises à l'arbitrage, puisque la loi impose au défendeur dans les poursuites civiles et au prévenu ou à l'accusé dans une procédure pénale, l'obligation de se soumettre au processus initié par la demande dans le premier type de cas ou la plainte, ou dénonciation de la poursuite en matière criminelle par le dépôt ou ayant son origine l'autorité du juge et l'obligation de la peine prononcée par la loi.

En outre, la théorie est également quasi-civile et à travers elle cherche également à expliquer l'origine du processus nécessaire et pas seulement la nature juridique de celle-ci, et de chercher dans ce cas que la source de l'obligation quasi, c'est-à-fait juridique unilatéral, volontaire, légale, qui génère des obligations.

Le requérant procéderait à un fait juridique, légal, non-conventionnel de faire appel à un tribunal en déposant votre demande, et le défendeur à assister au procès, a également effectué un fait juridique, de production légale et non conventionnelle autour de lui, et donc une quasi-obligation d'accepter le procès et la peine prononcée.

C'est selon cette théorie, bien qu'il n'y ait pas de réunion des esprits, il y a des déclarations individuelles dans la forme de comparaître devant le tribunal.

Cette théorie souffre des défauts inhérents à la loi civile les mêmes, pas en mesure de préciser, comme la théorie du contrat, le fondement de l'obligation à la partie en défaut, ainsi que celles faisant l'objet de poursuites pénales.

2. Valeur théorique de la procédure judiciaire : Cette théorie, bien qu'étant d'origine germanique (Von Vüllow), a été développée par les auteurs italiens. Un indique que l'activité des parties et du juge sont réglementés par la loi ; et que le processus crée des droits et obligations pour les sujets qui y participent, et sa principale mission est la conduite de la loi, formant ainsi une relation juridique procédurale, autonome et complexe, appartenant au droit public.

De cette théorie va produire l'indépendance du droit procédural.

3. Théorie de la condition : Cette théorie est créée par la société Goldschmidt ; elle est contraire à ce qui précède, elle nie l'existence d'une relation juridique dans le processus ; il ne voit que d'un ensemble de situations juridiques, à savoir, les attentes des parties, les possibilités pour eux, les charges ou les libérations du processus, qui se traduisent par des situations dans le processus. Le juge, à son tour, n'a pas de devoirs ou d'obligations, mais comme un organe de l'État, est celui qui dirige et gouverne le processus en stricte conformité avec la loi.

4. La théorie de la pluralité des relations : Cette théorie, faite par Carnelutti, voit dans le processus la création d'un ensemble de multiples relations juridiques découlant de la combinaison d'une obligation et d'un droit à terme, et vise à fournir une activité pour le déroulement normal du processus.

5. La théorie de l'institution : Cette théorie est défendue en particulier par Guasp ; dans le processus, il estime qu'il y a de véritables droits et obligations juridiques, ajoutant que l'institution désigne toutes les activités, et fait également valoir que le processus est une institution, parce que l'idée commune qui est l'objectif observé est la satisfaction d'une revendication, et que toutes les volontés de ceux qui agissent dans le processus ont tendance à cette idée assez répandue que, s'ils le jugent, le défendeur ou le demandeur.

Classement du processus :

Processus, compte tenu de sa grande variété, de soutenir une variété de classifications, en fonction des points de vue d'où elles proviennent.

A. « Selon la nature controversée de la loi, sont classés comme sanctions pénales et civiles :

  1. Civil : sont celles où le droit en cause est de nature civile. Ces temps, à leur tour, peuvent être classés en deux grandes catégories : matière contentieuse et non contentieuse ou volontaire.
  2. Criminel : ceux dans lesquels le droit en question est de nature criminelle.

Dans la nouvelle procédure pénale :

Les crimes, selon la phrase, sont classés comme crimes, délits et contraventions.

  • Les disparus : le savoir des garanties tribunaux par des procédures de contrôle (lorsque le procureur demande une amende) et simplifiée (pour les juges afin de garantir pour connaître les défauts et les simples faits constituant l'infraction pour laquelle les procureurs exigent l'imposition d'une amende n'excédant pas l'emprisonnement ou l'emprisonnement dans son degré minimum).
  • Crimes et délits : pour déterminer comment elle peut être déduite de l'action et la procédure à suivre, les crimes sont considérés comme des infractions pénales, publiques, privées et des poursuites du ministère public, après un cas particulier.

La procédure à utiliser pour la manipulation de tels crimes sont les suivants :

  1. La procédure simplifiée.
  2. Le simplifiée.
  3. La voie orale.

B. - En tant que son objet diffère de la cognition ou des connaissances, la mise en œuvre et la conservation :

  1. Les connaissances : ont tendance à obtenir une condamnation du défendeur, la simple déclaration des droits, ou d'obtenir, par ce qui précède, un effet constitutif.
  2. Le terme : forcé ou obligatoire le respect chasse avec une obligation.
  3. Les conservatoires de précaution : sont chargés d'assurer le résultat de la connaissance ou du pouvoir exécutif qui peut être antérieur ou contemporain.

C. - À sa manière en actions ordinaires, spéciaux et de synthèse.

D. - Sur la base de son contenu, sont classés comme unique et universel :

  1. Singuliers : ceux qui ont un intérêt d'une ou plusieurs personnes déterminées, mais aussi à l'égard d'un droit particulier.
  2. Universels : plutôt ceux dans lesquels l'objet des présentes comprend une universalité, comme le patrimoine d'une personne ou la succession d'un défunt. Des exemples de procédures de faillite récente et demande d'héritage.

E. - En fonction de votre niveau, dans, mineurs et majeurs montant minimal.

F. - Dans son rituel, en verbale et écrite.

Principes de formation du processus :

Il y a certaines idées ou concepts de nature fondamentale qui forment un système donné, compte tenu de la fin du processus. Les actes des parties et le juge sont ciblés dans la décision finale. Ces principes sont issus de notre propre loi et du droit procédural est basé sur certains principes qui sont caractéristiques de la loi chilienne.

Ces principes sont normalement étudiés par paires, puisque, normalement, un principe est opposé à l'autre, se produisant à travers deux concepts contradictoires.

1. - Le principe de l'oralité et de l'écriture :

  • Le principe de l'oralité : désigne le processus qui a dominé la procédure par voie orale ou par voie orale, tant dans les actions des parties quant à la preuve qui peut être tenue.
  • Le principe de l'écriture : est que la procédure dominée dans le processus documenté, tant dans les arguments des parties comme preuve qui peuvent être faites.

Le principe et le système de principe par écrit et l'oralité et le système sont offerts comme des principes opposés et des systèmes.

Au Chili, il y a des manifestations des deux principes avec une distinction claire entre les affaires civiles et pénales.

En matière civile, le maintien du principe de l'acte (par exemple procès ordinaire), à l'exception d'un procès sommaire, dans lequel permet même la demande peut être formulée verbalement, mais de permettre aux parties de soumettre des procès verbaux (art. 680 CPC).

2. - Le principe de la médiation et de l'immédiateté : Il fait référence au lien qui est le juge avec les différents acteurs qui ont un processus, qu'il soit direct ou indirect.

  • L'immédiateté : est le principe selon lequel vise à garantir que le tribunal est en étroite relation avec les sujets du processus, ce qui signifie que le juge recevait directement, sans intermédiaires, les procès ou les plaidoiries des parties.
  • La médiation : est le principe selon lequel le juge n'est pas dans une relation intime et permanente avec les sujets du processus, mais cette liaison se fait par le biais d'un courtier (les lettres qu'ils envoient par secrétaire).

Dans la procédure pénale, le principe de l'immédiateté caractérise, alors qu'en matière civile, en général, dans les demandes de pièces brutes, le principe de la médiation prévaut.

3. - Curieux et dispositif préféré : L'énergie ou le moment que tous les besoins de la naissance et le processus de développement peuvent être dispensés principalement aux parties ou du juge.

  • Le principe dispositif : est que l'initiative de proposer et de production de la preuve dans le procès est spécifiquement réservé aux parties et la cour a simplement à l'ordre de la réception de ces tests, c'est-à-dire une adresse officielle. Chili procédure civile est informé par le principe dispositif.
  • Curieux principe : il faut donner au juge l'initiative et le règlement de procédure.

4. - Le principe de continuité et de la concentration :

  • Le principe de continuité ou de la ligne : signifie que le processus doit être développé à travers diverses étapes et chacune est composée d'une série d'actions, et ces étapes doivent aller à la rencontre séparément et successivement. En vertu de ce principe, le juge doit être résolu dans un précédent tous les incidents (les questions accessoires) qui se produisent pendant le processus et avant la sentence finale.
  • Le principe de concentration : est destiné à recueillir ou à se concentrer en une seule audience, ou dans le moins grand nombre d'audiences, toutes les poursuites, soit les revendications découlant, ne pas témoigner et que l'incident soit résolu la décision finale.

Au Chili, il reste le principe de la continuité, mais il y a une exception à cette règle, le procès sommaire qui vise au début de la fusion.

5. - Haut de la publicité et le secret :

  • Le principe de la publicité : permet aux parties et aux tierces parties de prendre connaissance des différentes actions menées. Cette publicité est la meilleure façon de garantir le droit des parties.
  • Au début de la procédure du procès secret : doit être gardé en réserve et ne peut être connu des parties intéressées ou encore moins par d'autres.

En matière civile, régies par le principe de la publicité en général. En matière pénale, dans l'ancien processus a prévalu dans le stade de l'enquête et le nouveau processus criminel est le même, oral et public.

6. - Haut de l'ex parte et de l'encouragement officiel : Il s'agit de ce qu'on appelle le processus en mouvement, qui est la force d'un processus. Cela dépendra de savoir si l'impulsion vient des parties ou le juge lui-même. Si cette force vient de parler, par exemple, des plaideurs, si le contraire émane de l'encouragement officiel de la cour.

  • Dans le premier cas : les justiciables eux-mêmes sont ceux qui ont le pouvoir de donner, de débuter et de faire avancer le processus à travers l'écriture.
  • Au début de l'encouragement officiel : le juge a le pouvoir de faire avancer le processus, sans préjudice des pouvoirs des parties.

Le système chilien de la procédure civile est toujours initiée par une partie et l'exhorter exige en outre la volonté des parties. Ce n'est cependant pas absolu, que le juge peut avoir certaines responsabilités sans être demandé par les parties.

7. - Haut de bilatéralisme et unilatéralisme :

  • Le principe de la nature bilatérale de l'audition, également connu comme le principe de contradiction, met les deux parties sur un pied d'égalité ; elles doivent avoir chacune dans la procédure les mêmes droits et l'égalité des chances procédurales, dans le processus, quelle que soit la procédure. Ce principe postule que le droit d'être entendu doit être accordé sur un pied d'égalité. Le bilatéralisme ne signifie pas nécessairement avoir à intervenir des deux côtés dans le même document pour qu'il soit valide, mais que le législateur veut donner à la partie la possibilité d'apprendre (par le biais de la notification pertinente) et de défendre l'autre partie.
  • Le principe de l'unilatéralisme : est unique dans notre système et en vertu de ce principe, le législateur, dans certains cas, a permis d'accomplir un acte à l'insu des autres parties ou d'exercer un ordre avant d'être notifiée à la partie à laquelle elle affecte. Ces mesures de précaution (art.302 alinéa 2 du CPP).

8. - Principe de l'évaluation des éléments de preuve.

Est-ce lié à la façon dont le juge prendra pour un fait établi lors du procès. En général, le juge peut faire pour satisfaire les faits de la peine, dans la mesure où ces faits ont été testés. Conclusion qui est atteinte par l'évaluation ou l'appréciation de la preuve.

Il existe trois systèmes de base de l'évaluation des éléments de preuve :

  • Le système de preuve juridique.
  • Le système d'auto-conviction.
  • Le système d'une saine critique.

a. - Le système de preuve juridique ou prévue : est celui qui est caractérisé par le législateur lui-même qui établit les éléments de preuve qui peuvent être utilisés par les parties, et a également noté dans chaque cas, qui sera l'efficacité ou la valeur probante de chacun d'eux, de sorte que le juge ne doit appliquer les règles. C'est le système qui prévaut dans notre CPC.

b. - Le système d'auto-conviction : cette façon de penser n'est pas nécessairement la preuve qui soutient que le procédé présente au juge ou au milieu des informations susceptibles d'être vérifiées par les parties. Dans cette méthode, le juge devient convaincu de la vérité avec des voitures de preuve, hors de la voiture de course et d'essai contre la voiture (la notion d'Ignacio Rodriguez Papic).

c. - Évaluation de la preuve dans la conscience : Il s'agit d'un pouvoir conféré par la loi devant les tribunaux pour estimer les voitures de fond produites conformément aux principes d'équité et de prudence et à la lumière de la saine raison et de former avec eux une déclaration de culpabilité de l'existence de certains faits.

d. - Le système de son critique : à Ignacio Rodriguez Papic, ce sont les règles de l'entendement humain approprié. Ils interfèrent avec les règles de la logique avec les règles de l'expérience du tribunal. Tous deux contribuent également au magistrat pour analyser l'essai conformément à la saine raison et à la connaissance expérimentale des cas. Le juge doit décider selon son critique ; il n'est pas ouvert à la raison, il va utiliser son pouvoir discrétionnaire de façon arbitraire. Les règles qui ne sont pas établies dans les codes, il est donc un processus interne et subjectif qui analyse un point de vue exprimé par un autre, c'est-à-dire, est essentiellement une question de discrétion et, par conséquent, en fait, ce cas le juge doit statuer selon certaines règles non écrites, qui sont des règles de l'entendement humain, que les règles de la logique doivent être fondées la peine. Dans ce cas, si le juge doit donner les raisons de l'établissement de la vérité. Exemple : rapport d'expert sur le CPC. L'article 297 du Code de procédure pénale.

9. - Le principe de l'estoppel et de la liberté :

  • Le principe de l'estoppel : c'est que dans le processus, les procédures doivent être respectées en temps voulu et si elle n'est pas, ce droit est éteint ou perdu. C'est-à-dire, chaque action est établie pour une période donnée dans le processus, après quoi l'activité ne peut plus se faire. Ce principe garantit l'ordre de la procédure des parties, le juge ou les auxiliaires de l'administration de la justice.
  • Le principe de la liberté : signifie qu'aucune étape du processus ne répond aux actes de procédure et ceux-ci peuvent se réunir librement dans n'importe quelle partie du processus.

Au Chili, le principe dominant est celui de l'estoppel.

10. - Principe d'économie jurisprudentielle : C'est un principe qui affirme que le processus doit se dérouler dans les plus brefs délais, avec le moins de mesures possibles, avec le moins de frais pour les parties, et à cette fin, il s'agit de gagner du temps pour l'action et les parties.

Exemples : la jonction, la pluralité de la réclamation, de demande reconventionnelle, incidents, etc.

Éléments du processus :

On peut distinguer deux sortes d'éléments : le subjectif et l'objectif.

  1. Les éléments subjectifs : On peut traiter les parties et le juge, nonobstant le fait qu'il y ait d'autres intervenants subjectifs dans le processus qui peuvent devenir parties à la convention, en particulier en matière pénale : le procureur général, le plaignant s'il devient plaignant.
  2. L'élément objectif du processus : le différend soumis à une décision de justice qui intègre deux institutions transcendantes de procédure : l'affirmation que fait par l'acteur et les exceptions qui font obstacle à la partie défenderesse.

L'élément subjectif du processus

  1. Les sujets du processus : Les parties et le juge.
  2. Le juge : a un rôle vital dans le processus. La pertinence varie selon que la procédure est périphérique ou inquisitoire.

La mission du juge comme élément subjectif :

  • Obtenir les observations des parties, que, en appliquant le principe de l'audition bilatérale. Il devrait vérifier l'exactitude des demandes des parties en examinant les éléments de preuve. Il s'agissait des principes de médiation et d'immédiateté.
  • Le juge décide des observations des parties ; il rend à travers les décisions des tribunaux.
  • d. - Pèse la valeur probante des éléments de preuve présentés.
  • Sa mission est de prononcer la sentence.

B. - Parties :

Concept : Ce sont les sujets dont la guerre se produit ou les différends moraux, et sont connus sous le nom du demandeur et du défendeur dans l'action civile, en tant que demandeur ou défendeur dans les affaires pénales.

Classification des parties :

  • Directes ou grandes parties du processus ou de ces parties elles-mêmes, et les tiers indirects.
  • A. Parties directes : Ceux qui commencent à la course, établissant les mesures qui s'imposent ou sont contraints de supporter les relations de procédure pour avoir dirigé l'action contre lui ou parce que par une disposition expresse de la loi devrait assumer le rôle de demandeurs ou défendeurs, sous peine d'encourir les sanctions qu'elle incarne.

Ce concept s'ensuit qu'il y a des types suivants de la partie directe :

  • La plaignante et le plaignant : qui sont ceux qui tirent leur plainte ou un grief à l'origine du processus, ce qui provoque l'exercice de la compétence de la cour.
  • La défenderesse et le défendeur : sont ceux contre qui l'action est claire, que pour bien défendre leurs droits, ont la charge d'apparaître dans le processus.
  • Le demandeur forcé : qui est cette personne qui détient, même si le demandeur dépose l'action elle-même, pas l'action volontaire, mais doit demander au défendeur de comparaître à la date limite pour répondre à la plainte.

Par exemple : une personne qui a été nommée héritier par testament, l'action demande d'héritage contre une autre personne, qui a été accordée la possession de la succession en vertu des règles de succession ab intestat. Si les héritiers désignés dans le testament sont différents, le défendeur peut demander en vertu de l'article 21 de la CPC, la demande étant portée à l'attention de ces autres, alors ils s'en tiennent ou non la demande en raison du non-exercice défendeur, ce droit, il suggère une nouvelle action en justice contre lui par les autres héritiers, comme le premier essai n'a pas été affecté, car ils n'étaient pas parties.

Dans ce cas, si les gens adhèrent à la demande, ils deviennent parties directement ; si, dans le temps de répondre à la plainte, disent qu'ils ne veulent pas adhérer, leurs droits expirent ; si tout ce qu'ils disent, aura une incidence sur l'issue du processus, sans nouvelle sommation ; en tout cas, si elles ne semblent pas à ce moment peut le faire plus tard au cours de la suite du procès, mais dans ce cas doit accepter ce qui a été fait.

D'autres cas se vantent, d'une sommation aux créanciers hypothécaires dans une direction et la vérification des créances en cas de faillite.

Le défendeur forcé : Quelqu'un qui vit sans être poursuivi en justice est obligé de comparaître en cour pour défendre les droits du défendeur. L'exemple typique est l'assignation d'expulsion, lorsque l'acheteur d'une chose est affectée par un procès intenté contre lui concernant la chose vendue, a le droit de demander un devis à la personne qui lui a vendu le genre, lui permettant de la défendre, acquérant un caractère de celui-ci exige.

B. ou à des tiers indirects :

Définition : Les personnes qui se portent volontaires pour le traitement après l'ouverture, ont des revendications à ce sujet, ce qui peut apparaître à n'importe quel stade du procès sur ce qu'on a fait. Ces tiers seront affectés par les décisions prises dans le processus ainsi que les principaux partis.

Ne pas confondre ces tiers avec d'autres tiers qui ne sont pas et ne seront jamais une partie du procès, mais qu'ils prendront part à un procès en tant que témoins, experts, etc.

La règle générale est que la loi autorise l'intervention de tiers dans le cadre indirectement dans les différents essais et les procédures. Mais il y a d'autres cas où la loi autorise l'intervention de tiers dans certaines limites. Ceci s'applique dans le cas de l'action exécutive, où la loi réglemente attentivement la participation des conditions externes doivent être établies. (Art.518 du CPP).

Exigences relatives à l'intervention de tiers :

  • Être effectivement un rôle indirect, un tiers ; il peut y avoir figuré dans le cas comme défendeur ou demandeur.
  • Il devrait y avoir un procès en cours, en attendant le procès.
  • Le tiers doit avoir un intérêt actuel à l'issue du procès, cela signifie que le tiers a le droit d'avoir commis, et non de simples attentes.
  • L'intervention d'un tiers doit être autorisée.

Classes d'intervention d'un tiers :

Sont régies par les articles 22 et 23 du CPC.

La partie indirecte dans le procès peut intervenir de différentes manières en fonction de l'intérêt qu'ils ont dans le processus et parce qu'il peut être classé en :

  • Troisième aide : sont ceux qui ont un intérêt direct dans l'issue du procès en harmonie avec celle du demandeur ou du défendeur. Troisième aide viennent d'occuper pratiquement un collaborateur avec le demandeur ou le défendeur. Le tiers d'intervenir dans une affaire d'adjuvant est nécessaire d'avoir un intérêt actuel, qui ont un caractère si elle a entrepris un droit et non un simple espoir de la troisième au moment de son intervention. Comme il y a une identité de défense et les positions de la troisième à un parti, ce parti doit agir de concert avec la partie qui colle à travers un mandataire commun, conformément à l'art. 23, sans préjudice des réclamations et payer séparément les éléments de preuve qu'il estime utiles, si ce n'est pas d'accord avec la procédure adoptée par le procureur de la commune. Tel un créancier du plaignant dans un procès peut avoir un intérêt à faire valoir qu'il remporte le cas, comme ont donc plus de marchandises dans lesquelles se rendre compte de leur crédit. La même chose s'applique à l'inverse, si le défendeur veut être privé de sa propriété sur laquelle un créancier peut exécuter ses propres dettes.
  • Troisième exclusif : sont ceux qui ont des droits exclusifs incompatibles avec le demandeur et le défendeur sur la question en cause. Ces tierces parties agissent de concert avec un tiers par le biais de l'avocat commun, mais séparément. Exemples : tiers avec le domaine et de possession dans le pouvoir exécutif. Cette intervention est permise d'éviter de nouveaux procès dans le procès principal (art. 22 du CPP). Lorsqu'ils sont impliqués, vous acceptez ce qui a été fait avant la présentation ; doit poursuivre le procès dans l'état où vous êtes.
  • Tiers indépendant : Ces gens qui ont un intérêt dans l'affaire a été portée devant leur propre, indépendante de celle de l'acteur et le défendeur, mais ne sont pas incompatibles avec ceux qui peuvent influer sur l'issue du procès. Exemple dans le troisième procès revendiquer affirme que la chose qu'il a le droit d'usufruit. (Art.23 alinéa final du CPC).

Plusieurs parties ont

L'implication des acteurs dans le processus et en particulier le nombre de pièces qui peuvent être impliqués dans elle est réglementée par les articles 18 et suivants. CPC.

La règle générale est que d'un processus implique une personne a le contrôle de la qualité du demandeur et une autre personne a le contrôle de la qualité de la partie défenderesse.

Toutefois, le législateur envisage également la possibilité que plus d'un demandeur ou plus d'un défendeur dans le processus. La loi permet aux deux parties il y a plusieurs directs et indirects, qui est fondée sur des considérations d'économie jurisprudentielle et aussi pour éviter la possibilité de jugements contradictoires.

Lorsque ce ratio est multiple procédure, on parle de plusieurs parties, et tous ceux qui sont appelés parties ensemble en tant que partie consorts plaideur ou contentieux (également connu sous le nom de la poliomyélite consortio).

Classification du litis consortio ou de plusieurs parties :

Cette classification prend en charge plusieurs parties compte tenu de plusieurs facteurs :

  • Compte tenu du nombre de sujets qui composent chaque partie dans le procès, le consortio contentieux peut être actif, passif ou mixte : Si plusieurs acteurs ou les demandeurs et défendeurs, parle de litis consortio active. S'il y a plusieurs défendeurs et il y a un seul acteur ou le demandeur, parle d'une litis consortio passive. Si plusieurs candidats conjointement doivent être respectés et un certain nombre d'accusés, d'être en présence d'un litis consortium mixte.
  • Servant à la fois se pose, la combinaison est classée litis consortio, consortium et consortium suivant litige initial :
    • Le litis consortio commencerait : plusieurs parties qui ont leur origine dans l'ouverture du procès proprement dit, qui est créé lorsque la demande a ou déduit dans le procès, cette demande soit parce que les demandeurs déduisent plusieurs contre un seul défendeur, ou un acteur contre plusieurs défendeurs ou de nombreux demandeurs contre les défendeurs multiples (article 18 du CPP).
    • Le litis consortio successives : est la multiplicité des parties formée après la notification de la demande, soit après un procès déjà porté devant les tribunaux. Ce sera le cas dans tous les cas qui, après avis de la demande, se met en place par d'autres dans l'une des trois qualités (adjuvants, exclusifs et indépendants), par exemple l'art. 21 de la CPC.
  • Considérant que le litis consortio obligatoire, est classé comme volontaire ou facultative consortio litiges et contentieux consortio obligatoire ou nécessaire :
    • L'option ou volontaire : va produire la pluralité des parties de la volonté du plaideur, spontanément. Ces personnes n'ont pas d'obligation de recourir à cette institution. Le CPC art.18 ce qui concerne ce cas, lorsqu'il est exprimé dans un seul essai peut intervenir...
    • Dans la poursuite consortio : être obligatoire ou nécessaire lorsque la loi exige que les parties agissent de concert, dans certains cas. C'est ce qui arrive dans la situation envisagée à l'article 19 de la CPC, quand il affirme que si deux ou plusieurs parties s'engagent dans une action en justice ou de la gestion judiciaire et de déduire les mêmes actions, doivent atteindre tous ensemble ou constituant un seul agent. La même règle s'applique dans le cas où il y a plusieurs défendeurs qui s'opposent mêmes exceptions ou défenses. L'article 19, paragraphe 2 du CPC.

Cas dans lesquels prend place plusieurs parties ou litis consortio.

L'article 18 de la CPC stipule que dans un procès peut intervenir en tant que demandeurs ou poursuivis plusieurs personnes dans les cas suivants :

  • Lorsque vous déduisez la même action par plusieurs personnes. Dans ce cas, la loi dit que ces gens différents doivent travailler ensemble à travers un mandataire commun (ils sont représentés par la même personne). Par exemple, lorsque plusieurs héritiers font valoir l'action demande d'héritage, lorsque 5 personnes s'engagent dans des actions de recouvrement sur un site qui a affirmé avoir obtenu un héritage.
  • Quand vous déduisez diverses actions découlant directement et immédiatement de la même épreuve. Par exemple, l'action du propriétaire contre le locataire et le sous-locataire contre, de sorte qu'il restitue la chose louée, même si 10 personnes s'engagent dans une action en dommages-intérêts contre une entreprise de camionnage pour les blessures subies en raison d'un accident pendant le voyage.
  • Lorsque la loi autorise à procéder à de nombreux ou de plusieurs, comme dans le cas des obligations communes. L'exemple typique est le cas de la solidarité active et passive, dans laquelle la demande créanciers solidaires du débiteur ou un créancier poursuit plusieurs co-débiteurs solidaires.

Tous les cas mentionnés à l'article 18 du CPC se réfèrent à une seule puissance, que le législateur a utilisé le mot « pouvoir », pas le devoir.

Règles applicables dans le cas de plusieurs parties.

Pour éviter que les processus ne soient inscrits en raison de l'action de nombreux partis indépendants, la loi a établi les règles suivantes :

  • Quand il y a pluralité de parties, sont tenus de désigner un mandataire commun défendeurs. Cette règle de mandataire commun de désignation s'applique tant pour les demandeurs que pour les défendeurs.

Conformément aux dispositions de l'art. 19, exige la nomination d'avocat en commun :

  • Quand on en déduit les mêmes faits par les demandeurs.
  • Lorsque s'opposent à ces exceptions ou défenses par les défendeurs.

Dans ces cas, le mandataire commun doit être désigné par accord mutuel des parties à qui il doit représenter, selon les dispositions du paragraphe 1 de l'article 12 du CPC. La nomination doit être faite par les parties dans le délai raisonnable à tirer de la cour.

Par défaut, si les parties ou à défaut d'accord entre elles n'est pas commun pour la nomination de l'avocat dans le délai prescrit par le tribunal, sera présent à la nomination, avec la limitation que dans ce cas doit reposer sur un engagement de l'avocat le nombre ou l'avocat d'une partie qui a pris part au processus en conformité avec les dispositions de l'art. 13 du CPC.

Procureur nommé conjointement par les parties ou le tribunal, cette nomination peut être révoquée que prévu à l'art. 14 de la CPC, c'est-à-dire par accord unanime des parties ou par le tribunal à la demande de l'un d'eux, pourvu qu'il n'y ait de bonnes raisons de faire à partir de la révocation.

Le résultat des procédures dans cette mesure seront traitées dans un fichier séparé et ne sera pas arrêter le cours du procès.

L'abrogation est convenue par les parties ou ordonnée par le tribunal, n'a pas d'effet jusqu'à ce que le nouveau procureur est établi.

Le mandataire commun désigné doit agir dans leurs actions en conformité avec les instructions et les souhaits des parties représentées, et où ils sont en désaccord, vous pouvez agir seul et selon les conseils de prudence, en gardant à l'examine la mise en œuvre plus fidèle et rapide de son mandat. L'article 15.

Toute partie représentée par le procureur de la commune qui n'est pas conforme aux procédures adoptées par lui, peut séparément les allégations et de prendre les tests jugés favorables, mais sans entraver le bon déroulement du procès et en utilisant en même temps accordé à l'avocat commun. Vous pouvez également demander à ces délais ou élargis, ou des voies de recours qui peuvent être nécessaires, à la fois sur les décisions prises au cours de cette application, et sur toute décision provisoire ou définitive. L'article 16.

b. - Non-lieu pour la nomination du procureur commune dans les cas où il ya pluralité de parties dans les cas visés à l'art. de la CPC, dans lequel ils peuvent agir séparément devant un tribunal 20. Ces cas sont les suivants :

  • Lorsque les actions des différents requérants.
  • Lorsque les défenses des défendeurs différents.

En ayant commencé le processus avec une défense commune ou une action en agissant des pièces représentées par un mandataire commun, dans le cours de l'incompatibilité d'intérêts entre les parties au litige ainsi.

Capacité des parties

La capacité des parties est un poste budgétaire ou la validité des relations de procédure.

Codes de procédure n'ont pas identifié de définition ou moins ont réglementé la capacité des parties dans le processus, mais simplement se référer à elle, étant entendu qu'il s'agit de la capacité juridique, c'est-à-dire la capacité juridique d'acquérir des droits et obligations et les exercer, régi par le droit civil.

En droit procédural, on distingue entre la capacité de prendre part au processus et la capacité à subir un procès, recevant debout nom de ce dernier. La première est d'être la capacité de jouir et la capacité deuxième exercice visé au droit civil.

a. - Capacité d'être partie : Vous pouvez faire partie d'une personne physique ou morale et le droit de création de certaines entités à qui la loi reconnaît cette capacité, comme les successions vacantes. Qui est un appel conjoint pour résoudre les problèmes qui se posent en raison de l'absence d'héritiers à accepter leurs missions, devenant ainsi effectuer sur la personnalité du défunt. Ce serait une personne morale qui découle de la résolution et que des procédures judiciaires et extrajudiciaires être représenté par le tuteur désigné pour l'administration.

Par conséquent, il peut être partie à un litige ne serait pas une personne, comme les animaux, les choses et les associations non constituées en société.

b. - Aptitude à subir son procès ou des poursuites.

La condition physique personnelle est que la loi exige de l'individu pour lui permettre de subir un procès en tant que demandeur, défendeur ou de tiers, et devient constitutive de la capacité d'exercice dans les essais sur le terrain. C'est ce qu'on appelle les compétences requises pour l'introduction du recours ou, si elle est capable de faire l'exception.

Cela exige la capacité d'exercer, et que les sujets sont ceux qui sont capables d'exercer des droits par eux-mêmes sans que le ministère ou une autre autorisation.

Les personnes qui n'ont aucun statut légal, elles ne peuvent intervenir dans un processus par le biais de leur représentant légal respectifs. (Père de l'enfant, curateur pour le quartier, etc.). Dans le cas des personnes morales, étant donné la nature d'entre elles, qui ne peut évidemment pas apparaître par elles-mêmes, l'art. 8 de la CPP prévoit que le gérant ou administrateur d'entre elles dispose de moyens expressément autorisés à poursuivre en votre nom.

Dans tous les cas, il convient de noter que la date à laquelle nous avons parlé, bien qu'elle soit essentielle pour une personne à agir pour ou au nom d'une autre dans le cadre du processus, il ne suffit pas par elle-même, puisque, en règle générale, il doit agir parrainé par un avocat habilité à exercer la profession et également représenté par une des personnes à qui la loi autorise à exercer les fonctions de procureur et président de la Cour si la partie n'est pas de ces qualités.

Ce type de fonctionnalité est importante pour le strict respect par le demandeur, parce que le défendeur peut déposer l'exception dilatoire de l'art. 303 n° 2 du CPC, et si un défendeur qui n'a pas la capacité d'exercer et pourtant vous êtes informé que l'avis de réclamation est faite que personne ne doit pas prendre à droite effet, parce qu'il ya des défauts dans le site.

c. - Possibilité de demander au tribunal

Ceci est typique du droit procédural ; c'est la capacité de faire des demandes devant les tribunaux.

Cette capacité est régie par les lois de procédure.

Cela a une base et que le processus requiert des capacités techniques, et donc ce genre de fonctionnalité est avec certaines personnes et certaines règles de procédure établit, comme ils l'ont des connaissances juridiques ou présumée l'avoir.

Qui est ce postulandi jus est en droit de formuler des requêtes devant les tribunaux, ce qui exige que la personne ait un mandat (ce qui est différent d'un régime civil).

Ce représentant d'appel avocat ou le représentant légal et le capital sera appeler la directrice ou le directeur.

Cette question est régie en particulier dans la loi 18.120 qui établit des normes pour la comparution devant le tribunal et il est réglementé à l'article 4 et suivants du CPC.

La comparution des parties devant les tribunaux

Concept : La citation légale du mot a un double sens, une grande et une autre limitée.

a. - Audition au sens large : le fait de comparaître devant la Cour volontairement ou sous la contrainte. Ceci s'explique aisément dans les affaires criminelles ; les témoins sont amenés ici, les défendeurs. C'est juste une présentation physique dans la cour, où la capacité est nécessaire simplement pour apparaître, comme la nature de l'acte qu'il accomplit.

b. - L'audience dans le sens étroit du terme est un concept purement procédural. Désigne le fait de comparaître devant les tribunaux, exercer ou de défendre une action, ou en exigeant un acte d'intervention en situation de non-contentieuse. Voici le concept de capacité d'agir en justice. Le concept de postulandi jus, qui est la possibilité d'appeler au procès, est l'ensemble des exigences qui permettent à une personne de déposer des pétitions devant le tribunal.

Dans sa conception étroite, l'audience est une obligation légale que les parties comptent sur le parrainage et la représentation du procès, certaines personnes qui satisfont aux exigences énoncées dans la loi.

Au Chili, pour déterminer quel système est utilisé, le législateur doit faire certaines distinctions et essentiellement doit déterminer si l'on introduit devant un tribunal inférieur ou à un supérieur.

1. Témoignage devant les tribunaux inférieurs.

La règle interdisant aux avocats que les juges assistent les parties dûment représentées. En principe, à une juridiction inférieure, il n'est pas autorisé à se présenter en personne ; cela signifie que l'on doit recourir à des représentants légaux ; c'est là que la partie est capable de l'exercice (il est le classement général ; implique dans le cas d'un incapable, l'intervention de leurs représentants légaux), et exceptionnellement autorisée par la loi, les tribunaux inférieurs que la comparution personnelle.

Dans le nouveau système de procédure pénale, qui a lieu principalement dans les audiences, seulement envisagé la possibilité d'un concours de l'accusé par un avocat, qui doit assumer le rôle de défenseur (art. 8° PNSC).

2. Comparution devant les tribunaux supérieurs : les Cours d'appel, les parties d'abord se présentent en personne (par exemple, la protection des ressources, protection) et la seconde représentée par certains représentants légaux, qui sont des avocats ou des mandataires de Numéro (article 398 paragraphe 1, la dernière partie du Code).

La Cour suprême, il ne peut apparaître que représenté par certains représentants légaux, qui sont des avocats ou des procureurs de la licence du nombre (art.398 première partie de la COT).

Les normes juridiques pour la comparution devant le tribunal :

Est réglementée par le CPC. (Articles 4 et suivants) et la loi 18.120.

Obligations de la loi 18.120.

Premièrement, elle établit l'obligation de nommer un fiduciaire judiciaire.

Deuxièmement, elle établit l'obligation de nommer des mandataires juridiques.

Ce sont deux fonctions distinctes, indépendantes, nonobstant le fait que les deux qualités peuvent se réunir en une seule personne. Doivent être remplies à la fois, sinon l'audience n'est pas conforme à la loi.

L'article 2 de la loi 18120 est chargé d'identifier les personnes qui peuvent être des agents ou procureurs.

  • Les avocats habilités à exercer la profession, notamment ceux qui n'ont pas les obstacles à l'exercice de celle-ci, qui ne sont pas suspendus de la pratique de la profession.
  • Le nombre d'avocats sont des officiers de la justice sur le procès chargé de représenter les parties.
  • Les étudiants, quatrième ou cinquième année de troisième cycle de l'école de droit.
  • Les diplômés du droit pour une période de trois ans après avoir fait les examens.
  • Les dirigeants nommés par la Corporation d'Assistance Judiciaire. Ce sont les mêmes diplômés des facultés de droit, quel que soit le temps écoulé après avoir fait des examens pour la seule fin d'exécuter la pratique judiciaire nécessaire pour obtenir le diplôme en droit.

Obligation de nommer un fiduciaire judiciaire

Nul ne peut comparaître devant les tribunaux s'il n'est pas représenté par un représentant légal, indépendamment de la capacité d'avoir une partie ou personne intéressée, parce que c'est une capacité distincte du droit procédural.

Qui vérifie les conditions de mandataire judiciaire ?

Dans les tribunaux civils et des Cours d'appel, le greffier ; le requérant doit indiquer, soit le titre ou d'un document qui prétend que la qualité. Dans les tribunaux de la réforme de procédure pénale, est le chef de l'unité de gestion des causes, d'autoriser l'injonction (article 389 G du Code).

Cas d'exemption de l'obligation de nommer un fiduciaire judiciaire

  • Lorsque le parti lui-même demande la permission au juge de comparaître et de se défendre (article 2, paragraphe 3 de la loi 18 120). Le juge peut le faire en tenant compte de la nature et le montant de la créance ou des circonstances qui peuvent prouver la valeur. Le juge peut alors nécessiter l'intervention d'un avocat.
  • Ni l'action n'est nécessaire règle dans les communes où le nombre d'avocats exerçant est inférieur à 4 (art. 2, paragraphe 9 de la loi 18120). Ce fait est évalué par la Cour d'appel.
  • Lorsque la loi elle-même exige la présence ou l'intervention personnelle pour certaines procédures. Par exemple, l'audience de conciliation en matière civile de demandes de renseignements.
  • Dans le cas de certains tribunaux. Par exemple, les tribunaux de police locaux, tribunaux de la famille, devant les arbitres arbitraires, à l'Internal Revenue Service, etc.
  • Dans certaines questions juridiques par leur nature. Par exemple, des raisons électorales, les demandes sont faites en fonction de la protection de la ressource Code minier, la protection, etc.

Obligation de désigner un avocat sponsor

Il s'agit d'une obligation indépendante de l'ancienne et est établie à l'article 1 de la loi n° 18.120.

Cette obligation est de défendre le procès (pas pour les effets à paraître). Le promoteur est l'avocat qui défend les droits des parties au procès, de sorte que la loi confie cette tâche exclusivement aux avocats.

Parmi toutes les personnes qui peuvent être des leaders qui peuvent parrainer, seuls les avocats sont compétents ; de sorte qu'il se passe dans certains cas, ces deux conditions donneront une seule personne, d'une part parrainant (pour la défense) et d'autre part représentant légal (pour agir).

L'obligation de désigner un avocat promoteur doit d'abord être soumise à la cour ; c'est peut-être la demande de la défense.

Comment remplir cette obligation au moyen de commandites ?

En fait, à la signature de l'avocat est la première présentation, et leur nom complet, nom de famille, et leur domicile.

Défaut de se conformer à cette exigence est réputée ne pas soumettre la lettre ; ne sont pas que la décision susceptible d'appel.

Parrainage

Concept : Il s'agit d'un mandat par lequel les parties intéressées ou dans une affaire confient à un avocat habilité à exercer la profession, de défendre leurs revendications devant les tribunaux.

C'est, le procureur de parrainage professionnel qui examinera la question de l'intérêt pour le parti et porter les revendications et de défense qu'elle jugera appropriée pour les revendications et de défense qu'elle jugera appropriée pour les demandes de ce client. L'avocat répond du sponsoring des procédures civiles, pénales et disciplinaires pour les fautes commises.

Exigence de sponsor :

Il ne peut être parrain que d'un avocat habilité à exercer la profession, à savoir une personne physique qui détient une licence en droit et a payé la licence municipale respective, n'est pas suspendu de la pratique.

De façon à constituer des commandites :

L'article 1, inc. 2 de la loi 18.120 stipule qu'il faut satisfaire à l'exigence de la constitution de parrainage, quand la première présentation de chacune des parties ou intéressées par les questions non contentieuses ou contentieuses, l'avocat appose également votre signature en indiquant votre nom, noms et adresses avec la signature sur la lettre est le parrainage.

Bien que la loi exige que le parrainage soit établi dans la première présentation, cela ne veut pas dire que cette dernière ne sera pas en mesure de remplacer l'avocat, parce que vous pouvez le faire à tout moment en soumettant une nouvelle lettre désignant un nouveau sponsor.

Dans tous les cas, le parrainage en cours contribuera à l'ensemble du processus, sauf dans les ressources de la plainte et d'appel, exigeant à nouveau que la nomination soit faite par un promoteur de ces ressources. Arts. 548 inc. 2° COT et 772 inc. fin de la CPC.

Pénalités :

Si le promoteur n'est pas satisfait de la manière décrite, la violation de cette obligation entraîne l'écriture ne peut être fournie et ne doit pas être soumise à toutes fins juridiques, ce qui est une sanction draconienne, d'autant qu'il y a des limites pour la présentation de certains écrits. Les décisions rendues à cet égard ne sont pas susceptibles d'appel.

Fonctions du procureur de parrainage.

Quand un avocat ne prend que le parrainage d'un processus et non la représentation, il correspond généralement à diriger la défense, mais les écrits eux-mêmes sont sous la seule signature de l'avocat ou le mandataire, qui est aussi la personne fréquentant les assignations et les étapes du processus.

D'autre part, les Cours d'appel et la Cour suprême, que les allégations appliquent la loi autorise exceptionnellement les sponsors et l'allégation des requérants à un diplôme de droit qui font la pratique, mais seulement dans les cas parrainés par la Société Justice Assistance.

Les cas dans lesquels le promoteur peut assumer la représentation du présent. - art. 1, inc. 3 de la loi permet au procureur 18.120 commanditaire d'assumer le caractère de représentant ou mandataire de la cour à n'importe quelle étape du procès. Cela devrait être sans préjudice des cas où la loi exige la comparution personnelle de la même et dans ceux où la loi prévoit expressément que la procédure doit être effectuée par procuration. Acquittement par exemple des positions.

Cessation du patronage :

Une fois créé le parrainage, elle durera pendant tout le processus, sauf si l'une des circonstances ci-après met fin à celui-ci :

  • Pour l'exécution de la commande : C'est la façon normale de terminer.
  • Révocation : C'est la principale manifestation de la volonté dans le sens de ne pas continuer avec le même commandite.

En cas d'annulation, le nouvel avocat promoteur a deux obligations :

  • Informer le premier avocat du promoteur.
  • Organiser les auteurs du premier avocat pour recevoir leurs jetons dans un délai déterminé.

3. Démission : elle est exprimée au paragraphe 4 de l'art. 1 de la loi 18.120, qui stipule que le parrainage du procureur doit être porté à la connaissance du promoteur ainsi que l'état de la procédure. La démission n'a pas d'effet en vertu de la présentation au tribunal ; vous devez en aviser le client et tout cela ne conserve sa responsabilité pour la conduite du procès, à moins que le nom du parti en remplacement bientôt.

4. En cas de décès ou d'empêchement du procureur de parrainage : en cas de décès ou d'incapacité du promoteur, doit désigner un autre avocat à la première présentation après l'événement. L'article 528 du COT se réfère au mandat, mais s'applique également au parrainage.

Si vous décédez, le parrainage ne se termine pas, parce que le procès se termine et le procureur maintient la responsabilité de la succession (art. 1, paragraphe 18 120 Acte final).

Les exceptions à l'obligation de désigner un parrain :

Article 2 de la loi n° Inc.9 18.120 établit les cas suivants d'exemption : il n'est pas nécessaire d'avoir un avocat :

  • Dans les tribunaux des territoires où le nombre d'avocats en exercice est inférieur à 4, qui sera déterminée par la Cour d'appel.
  • Les demandes de la pétition minière.
  • Essais locaux de police, à l'exception des dommages-intérêts de crash d'un montant supérieur à 4 UTM.
  • Tribunal des mineurs.
  • Les arbitres arbitraires.
  • Causes de l'IRS, sauf si elles sont d'une valeur supérieure à 2 UTM et le parrainage a préconisé une décision motivée.
  • Contrôleur.
  • Causes des élections.
  • Ressources pour la défense et de protection.
  • Des applications isolées, telles que les demandes de copies certifiées conformes, etc.
  • Dans les cas où le juge a autorisé le parti de se défendre, compte tenu de la quantité et la nature de l'affaire, même si cela nécessitera le parrainage à tout moment.

Le bref :

Concept : Il s'agit d'un contrat solennel auquel une personne veut croire une autre personne autorisée à cette fin, la représentation de leurs droits dans un processus non accusatoire ou de gestion.

L'injonction prévue à l'octroi de certains pouvoirs au président en ce sens que ce sont les pouvoirs spécifiques de poursuivre, et c'est là que réside la différence avec le parrainage, parce que le représentant légal de la personne est venu de remplacer la personne du plaideur. Le président agira pour lui, mais la direction de l'entreprise judiciaire ira toujours à l'avocat de parrainage.

L'injonction est régie par les articles 6 et 7 du Code de procédure civile. Toute loi 18.120 qui stipule, en termes d'injonction, la peine est appliquée si elle n'est pas légalement établie mandat.

Dans cette injonction, l'application des règles du Code civil ne semble pas avoir changé dans les lois de procédure.

Conditions requises pour être fiduciaire judiciaire : Ceux qui peuvent être les représentants légaux sont décrits dans l'article 2 de la loi 18 120 et ils sont :

  • Avocat habilité à exercer la profession.
  • Le numéro de procureur.
  • Les personnes désignées par la Société d'aide judiciaire (diplômés des facultés de droit qui font la pratique).
  • Les étudiants actuellement inscrits en 3e, 4e ou 5e année de l'École de droit et des facultés de droit des sciences sociales de certaines des universités agréées.
  • Les diplômés des facultés de droit, qui ont terminé la 5e année et trois ans après avoir fait les examens.

L'autorité compétente certifie à l'université une demande verbale de la requérante, le fait de votre inscription actuelle ou la date de l'obtention du diplôme, le cas échéant. L'exposition permettra le certificat correspondant à la personne concernée pour son apparence.

Façon d'établir le bref :

Comme il s'agit d'un contrat solennel, sa naissance ne peut se produire que dans certaines des formes prévues par la loi, figurant à l'article 6 du CPC.

Les formes constitutives de l'injonction sont les suivantes :

  • Acte (art. 6° CPC n° 1) : Il ne peut être accordé avant un notaire ; il peut également être accordé à un officier de l'état civil, qui a le pouvoir de remplir cette fonction.
  • Loi étendue à juge qualifié ou à un arbitre (art. 6° CPC n° 2). : Se produit très rarement. Toutefois, il est parfois utilisé, comme les procédures dans lesquelles la réponse à la plainte est déposée dans une citation à comparaître, dans lequel les temps de nombreux cas le mandat est donné à l'appel, ce qui est consigné au procès-verbal augmente. Dans la procédure d'arbitrage, il est plus utilisé, notamment pour les procès de la partition, qui a normalement lieu la première sommation contient un enregistrement des mandats de toutes les parties.
  • Une déclaration écrite approuvée par le greffier principal de la Cour (art. 6° CPC n° 3). : Est-ce de la manière habituelle. Il consiste en une déclaration écrite du principal, autorisée par le greffier de la Cour qui est saisie de l'affaire. Il est conforme à la constitution du mandat lorsque le greffier de la Cour autorise la déclaration écrite du principal. Le secrétaire écrit pour autoriser ou autoriser, date et signature. Le Secrétaire autorisant le commandant de bord doit s'assurer que l'agent remplit l'une des qualifications prévues par la loi pour comparaître en cour.

L'article 6 du Code de procédure civile, doit être complétée par d'autres règles qui établissent d'autres formes d'injonction, par exemple :

  • D'après les règles particulières que nous devons nommer un mandataire commun ou un avocat (art. 12 et suivants du CPC).
  • Visées à l'article 29 de la loi 18.092, l'attestation du comité de la collection sur les factures de billets à ordre et chèques. Le propriétaire de ces documents peut être approuvé en faveur d'un avocat habilité à exercer la profession, en plus de la peine, en plaçant la valeur des frais de recouvrement, commission ou similaire, ce qui implique une durée d'un avocat de large.
  • Il faut également dire qu'il existe une nouvelle façon de constituer un mandat et qui est mentionné à l'article 54 de la Loi sur la fonction Defender, qui prévoit que si, en raison seulement du droit, l'avocat désigné le favoritisme et le pouvoir d'agir pour le bénéficiaire dans les conditions énoncées au paragraphe 1 de l'art. 7 de la CPC, et ils sont immédiatement nécessaires pour le rencontrer et a commencé à travailler sur la défense.
  • Une autre façon est établie à l'art. 8 de la loi 19.983, sur le droit d'exécution de la copie de la facture. Article 8 : La copie de la facture visée à la présente loi peut être livrée à une facturation de tiers. À cette fin, la signature du cédant sur la face de la copie transférable de la facture, suivie du mot « collection » ou « valeur de recouvrement » et la livraison respective. Dans ce cas, produit les effets d'un mandat pour la collecte, par lequel le transporteur est en droit de facturer et percevoir la valeur non rémunérée, même légalement, et a tous les propres du président des pouvoirs judiciaires, y compris aussi ceux qui, en vertu de la référence spécifique prévue par la loi.

Sanction de la constitution non prescrite.

Dans le bureau, la loi prévoit une sanction moins drastique que le parrainage ; il y a une possibilité que le tribunal dans les trois jours de l'établissement du mandat légal. Après un délai, la demande n'est pas déposée à toutes fins légales. (Article 2 de la loi in.4 18120).

Pouvoirs découlant de l'ordonnance du tribunal

Une fois constitué un agent dans un processus, il va remplacer la pièce dans différentes activités, d'une manière qui sera lui qui notifie les décisions rendues, c'est lui qui doit évacuer les procédures judiciaires qui s'appliquent, etc. ci-dessus, sauf dans les cas particuliers où la loi exige la comparution personnelle de la même, par exemple pour une mesure de l'absolution de postes disponibles ou être signifié à personne à la partie et non pas son agent, comme parfois le cas dans la procédure pénale. (Art. 29 de la procédure pénale C).

Les pouvoirs sont énoncés à l'article 7 de la CPC, une règle qui prévoit trois types de pouvoir qui peuvent comprendre le mandat : la nature ordinaire ou spéciale et essentielle.

Pouvoirs ordinaires : ceux qui sont toujours inclus dans le mandat, sont inhérents à notre mandat et ne nécessitent pas ou même citer, parce que la loi donne des exemples : les ressources présumées, offrant des preuves, etc. Article 7 Inc.1 : Livré que même si le mandat n'a pas fait connaître les pouvoirs dévolus au président, le pouvoir de le prendre part à tous les procès, tout comme pourrait le principal, à moins que la loi ne prévoie expressément le contraire.

Puissances de la nature : ceux qui sont incorporés par ordonnance du tribunal, mais les parties peuvent modifier ou altérer. L'école unique en son genre en vertu de la loi, consiste à déléguer le mandat. Si l'agent n'a pas d'interdiction spécifique de déléguer, le président peut le faire. Non applicable à la délégation, le directeur doit interdire expressément le mandat.

Il convient de noter que la délégation de la délégation ne s'applique pas, puisque le pouvoir de déléguer aide que le président et non pas le délégué.

Ou extraordinaires pouvoirs spéciaux : ceux qui ne comprennent pas intégrés dans son intégralité, par conséquent, il exige une déclaration expresse par le mandant. Le client doit expressément et sans équivoque qui donne à ces pouvoirs au président.

Elles sont énoncées à l'article 7, paragraphe 2 du CPC, déclarant que, toutefois, l'avocat doit être accordée sans le mentionner expressément les écoles :

  • Renonciation première instance de l'action intentée : est de renoncer à la demande, ce qui entraîne l'extinction de l'action, qui ne peut être renouvelé dans un autre procès. Ce retrait devrait avoir lieu après qu'il a été légalement notifiée de la demande, et il est rapporté que l'issue du procès, avant qu'il n'y est pas. A un effet sur la valeur nette.
  • OK pour prétendre le contraire : Il implique d'accepter les revendications du demandeur ou de ne pas contester. Il a également des implications d'équité.
  • Acquitter les positions : Ceci est causé aveu judiciaire devant les tribunaux, est dû au fait que c'est à la demande de la partie. Dans certains cas, le président du tribunal a ce pouvoir pourrait fournir confession pro de son client.
  • Donner des ressources et les termes juridiques : la démission des ressources est synonyme de quitter tôt le droit d'une partie, s'il y a lieu de déduire une ressource ou à se prévaloir d'un délai accordé par la loi ou de termes juridiques. Ce doit être expressément mentionnée dans le processus. Ce n'est pas la même chose que se retirer, et que l'opération de retrait une fois que le droit a été exercé, la renonciation est tôt, avant que le droit est exercé.
  • Compromis : C'est la même chose que de dire le pouvoir de conclure une entente de règlement. Cette opération est aussi une puissance extraordinaire, car elle implique la conclusion d'un accord avec le défendeur pour résoudre le différend ou de prévenir un éventuel litige.
  • Engager : est de renvoyer la question à l'arbitrage ou de compromis.
  • Pour accorder le pouvoir aux arbitres arbitraires.
  • Pour approuver les accords. Ces accords sont des accords entre les débiteurs et les créanciers et sont liées à la façon de payer les dettes. Ceci est typique de la loi sur les faillites.
  • Voir. Ce pouvoir est lié à l'affectation de l'agent de recevoir des sommes d'argent, d'épices ou de fruits qui peuvent être commandés par la partie adverse.

Comme sont dotés de pouvoirs spéciaux : Pour un temps, il a estimé que, pour comprendre de pouvoirs spéciaux ont été nécessaires à la liste un par un, c'est-à-dire de les traduire de manière spécifique. Pas si aujourd'hui, il est admis que les moyens valables d'accorder l'injonction, avec des pouvoirs spéciaux, y compris, pour la simple mention d'un caractère général. Don... conférer le pouvoir. Avec les pouvoirs des deux paragraphes de l'art. 7 de la CPC, le client reconnaît et assume expressément reproduit un par un. Cette estimation est assez, comme l'art. 7° est un droit et la loi est présumé connu de tout le monde.

Effets de l'injonction : Lors de l'octroi de bureau, disparaît du processus naturel du client et toutes les actions doivent être comprises sur la base de son octroi au président. Non atteint cet effet, la fonction est de zéro. Par exemple, si au lieu de la peine purgée en le président, a été notifiée à la partie, un tel avis est nul.

Cependant, il faut se rappeler qu'il y a des cas où la loi exige expressément l'intervention de la partie, comme par exemple :

  • La gestion de l'accord dans le procès de travail.
  • Dans le règlement, la société civile.
  • Dans l'acquittement de positions dans lesquelles elles peuvent demander des prêts personnels font partie et non pas le représentant légal, même si vous avez reçu l'autorisation de le faire.

Durée de l'injonction :

Conformément à l'article 10 du CPC, légalement constitué, conserve tout mandat sa capacité, tant que dans le processus d'extinction ne semble pas la même.

A. Durée du mandat : Il peut prendre fin pour diverses raisons :

  • Conformément à la demande. Dans un cas normal, il est éteint par l'application intégrale de la décision finale. Le président peut représenter le client jusqu'à la mise en œuvre complète de la peine.
  • La révocation : peut être expresse ou implicite.
    • Express : Quand explicitement manifeste la volonté de révoquer, annuler le bref.
    • Tacite. Quand ne parle pas du mandat précédent conféré un nouveau.
    La révocation est régie par l'art. 10 de la CPC, a établi l'exigence d'exister sur le dossier de la révocation. Toutes les commandes sont établies par la loi, c'est que tandis que dans le processus ne garantit de son expiration ou la révocation. Si le fichier n'est pas accompagné par le retrait, toutes les étapes sont suivies par le président. La révocation n'est pas efficace contre l'autre partie, bien qu'il n'y ait aucune trace de celui-ci dans le processus.
  • Démission du président : Comme dans le cas de la démission de parrainage, le président est obligé de mettre cette question à l'attention de la cour par un avis indiquant le fait de la renonciation et l'état qui est le processus, et il doit attendre une période déterminée par la loi pour répondre aux demandes (poste de durée déterminée) à compter de l'avis de cesser sa responsabilité lors du procès de ce qui précède, à moins que le nomme autre partie avant agent. Si aucun avis de la démission, ne fonctionne pas et dans ce cas, si le président est en défaut d'agir, est responsable de ce qui s'est passé par la faute ou commet un crime ou une fraude et délit civil.
  • À la mort du Président : La mort du président éteint l'injonction et il est un fait notoire et public ; toutes les actions faites par l'agent de morts sont de zéro, même si aucun acte de décès dans le processus. Quel mandat n'éteint pas la mort du principal.

Parallèle entre le parrainage et le mandat :

  • a. - Que l'objet ou le but de chacun. L'objectif du parrainage est les droits d'une partie au procès. Dans le cas de l'injonction, l'objet qu'il prétend être la représentation juridique de cette partie, mais pas en supposant que la défense.
  • b. - Pour le particulier, le parrainage actif dans le sujet peut être actif seulement comme un avocat. Au lieu de cela, dans le cas de l'injonction, la loi énumère d'autres personnes que les avocats qui peuvent agir comme représentants légaux (art. 2° 18 120 libre).
  • c. - Sur le chemin à la fois. Le patrimoine constitue est parfait selon les règles d'un régime civil ; il est soit consensuel, il suffit que l'accord soit parfait. En revanche, dans le cas de l'injonction, il est solennel ; la solennité dans ce cas, c'est l'acte.

Les cas particuliers de la représentation juridique

  1. L'agence informelle : Concept : un quasi-contrat en vertu duquel une personne donnée comparaît devant un tribunal en supposant que la représentation d'un autre et la ratification ultérieure de l'action prise par le principal, ce qui donne une garantie (la garantie est appelée caution tout). La loi stipule qu'il est possible l'admission des cas d'apparition d'une personne sans pouvoir d'une autre. Cette personne est appelée un agent officieux. Si la personne concernée dans les délais, le juge a dit, ne cautionne pas, ces activités n'ont aucun effet et non avenu. La garantie est de répondre de toute perte ou dommages qui pourraient résulter de l'action.

Exigences de procédure pour l'agence informelle :

  • Que l'apparence d'une personne à la gestion du procès ou de contentieux en supposant qu'aucune autre représentation et n'ont pas de mandat ou sans représentation de cette personne.
  • Que cette personne (agent libre) offre plus de sécurité ou la garantie que la personne (qui est) d'approuver ce qui a été fait, c'est-à-dire les actions que l'agent effectue informellement. Cette liaison est appelée liaison tout.
  • Pour appliquer des raisons ou des circonstances qualifiées, qui doit indiquer au moment de leur apparition.
  • Il est nécessaire que l'organisme informel soit autrement conforme aux exigences établies par la loi pour comparaître. Si l'agent n'est pas postulandi jus informel, il doit être représenté, à son tour, par un agent, et elle doit accorder le patronage judiciaire.

Le tribunal, en admettant l'apparition de l'agent non officiel, il doit être noté dans la résolution aux fins de ratification de l'objet. Ici, deux cas peuvent se produire :

  • Cette personne aura ratifié la convention, si l'effet de valider toutes les actions effectuées en leur nom lors du procès ou de gestion.
  • Que la personne n'a pas ratifié ; les performances ici n'ont pas d'effet, ne sont pas valides parce qu'il n'y avait pas de mandat ou de représentation.

2. La représentation des personnes morales : Les personnes morales doivent toujours avoir un représentant légal, sinon elles ne pourraient agir en général.

La loi établit des distinctions et établit qui sont ces représentants légaux des personnes morales (art. 8° CPC). Le Code établit une distinction entre les sociétés, si les sociétés civiles ou commerciales ou des fondations de la personnalité juridique.

Les entreprises sont représentées par leur gérant ou administrateur, c'est-à-dire qui est le gestionnaire ou l'administrateur doit analyser les statuts de la société.

Sociétés ou fondations, le représentant est le président.

Tous ces représentants ont au moins les pouvoirs de l'article 7, paragraphe 1 de la CPC.

Maintenant, s'il s'agit de certaines entités juridiques, représentations spéciales et pour cela, nous devons analyser ce qui est le droit matériel applicable dans chaque cas. Par exemple, si elle est représentative des municipalités, le maire ; si le Trésor, le Conseil de Défense de l'État, qui est accompli par des avocats ou des procureurs, etc.

3. Représentation des personnes disparues : Conformément à l'article 11 du CPC, nous devons comprendre l'absence de toute personne qui a quitté le territoire de la République et est ensuite confrontée à un procès ou que la gestion s'intéresse à toute non-contentieuse.

La loi établit des règles pour voir qui représente l'absent. Dans cette zone, vous devez faire deux distinctions majeures :

  • Si la personne quitte le pays encore, mais il y a lieu de le faire : La loi dit que dans ce cas, s'il y a des raisons fondées ou pour cette personne est absente, la personne peut demander au juge une mesure préliminaire est que cette personne présente à l'endroit où le procès va engager un avocat qui représente, sous peine de cession d'un curateur de la propriété (art. 285 CPC).
  • Lorsque la personne a quitté le pays, il faut distinguer si elle est composée mandat :
    • Si à gauche pour représenter l'agent : Nous devons analyser la commande et voir les pouvoirs conférés au président. Plus précisément, doit maintenant déterminer si cet agent a le pouvoir de le représenter au procès et pour répondre spécifiquement aux demandes. Si vous avez des pouvoirs sans problème, mais si elle n'est pas, vous avez pour voir si l'absence n'est pas connue à la maison ou à l'étranger, le cas échéant, doit être notifié par un mandat d'arrêt international. Sinon, si vous ignorez l'adresse, doit prendre sa représentation défenseur absent ou défenseur public, et qui sera et qui doit être avisé de cette demande.
    • Si le président absent n'a pas laissé en place : Dans ce cas, il faut distinguer si la résidence de l'absent est connue ou non à l'étranger. Si vous avez connu l'adresse, doit être notifié par mandat. Ignorant la maison, doit nommer un tuteur aux biens.

Perturbation de la procédure de première instance : L'instance peut être arrêtée, soit en plaidant en personne ou par une représentation juridique.

Il faut distinguer deux situations : la mort de la partie qui plaide et la durée de la représentation juridique :

  • Qu'est-ce qui se passe à la mort de la partie ? Il faut distinguer :
    • La mort de la personne en litige ; le procès est suspendu, ce qui signifie que la cessation de plein droit ou par l'effet de droit, qui seront ensuite annulés et en aviser les héritiers de cette personne, afin de comparaître et de faire usage de son droit (art. 5° CPC).
    • Décès de la personne qui ne plaide pas ; ici, cela ne suspend pas le déroulement du procès.
  • Qu'est-ce qui se passe si la représentation se termine ? L'article 9 de la CPC a évoqué le cas de la fin de la représentation juridique des procès, les parties elles-mêmes, comme le père du plus jeune enfant atteint l'âge adulte. Dans ce cas, la représentation va persister jusqu'à ce que le principal comparaisse au procès, par lui-même ou à l'enregistrement dans le processus du fait qu'il a été envoyé à la cessation de la représentation et l'état du processus.

DES PROCÉDURES JUDICIAIRES

Le processus peut être décomposé en différents éléments qui le composent afin que chacun puisse être examiné indépendamment. Ces éléments forment le processus : la procédure, aussi appelée actes de procédure ou d'actes de procédure.

La procédure peut être définie comme toutes les étapes du processus.

Concept (M. Casarino) : Toute résolution, un avis, une action ou un acte de toute nature, qui est déclaré dans une procédure judiciaire, autorisé par le fonctionnaire à qui la loi donne ce pouvoir, même après la présentation de documents écrits et ajouté aux voitures.

Un autre concept : les actes juridiques sont plus ou moins formels dans le processus, qui ont laissé des témoignages dans le dossier dûment autorisés par le ministre de la foi prévu par la loi. Le Code de procédure civile traite de la poursuite du titre VII du livre I.

Conditions de validité de la procédure

La meilleure garantie pour les parties est que la procédure soit faite ou vérifiée dans le strict respect de la loi. Le non-respect des dispositions légales pertinentes signifie que la performance est dans des conditions anormales, qui est née au droit de vie imparfait et donc la peine applicable sera nulle pour cette poursuite en particulier.

Selon l'auteur Casarino, les exigences sont que la poursuite soit pratiquée de nos jours et heures, qu'il s'agisse d'un document écrit, dans le processus, qui est autorisé par le fonctionnaire compétent et est pratiqué par le fonctionnaire désigné par la loi.

1. - Que les travaux soient effectués aux heures et jours ouvrables. Conformément à l'article 59 du Code de procédure civile, la procédure doit être menée les jours et heures ouvrables. Les jours non ouvrables sont les jours fériés. Horaires d'ouverture qui se situent entre 8h et 20h.

Les jours fériés sont déterminés par la loi et inclus dans le temps des vacances chaque année, qui commence le 1er février et traverse le 1er mars (art. 313 paragraphe 1 du Code).

Si une action en justice se fait dans ces jours après l'heure, sans y être dûment autorisée, elle n'a aucun effet juridique, et donc l'action est nulle.

Toutefois, cette règle générale a quelques exceptions :

  • CPC art 41 concernant le service personnalisé : nous avons à distinguer les différentes actions :
  • Dans les lieux et locaux accessibles au public, aux soins personnels doit être effectuée n'importe quel jour, à tout moment, en essayant de provoquer le moins de gêne pour le préavis.
  • Recinto privé : le service peut être n'importe quel jour, entre 6h et 22h, dans le logement ou lieu où l'on signale pendant la nuit, dans le lieu où il exerce habituellement son industrie, profession ou emploi, ou dans une enceinte dans laquelle il se trouve et dont l'accès est autorisé au ministre de la foi.
  • L'article 708 du CPC. Petit essai de réclamations. Pour la pratique des notifications dans ces essais, les heures de travail seront entre 6h et 20h tous les jours de l'année.
  • Art.60 de la CPP, l'habilitation juridique des jours ou d'heures. Le tribunal peut, sur demande, permettre la pratique des poursuites de jour ou après les heures, en cas de besoin urgent. Urgent être estimée pour ce cas, les actions dont le retard peut causer de graves préjudices aux parties concernées, ou la bonne administration de la justice, ou une ordonnance du tribunal rendant illusoire. Le tribunal doit évaluer l'urgence de l'affaire et a le pouvoir de résoudre sans appel.

Cette disposition est la source juridique de l'institution appelée l'autonomisation des vacances, qui est principalement utilisée pendant les vacances judiciaires.

2. - Dans toute action judiciaire, il doit être consigné par écrit dans le processus.

Conformément aux dispositions des deux premiers alinéas de l'article 61 de la CPC, toute action doit laisser un témoignage écrit dans le processus, indiquant le lieu, la date, le mois et l'année qui est sûr des formalités avec lesquelles ils ont été et d'autres indications que la cession du droit ou du tribunal. Puis, après la lecture, doivent signer toutes les personnes qui ont participé, et si vous ne savez pas ou avez refusé de le faire, vous devez exprimer ce fait.

3. - La procédure judiciaire doit être autorisée par le fonctionnaire concerné.

La procédure judiciaire doit être autorisée par le fonctionnaire compétent qui peut attester de l'acte ou de certificat. Cette autorisation est essentielle à la validité de la procédure, tel que requis par le dernier alinéa de l'article 61 du CPC. De toute évidence, cette disposition s'applique, que l'article 70, à la procédure de la cour, car il semble évident qu'il ne peut être appliquée à l'action des parties.

Exemples : Selon la déclaration n° 2 de l'article 380 du COT, si le secrétaire est autorisé par les ordres ou décisions qui tombent sur les demandes présentées par les parties et conformément au paragraphe 2 de l'article 390 du même code, sont les bénéficiaires qui doivent agir en tant que ministres de la foi en recevant le témoignage et la diligence des demandes de renseignements. Si vous n'avez pas l'autorisation du secrétaire ou du récepteur dans l'une des poursuites, ce sera nul et de nul effet.

4. - La procédure judiciaire doit être effectuée par le fonctionnaire exigé par la loi.

Comme le prescrit l'article 70 de la CPC, les mesures nécessaires pour la formation du processus devraient être exécutées par le tribunal saisi de l'affaire, sauf dans les cas d'urgence que la même disposition et qui sont :

  • Les cas dans lesquels une procédure judiciaire est expressément attribuée par la loi ou commis d'autres ministres de la foi. L'article 390 de la COT nous donne un exemple, en disant que les bénéficiaires de la confiance du public sont les ministres en charge de faire connaître aux parties devant les bureaux des secrétaires, des décrets et des décisions des tribunaux. La notification est donc une action que la loi charge explicitement les bénéficiaires, dit toujours la loi, qui doit être effectuée en dehors des secrétaires de bureau. Dans le cas contraire, ce dernier qui doit pratiquer la notification, conformément à l'art. 380 N° 2 du tableau des matières.
  • Cas où le tribunal est autorisé à déléguer ses fonctions ; les tribunaux ne peuvent pas, en soi, déléguer ses fonctions. Il est nécessaire que la loi les autorise à le faire. Exemples : art. 140 du CPP prévoit que, dans le respect des coûts, le tribunal peut déléguer la régulation de sa valeur dans l'un de ses membres si le tribunal est collégial et son secrétaire pour les frais juridiques.
  • Art 168 de la CPC, qui prévoit que les décrets collégiaux des tribunaux peuvent être pris par un de ses membres.
  • Art 365 CPP prévoit que le juge doit interroger personnellement les témoins et le tribunal est affrété par un de ses ministres.
  • Art CPC 388 prévoit l'acquittement d'une position si le tribunal ne commet pas le secrétaire ou les autres dirigeants signataires de diligence, envoyer des citations pour le jour et l'heure du justiciable doit payer la déclaration.
  • Cas dans lesquels la procédure doit être accomplie en dehors de l'endroit où le costume. Dans ce cas, les actions ne peuvent pas pratiquer le tribunal saisi de l'affaire, mais il doit diriger la communication au tribunal sur le territoire duquel l'action doit être pratiquée, de sorte que l'ordonnance de conformité. Il n'y a plus moyen d'utiliser des compétences déléguées, qui est, l'envoi du mandat correspondant.

5. Le serment dans des procédures juridiques :

Pourvu que l'action doive prêter serment à certains participants, elle devrait être interrogée par l'ordonnateur sur la formule suivante : « Pour Dieu, jurez-vous de dire la vérité sur ce que vous demandez ? » ou, « Ne jurez-vous que par Dieu d'accomplir les tâches qui vous sont confiées ? » Selon la nature de l'agir. L'intimé doit répondre : « Oui, je le jure ». Est-ce que cela définit l'article 62 du CPC ? Des exemples de témoins sous serment, le témoin expert à accepter le poste de pardonner, etc.

6. Déclaration de l'interprète dans les procédures judiciaires :

En vertu de l'art. 63 du CPC, en cas de besoin l'intervention d'un interprète dans une procédure, il doit être fait appel à l'agent, le cas échéant, et par ailleurs, être désigné par le tribunal. Les interprètes doivent avoir les conditions requises pour être des experts et sont crédités avec le caractère de ministre de la foi. Avant la diligence du client, l'interprète doit prêter serment de loyauté dans l'exercice de ses fonctions.

L'art. 1, lettre d) du décret n° 738 du ministère des Affaires étrangères déclare que le ministère des traducteurs et interprètes du ministère des Services Centraux du Ministère des Affaires étrangères est chargé d'intervenir dans toutes les procédures en ce qu'elle exige de l'agent intermédiaire d'un interprète, selon l'énoncé à l'article 63.

Comment peuvent-ils être ordonné à l'accusation

La poursuite ne peut être promulguée de quatre manières : avec une audience, une citation à comparaître, avec les connaissances et les antécédents.

a. - Mesures de citer : Lors de la commande ou d'autoriser une diligence subpoena, est réputé être mise en œuvre, qu'au bout de 3 jours se sont écoulés depuis la notification de l'injonction à l'effet contraire.

La loi prévoit que certaines mesures doivent être ordonnées ou autorisées de citer à comparaître la partie. Dans ce cas, le tribunal fournit l'application respective : comme demandé, avec la citation. Voyons quelle est la signification de la formule exprime. Le paragraphe 1 de l'article 69 de la CPC : Chaque fois que vous ordonnez ou d'autoriser une citation diligence, signifie que vous ne pouvez pas prendre effet qu'après trois jours après la notification de l'injonction à la partie, qui peut s'y opposer ou déduire des observations dans ce délai, en suspendant dans ce cas, la mesure en attendant la résolution de l'incident.

Si l'autre partie s'oppose ou fait des commentaires clairs, doivent être traitées avec une telle opposition ou observations comme un accident, et l'entraîneur ne peut prendre effet qu'après l'incident déclaré est résolu favorablement.

Par exemple, les documents publics sont attachés à une assignation de première instance, la demande d'augmentation de payer épreuve spéciale sur le territoire de la République, sera attribué à un parti citation aile, etc.

b. - Mesures à la connaissance : Le paragraphe 2 de l'article 69 de la CPC : lors de l'envoi de procéder à des connaissances ou en utilisant d'autres expressions semblables, vous ne pouvez effectuer la diligence raisonnable puisque le récipient placé sur avis de la résolution.

Ici, le juge ordonne l'emportant avec lui la connaissance et la pratique de l'époque où le contraire est avisé de cette décision.

Par exemple, demande de chèque est activée, le tribunal est appelé à fournir une telle connaissance ; cela signifie que la demande de vérification peut être commandé par une notification officielle une fois la décision judiciaire de l'État tous les jours.

c. - Mesures visant à l'audition : Lorsque la loi exige qu'il y ait une audience de la partie adverse, le mouvement lui donne l'arrière-plan accompagnée du dossier, que dans les trois jours expose qu'elle juge appropriée à défendre leurs intérêts.

Dans ce cas, l'incident se pose immédiatement ; par conséquent, doit être résolu par une décision interlocutoire ou une ordonnance.

Par exemple, la demande de payer test augmentation extraordinaire en dehors du territoire de la République bénéficie d'une audience de la partie adverse ; toute violation des embargos sur les normes de pratique responsable du ministre de dommages-intérêts résultant foi, etc.

d. - L'avion a ordonné : une procédure judiciaire lorsque le tribunal a décrété immédiatement, sans autre formalité, ou attendre dans les termes.

Les commissions rogatoires

Lorsque, dans un processus, il devient nécessaire de condamner la pratique de l'action judiciaire en dehors du territoire de compétence du tribunal saisi de l'affaire, vous devez l'envoyer au juge de la communication concernés, afin de rendre une ordonnance pour se conformer à l'action demandée. Cette communication est appelée un mandat.

En vertu des dispositions du paragraphe 1 de l'article 71 de la CPC, un tribunal est nécessaire pour la pratique ou de les commander pour être sur leur territoire, les actions qu'il soit mis en œuvre et qu'un autre tribunal peut exiger.

Par conséquent, j'exhorte tous les deux tribunaux : le tribunal de délivrer les lettres, qui est de diriger la communication, et a exhorté le tribunal, qui est le récepteur et donne l'ordre d'être remplies. Sa fondation repose sur le principe de la coopération qui doit exister entre tous les tribunaux, pour l'exécution plus rapide et correcte de ses tâches importantes et délicates.

Classes de mandats :

  1. Bons de souscription nationaux : sont ceux qui ciblent les tribunaux chiliens à l'autre.
  2. Mandats d'arrêt internationaux : sont ceux qui se placent entre étrangers et tribunaux chiliens, ou vice versa. Cette classification est importante pour le traitement de différents les uns aux autres subissent bons de souscription.
  3. Communs : il est celui qui va au tribunal pour exercer une poursuite en particulier.
  4. La parole de voyage ou la marche : est celui qui va aux différentes juridictions pour la pratique de diverses procédures judiciaires, de sorte que la performance d'abord pratiquée avant l'un d'eux est envoyée à l'autre, et ainsi de suite.

Ce dernier permet la classification de l'article 74 du CPC.

Bons nationaux

La communication est transmise par le tribunal qui les lettres a exhorté le tribunal à la demande des parties intéressées et la délivrance de la décision devant le tribunal l'ordonne ; à ces questions, le tribunal ne peut agir officiellement.

Le mandat doit contenir les lettres, décrets et explications nécessaires à la bonne conduite ou une pratique de donner des instructions de soins (art 71° Inc.2 CPC).

Le tribunal a appelé son accomplissement ordre dans la façon dont le rapport montre et ne peut pas adopter d'autres mesures que nécessaire pour traiter et pour permettre au juge de première instance pour résoudre le cas échéant (article 71, dernier alinéa, du CPC).

Toute action effectuée sans obtention du mandat, signifie l'excès de pouvoir ou d'énergie et produisent donc la nullité de l'action correspondante.

Les bons de souscription doivent être signés par le juge en tout cas et si le tribunal est affrété par le président.

Les commissions rogatoires doivent être prises à leur destination par la poste, et dans des cas particuliers décrits par le tribunal, remis à la partie qui a demandé, pour gérer la conformité. Il est ce qui est prescrit à l'article 77 du CPC.

Selon Art.73 du CPP, sur les mesures nécessaires pour rendre le tribunal a exhorté, peut intervenir en charge de la partie qui a demandé le mandat, à condition qu'il exprime le nom du gérant ou indiquer que vous pouvez le remplir que la présente ou toute autre personne.

La personne qui remplira le mandat doit posséder l'aptitude nécessaire pour subir un procès en vertu de l'article 2 de la loi 18.120.

Bons adressés à des tribunaux étrangers :

Lorsque deux ou plusieurs actions effectuées dans un pays étranger, vous devriez communiquer avec la communication respectifs au personnel d'être impliqués, par la Cour suprême, qui transmet au ministère des Affaires étrangères que ceci va de soi que dans la façon dont il est déterminé par les traités existants ou par les règles générales adoptées par le gouvernement.

La demande doit indiquer le nom de la personne ou des personnes auxquelles la partie habilitée à pratiquer des procédures demandées, ou indique que la personne peut faire ou de toute autre. Énoncé ce que les clauses 1 et 2 de l'article 76 du CPC.

Si c'est un mandat simple traitement, il doit assister à son bureau le président de l'honorable Cour suprême ; mais si le traitement n'est pas simple, il doit savoir l'une des chambres de la CS.

Bons adressés de l'étranger devant les tribunaux chiliens :

Le paragraphe 3 de l'article 76 prévoit que, pour la même conduite et sous la même forme, doivent être reçus des communications de tribunaux étrangers pour mener une enquête au Chili.

Autrement dit, le mandat envoyé par le tribunal étranger doit parvenir au Ministère des Affaires étrangères, qui l'envoie à la CS pour conformité, qui l'enverra au tribunal appelé à intervenir dans ces questions de conformité.

Le mandat d'un tribunal étranger est un acte public exécuté en dehors du Chili ; il doit être dûment authentifié (art. 345 CPC) et en cas de prolongation dans une langue étrangère, doit être accompagné de sa traduction (article 347 CPP).

PÉRIODES

Sont réglementés en vertu du titre VII de la CPC, y compris les articles 64 à 68.

1) Le Code civil définit le terme à l'article 1494 du CC, qui définit ce terme comme la fixation du temps de l'accomplissement d'une obligation. Cette définition est quelque peu limitée et uniquement applicable à la matière contenue dans le livre IV de la CC, qui est, obligations et contrats.

2) La doctrine définit ce terme comme un événement futur et sur lequel l'exercice ou la résiliation d'un droit.

3) En matière de procédure, en utilisant le concept d'un événement futur et est fixé à la pratique d'une procédure particulière ou à un acte juridique particulier.

M. Casarino, dans le contexte de la CPP, définit cet espace de temps comme fixé par la loi, une décision judiciaire, ou l'accord des parties pour exercer un droit dans le processus.

Le projet de loi utilise le mot « mandat » comme synonyme de terme.

Façons de calculer la période.

Le CPC est muet sur la forme ou le mode de calcul du temps ; nous devons donc recourir à la common law.

L'article 48 du CP prévoit : Toutes les périodes de jours, mois ou années qui sont visées dans les lois ou les décrets du Président de la République, des tribunaux, il faut entendre complet et sera jusqu'à minuit le dernier jour du terme.

Le premier et le dernier jour d'une période de plusieurs mois ou années doivent avoir le même nombre dans les mois respectifs. Dans un mois, il peut donc y avoir 28, 29, 30 ou 31 jours, et dans une année, 365 ou 366 jours, le cas échéant.

Si le mois est le début d'une période de plusieurs mois ou années, il se compose de plus de jours que le mois qui est la fin du terme, et si le Corriere période de l'un des jours où le premier de ces mois dépasse la seconde date de clôture est le dernier jour du deuxième mois.

Appliquer ces règles aux exigences, les qualifications de l'âge, et en termes généraux ou les modalités prévues dans les lois ou les actes des autorités chiliennes, sauf que les mêmes lois ou actes disposition expresse contraire.

Classification des termes :

I) Dans le mode de calcul (discontinu) :

  • a. - Continu : est en cours d'exécution sans interruption. Pas suspendu les jours fériés.
  • b. - Abandonné : Il est celui qui souffre de suspension pendant les vacances.

La règle générale dans notre droit est que les termes sont continues. En fait, l'article 50 du Code civil prévoit que, dans le temps que nous l'avons indiqué dans les lois, décrets ou Prés. de la R., ou dans les juridictions pour inclure même les jours fériés, à moins que le délai prescrit de jours pour être utile, en exprimant, pour ensuite les vacances ne sont pas comptés.

Cette règle générale comporte deux exceptions :

  1. La première est contenue dans la dernière partie de l'art. 50 de la CC, que le temps est discontinu, comme le rappelle expressément par la loi ou par décret de l'autorité dans le délai prescrit de jours est utile.
  2. La seconde exception est prévue à l'art. 66 de la CPC, qui prévoit que le nombre de jours à condition que le CPC, sont suspendus pendant les vacances, sauf si le tribunal, pour une bonne raison d'indication contraire. Il convient de noter que cette exception s'applique uniquement aux termes de jours à condition que le CPC. Il ne fait pas référence aux termes de mois et les années qui pointe vers ce code, ou d'autres conditions fixées par la loi ou des entités juridiques.

Toutefois, cela n'exclut pas les questions visées au paragraphe 2 de l'article 314 de la COT sur la location de vacances (article 66, paragraphe 2 du CPP). C'est dans les entreprises pour permettre les vacances des fêtes, en dépit d'être identifiés en termes de jours, le CPC, aux fins de calcul, pas déduit de vacances.

II) Au moment où ils commencent à courir (individuels et communs). (Art.65 du CPP)

  1. Dates limites individuelles : ceux qui courent séparément pour chaque partie, à partir du moment de la notification correspondante. Date limite de dépôt des exceptions, par exemple dans j. exécutif.
  2. Termes courants : ceux qui sont réunis pour toutes les parties, à partir du moment de la dernière notification. Par exemple, le temps de répondre à la demande dans le ju. Régulière des preuves terme dans tout procès.

La règle générale est que les termes sont différents. Car il est entendu que la période est commune, il faut une disposition légale le prévoit expressément.

III) Conformément à leur source ou l'origine d'où émanent (judiciaires, légales et conventionnelles)

  1. Délais judiciaires : sont ceux identifiés par les tribunaux lorsque cela est expressément autorisé par la loi de le faire. Notez que ces délais sont exceptionnels dans notre législation. (Par exemple, l'article 9 et 12 du CPC).
  2. Délais juridiques : sont ceux fixés par la loi.
  3. Dates limites classiques : est-ce qui émane de l'accord volontaire des parties, ou qui assiste émettra un acte juridique unilatéral.

La plupart sont des termes juridiques ; ils sont également tous mortels et ne doit pas l'accuser sur la rébellion, puisque la possibilité d'exercer un droit ou la possibilité d'accomplir un acte s'éteint à l'expiration du terme.

IV) En fonction de si oui ou non l'objet de reports (renouvelables et non renouvelables)

  1. Le délai supplémentaire : peut être prolongé au-delà de la date d'expiration naturelle.
  2. Délais prolongés : sont ceux qui ne supportent pas cette extension.

Selon nos CPC, ne supportent que la prolongation du mandat juridique.

Mentions légales sont étendues, sauf si la loi dans le cas particulier, admettre que d'un terme juridique peut être prolongée. Est-ce que prévoit l'art. 68 de la CPC et il a résolu l'affaire.

Mais pour les périodes indiquées par le tribunal, peut être prolongée, il est nécessaire que les conditions suivantes (art. 67 CPC) :

  • est nécessaire de demander la prorogation avant l'expiration de la durée et
  • doit tirer juste cause, qui doit être déterminée par le tribunal avec prudence.

En aucun cas, l'extension ne prolongera la durée au-delà des jours désignés par la loi (art. 68 du CPP).

V) Comme si l'omission d'exercer le droit au sein de leur fait ou ne fait pas mourir (fatal et non fatal)

  1. Délais mortels : ceux qui expirent par le simple écoulement du temps. Reportez-vous à eux par les articles 49 et 64 du Code civil et du Code de procédure civile. La première de ces règles prévoit que si un acte est dit à exécuter au niveau ou dans un certain délai, si l'on suppose être exécuté avant minuit se terminant le dernier jour du terme, et quand il est nécessaire que se soit écoulé période de temps pour naître ou de se périmer certains droits, il est entendu que ces droits ne sont pas nés ou expiré qu'après minuit à la fin de la dernière journée de cette période de temps. Et la dernière loi prévoit que l'exercice des droits qui sont accordés un terme fatal ou impliquant un acte devant être exécutés sur ou dans un certain délai, est irrévocablement éteinte par application de la loi que, si vous n'avez pas exercé avant l'expiration de ces termes.

Par conséquent, les délais mortels sont reconnus :

  • parce que la loi leur attribue expressément un caractère (189. CPC, par exemple, la date limite pour le dépôt. rec art d'appel).
  • parce que la loi dit que le droit doit être exercé ou l'acte accompli, en utilisant l'expression « au fil du temps » (ex. l'article 770 paragraphe 1 du CPP) et
  • la loi stipule que le droit doit être exercé ou l'acte accompli, en utilisant l'expression « dans un certain délai » (par exemple l'article 305, paragraphe 1 du CPP).

2) Délais non mortels : sont ceux qui ne prennent pas fin par le simple écoulement du temps, mais il est déclaré qu'en vertu de la valeur par défaut appropriée. Aujourd'hui, ont ce caractère juste le temps que le Code prévoit pour la cour.

Les Rebeldías

Sont réglementés en vertu du titre VIII du livre I de la CPC.

L'institution de la rébellion est consacrée à l'article 78 de la CPC qui prévoit que, après une période de conduite judiciaire d'un acte de procédure, sans qu'il ait été pratiqué par la partie concernée, la cour d'office ou à la demande d'une partie, une telle procédure par contumace et fournira ce qui est approprié pour la poursuite du procès sans certificat préalable de la secrétaire.

Les rébellions sont importantes dans le cas des délais judiciaires ; il ne s'applique pas aux limites légales ou conventionnelles.

Cette question a été examinée pour répondre aux attitudes que peut prendre une fois que le défendeur a été légalement convoqué.

La rébellion en première instance n'a pas d'effet global dans le sens de ne pas avoir à se soucier du plaideur indiscipliné. Au contraire, cela signifie seulement que c'est pour évacuer le processus pertinents, puis doit suivre l'avis de toutes les décisions prises au cours du procès.

Deuxièmement, la situation est différente. Si le défendeur ne comparaît pas à suivre l'action, vous devez le suivre dans sa demeure de la loi et n'est pas nécessaire de notifier les décisions rendues, qui produisent leurs effets sur le rebelle, ayant interjeté appel de cet avis.

La nullité de ce qui a été fait

  1. La nullité de toutes les procédures, lorsque les rebelles a été empêché par la force majeure.

Le plaideur défaillant peut demander l'annulation de ce qui a été forgé à son procès par contumace, en offrant la preuve qu'il a été empêché par force majeure. Ce droit ne peut être réclamé dans les trois jours à compter de la cessation de l'empêchement et pourrait être acceptée par le tribunal saisi de l'entreprise. Ceci est requis par art.79 de la CPC.

L'incident qui a donné naissance au droit du justiciable défaillant doit être motivée dans un fichier séparé et ne pas suspendre pendant la cause principale.

Nullité de toutes les procédures pour défaut de mise en œuvre.

Fait référence à cet incident à l'article 80 du CPC qui dit que si la partie défaillante n'a pas fait connaître de toute personne se sont battus dans les ordonnances judiciaires, demander la résiliation de ce qui a été fait, offrir la preuve que pour un fait que il est responsable, ont cessé de venir dans ses mains les copies visées aux articles 40 et 44, ou qu'elles ne sont pas exactes en grande partie.

Ce droit peut être revendiqué que dans les cinq jours à partir de l'émergence ou indiquant que le justiciable avait une connaissance personnelle de l'essai.

En ce qui concerne la gravité de cet incident, car elle est fondée sur l'absence de mise en demeure, qui consiste à venir à condamner un procès sans audience, la loi lui permet d'intervenir à n'importe quel stade du procès et la condamnation définitive n'a encore été. Il apparaît ici dans une dernière phrase. Ceci est démontré par les articles 182 et 234 du CPC.

Suspension de la procédure

En vertu des modifications introduites par les lois 18.705 et 18.882, le paragraphe 2 de l'article 64 prévoit que les parties, à tout stade du procès, d'accord pour suspendre la procédure jusqu'à un maximum de 90 jours. Ce droit peut être exercé qu'une seule fois dans chaque cas, sans préjudice de l'affirmer dans le cas CS, avant que la Cour d'appel était en cours ou réclamation contre la décision finale.

Si les parties font usage de ce droit, le temps qui peut être en cours d'exécution sera suspendue sur présentation de la réclamation par écrit et continuer à exécuter l'expiration de l'accord de suspension.

Enfin, il doit être considéré que la suspension court à partir du dépôt de l'avis, quelle que soit la date à laquelle il est fourni.

NOTIFICATIONS

De façon générale, la notification est l'acte par lequel le tribunal informe une personne, que ce soit ou non partie à la procédure, une décision ou une mesure, afin de donner à connaître pour ne faire apparaître dans la défense de leurs intérêts, ou de l'amener à témoigner, à avouer ou partiellement informé, ou même d'arrêter sa course ou d'exécuter quelque chose sous peine de poursuites judiciaires.

Plus restreint, la déclaration est l'action qui vise à informer les tiers ou une ordonnance du tribunal.

Les avis sont régis par les règles que donne le Code de procédure civile au titre VI du livre I, et les dispositions pour toutes les procédures judiciaires, contenues dans le titre VII du livre Ier du Code.

Importance des notifications :

Ledit article 38 de la CPC stipule : les décisions judiciaires prendront effet qu'en vertu de la notification en vertu de la loi, sauf dans les cas expressément exclus par lui.

Mais ce principe comporte des exceptions, dont l'une est contenue dans l'article 202 du CPC, selon lequel, si l'intimé omet de comparaître devant la Haute Cour dans le délai fixé à l'article 200, doit suivre l'action comme une rébellion par opération simple de la loi et pas besoin de vous informer des décisions rendues, qui produisent leurs effets sur lui, de leur avis. Ainsi, le respect de l'appel des rebelles, les décisions judiciaires produisent leurs effets car ils sont parlées, sans préavis.

Conformément à l'article 39 de la CPC, pour la validité d'un avis, n'exige pas le consentement de la personne servie.

Types de notifications :

  • Personnels 1.Notification.
  • 2. Filiale de services personnels ou par l'article 44 CPC.
  • 3. Notification par carte.
  • 4. Avis de la liste quotidienne.
  • 5. Notification d'avis.
  • 6. Notification tacite.
  • 7. Avis Ficta.

Exigences générales pour avis :

  • Que la notification est effectuée par le fonctionnaire compétent. Exemple : une secrétaire ou un récepteur.
  • Ils doivent être pratiqués en heures, jours et lieux de travail.
  • Doivent être enregistrées dans le processus de notification effectuée avec toutes les formalités prescrites par la loi pour chaque forme particulière de notification.

Déclarations de consentement et de notification :

Du moment où l'avis judiciaire est un acte d'autorité, aux fins de la validité de la loi n'a pas eu à prendre en compte la volonté de la personne servie. L'opinion contraire ont été acceptés ; dans la pratique, il serait impossible de rendre valide le constat judiciaire.

Le principe de ce qui précède est clairement exprimé dans l'article 39 de la CPC, quand il dit : Pour la validité de la notification, ne requiert pas le consentement de la personne servie.

D'autres mesures de rapports qui sont fixés dans le processus, n'avez même pas besoin de reconnaître ce qu'il a dit le rapport, ce qui est explicitement énoncé à l'art. CPC 57.

Délégation de fonctions des secrétaires :

Les fonctions confiées aux greffiers du tribunal peuvent être effectuées par le premier officier du secrétariat.

Un service personnalisé

Définition : que consiste Acte juridique de remettre à la personne qui doit être notifiée, une copie complète de la résolution et la demande (écrite ou sur demande) qui a résulté, comme écrit. Cette définition résulte de l'article 40 du CPC.

Les fonctionnaires autorisés à faire des services personnels :

Selon art.380 n° 2 de la COT, le secrétaire doit pratiquer les notifications personnelles dans votre bureau. Cette fonctionnalité peut également être jouée par le premier officier du secrétariat, sous la responsabilité du Secrétaire, conformément à l'art. 58 de la CPC.

En dehors du bureau du greffier se trouve le destinataire qui doit exercer les notifications personnelles. Ainsi ordonné par l'art. 390 de la COT.

En tout cas, la première notification de toute procédure juridique du demandeur est prise par le quotidien d'État.

L'article 41 du CPC pointe les jours, heures et lieux de travail pour un service personnel.

La loi précitée dispose que :

  • Dans les lieux et locaux accessibles au public, la signification personnelle peut être faite tous les jours, à tout moment, en essayant de provoquer le moins de gêne pour le préavis.
  • Dans la procédure d'exécution, le paiement ne peut être fait en public, et la demande a été notifiée dans un lieu ou des lieux ouverts au public l'accès est généralement soumis aux dispositions du n° 1 de l'art. 443 (sur carte).
  • En outre, le service peut être n'importe quel jour, entre 6h et 22h dans l'habitation ou le lieu où l'on signale pendant la nuit ou dans le lieu où il exerce ordinairement ses industrie, profession ou emploi, ou dans une enceinte dans laquelle il se trouve et dont l'accès est autorisé par l'agent de certification.

Si l'avis doit être effectué un jour férié, le délai commence à courir à partir de minuit le jour ouvrable suivant, et si l'arrestation a été faite en dehors de la municipalité où la cour des œuvres, le temps sera augmenté de la manière prescrite aux articles 258 et 259.

Ils sont aussi des lieux de travail à la pratique du bureau du secrétaire, a notifié à la maison qui sert à libérer le tribunal et le bureau ou le bureau du ministre de la foi qui pratiquent la notification. Les juges ne peuvent, toutefois, être communiqués dans les locaux où ils exercent leurs fonctions.

Notification personnelle doit être enregistrée dans le processus

Service à caractère personnel doit être reflété dans le processus de diligence ; il doit signer l'avis et le ministre de la foi. Si le premier ne peut ou ne veut pas signer, il devrait être une preuve de ce fait dans la même diligence. Être exprimé aussi le lieu pour vérifier l'événement et la date avec la date, au moins approximative. Cette exigence est fixée par l'art. 43 de la CPC.

Le record dans le processus est une condition essentielle du service personnel. Leur omission annule l'avis. En effet, notre jurisprudence dit que sont des exigences dont l'absence conduit à la nullité de l'avis : le fait que vous vous abonnez à la personne à laquelle il est fait ou de consigner le fait de ne pas vouloir ou pouvoir de signer, et que exprime le lieu où l'acte a été vérifié et la date, indiquant l'heure, au moins approximative. Il a ajouté que l'indication de l'endroit où l'acte a lieu, ne renvoie pas seulement à la ville, une ville ou village où se trouve le domicile de la personne qui doit être servie, mais pour sa chambre, ou d'autres endroits où l'avis peut être vérifié conformément à la loi.

Les cas où un service personnalisé est utilisé.

Les résolutions à être signifiées à personne sont visées aux articles 40, 47, 52 et 56 de la CPC et ils sont :

  • En tout état de gestion du corps judiciaire, la première notification aux parties ou à toute personne qui affecte leurs résultats, doit être faite personnellement. Il convient de noter que le Code ne dit pas pour être servi personnellement l'écrit de la décision rendue sur la demande. Le procès peut commencer par une mesure préliminaire ou la gestion des écoles de l'exécutif, auquel cas le défendeur est personnellement servi la première décision rendue dans le dossier et l'état, la décision rendue dans le procès que la suite se présenter.
  • Lorsque la loi exige la notification à toute personne pour la validité de certains actes, tels que l'attribution d'un nominatif.
  • Lorsque le tribunal de façon expresse.
  • Peuvent être utilisés dans tous les cas.
  • Si s'écoulent six mois sans aucune décision rendue dans le processus, les notifications ne sont pas considérées comme des entrées valides sur l'état de tous les jours jusqu'à une nouvelle notification est faite en personne ou par bulletin de vote.
  • Les notifications faites à des tiers non parties au procès, ou qui ne touchent pas leurs résultats devraient être faites en personne ou par bulletin de vote.
  • Quand spécifiquement requis par la loi. Cas par exemple les articles 221, 233, 443, n° 1, 689, 705. etc. CPC.

Exigence de l'article 44 de la CPC ou du service personnel subsidiaire.

Concept : Loi supplémentaire de la procédure juridique, par laquelle un récepteur judiciaire offre l'une des adresses notifiées et autorisées par la loi, les dossiers visés à l'article 40 du CPC.

L'article 44 stipule : Si vous regardez sur deux jours différents dans votre chambre ou du lieu où il exerce habituellement son industrie, la profession ou l'emploi, ne prend pas la personne à être notifiée doit être établi qu'elle est dans le lieu du procès et ce que son logement ou lieu où ils exercent leur industrie, la profession ou l'emploi ; ces conditions suffisent pour vérifier l'accréditation appropriée de l'agent de certification. Établi deux faits, le tribunal ordonne que le rapport est de fournir les copies visées à l'article 40 à tout adulte qui est à la maison ou le lieu où la personne à prévenir l'exercice de leur industrie, la profession ou l'emploi.

Si personne n'est là, ou si, pour toute autre raison, ne peut pas fournir des copies aux personnes qui sont dans ces endroits, la porte doit être un signe que les nouvelles de la demande, avec identification précise des parties concernant le cas, audience à ce sujet et les résolutions qui sont signalés. Il en est ainsi ordonné au paragraphe 2 de l'article 44 du CPC.

Si l'habitation ou du jour au lendemain ou le lieu où il exerce habituellement son industrie, la profession ou l'emploi, est dans un bâtiment ou des locaux dont l'accès libre n'est pas autorisé, l'avis et des copies remises au concierge ou gérant du bâtiment ou des locaux, en laissant un témoignage précis sur ce fait. Cela est exprimé au paragraphe 3 de l'art.44 de la CPC.

Par conséquent, les exigences ou les éléments de cette notification sont :

  • Que ne peut être notifié en personne en tant que telle.
  • Que la personne (servie) a été demandée sur deux jours.
  • La recherche a été vérifiée dans la maison (la chambre) ou sur le lieu où ils exercent leur industrie, la profession ou l'emploi.
  • Que l'agent de certification certifie dans le document que la personne est dans le lieu du procès et d'indiquer qui est le logement ou le lieu où il exerce son industrie ou une profession.

Comme référence, je note que, avant la modification prévue par la loi 19.382 du 24 août 1995, au lieu de certifier un certificat d'officier, il est maintenant nécessaire ; il devrait donner des informations sommaires à un seul témoin aux fins de déclaration en vertu du présent article.

Procédure : Une fois les besoins identifiés et restitués au dossier par le séquestre judiciaire, en général, le demandeur doit présenter une déclaration à la cour demandant à être notifiée conformément à l'Art. 44 et la vérification des exigences du tribunal l'ordonne.

Conformément à l'art. 43, la notification subsidiaire doit indiquer au dossier par le ministre de la foi qui vous souscrivez.

D'autre part, il est nécessaire de souligner qu'en vertu de l'article 45 du Code, les rapports de diligence raisonnable, dans ce cas, devraient être étendus de la même manière que dans le cas d'un service personnalisé, être obligé de souscrire la personne qui reçoit les copies, si elle le peut, sans laisser des traces de son nom, âge, profession et adresse.

En dehors de l'obligation de l'agent de certification pour enregistrer le processus de notification dans ce formulaire, vous devez en aviser l'avis, de diriger une lettre à cette fin par la poste, dans les deux jours de la date de la notification ou de la réouverture des bureaux de la Poste, si la notification a été faite un dimanche ou un jour férié. La lettre peut être d'ouvrir la carte portant le nom et l'adresse du destinataire et doit indiquer le tribunal, le numéro d'accession de l'affaire et le nom des parties. Dans le témoignage de l'avis doit également mentionner le fait de la date d'expédition, le bureau de poste qui a été fait et le numéro de bon de ce bureau. Cet accusé de réception doit être apposé sur le dossier après le témoignage.

La signification à personne par voie d'annonces dans les journaux ou périodiques.

Concept : Loi supplémentaire et exceptionnelle procédure judiciaire, par laquelle est publié dans un avis dans les journaux une décision de justice ou une procédure définie pour avoir produit l'une des conditions de l'article 54 du CPC.

Ce genre de déclaration, c'est qu'elle est pratiquée, une ordonnance judiciaire antérieure, quand il faut être signifié personnellement ou par bulletin de vote une individualité résolution ou des personnes dont la résidence est difficile de déterminer leur nombre ou entrave considérablement la pratique de la notification peut être notification par voie d'avis publié dans les journaux de l'endroit où il est encore le cas, ou du capital de la province ou la capitale de la région, si il n'y en a pas (art. 54 paragraphe 1 du CPP).

Ainsi, les avis dans les journaux devraient être dans deux cas : a) il doit être signifié personnellement ou par le bulletin de vote une individualité ou des personnes dont la résidence est difficile à déterminer ; b) il doit être signifié personnellement ou par bulletin de vote pour les personnes dont le nombre, de manière significative, la pratique des soins.

Pour permettre cette forme de notification, le tribunal doit procéder à la connaissance des faits.

Ie plan ne peut pas résoudre la demande présentée par le parti, après avoir RECAVA, avant, les bureaux publics et les institutions privées.

Mode de pratique : pratique le présent avis par des annonces dans les journaux où la cause est toujours le capital de la province ou la capitale de la région, s'il n'en existe pas. L'avis, qui remplace le service personnel ou par bulletin de vote, doit contenir les données requises pour un service personnel, mais si la publication est très inutile, compte tenu du volume d'affaires, le tribunal peut peut-être faire un extrait préparé par le greffier du tribunal.

Doit être effectuée au moins 3 avertissements, mais aussi la décision judiciaire à être signalée est la première action en justice, il est également nécessaire pour la validité de la notification, d'insérer un avis au Journal officiel le premier jour ou le quinzième jour de chaque mois, ou à côté, s'il n'est pas publié, aux dates indiquées. Est par les présentes donné que le dernier paragraphe de l'art. 54 de la CPC.

La nullité de ce type de notification :

Les avis dans les journaux doivent se conformer à toutes les exigences de l'art. 54 de la CPC et si vous omettez l'un d'eux, l'avis est invalide.

L'avis au bulletin de vote.

Définition : qui est livré à l'adresse du document notifié contenant une copie complète de la résolution et les données nécessaires pour l'intelligence de succès. Cette définition suit l'art. 48 de la CPC.

Pour la pratique, donc, une notification de ce type, l'agent de certification doit donner un préavis à la maison d'une copie intégrale de la résolution est rapportée et les données nécessaires pour l'intelligence de succès. Les principales différences entre la notification et de rapports personnels au bulletin de vote sont les suivantes : a) le service à caractère personnel doit être remis copie complète de la résolution, qui vise à informer et demande qu'il a reçues, quand il est écrit ; plutôt sur l'avis de la carte doit recevoir une copie complète de la résolution, mais accompagné seulement les données nécessaires pour l'intelligence de succès et b) le service personnel est effectué par le dépôt des documents requis par la loi, notifiée personnellement, mais au lieu de la notification au bulletin de vote est fait pour vous fournir la résolution et les données nécessaires pour l'intelligence réussie à l'adresse de la notification, à tout adulte qui il est, et si personne n'est là, ou si pour une raison quelconque ne peut pas vous fournir ces documents aux gens qui y sont, il jijándose avis donnant un avis de la demande, les spécifications exactes des parties concernant la cause de son audience et les résolutions qui sont signalés, une autre différence réside dans les termes fonctionnaire autorisé à exercer un service personnalisé est le greffier du tribunal ou le récepteur, tandis que dans la notification par vote ne sert qu'à le récepteur.

Fe ministre doit donner un avis par lettre recommandée.

Le récepteur doit donner un avis par lettre recommandée qui a notifié au bulletin de vote. Cela découle de l'article 46 du Code, en vertu de l'article 48 du code.

Notification par bulletin de vote doit être inscrite dans le processus.

Dans le fichier devrait être de l'avis indiquant la date et le lieu du nom, âge, profession et adresse de la personne qui a effectué la livraison de la carte et le fait d'avoir donné de préavis. Ceci est garanti par le paragraphe 2 de Art.48 de la CPC.

Résolutions à rapporter au bulletin de vote.

Les résolutions qui seront déclarées par bulletin de vote sont énoncées aux articles 48, 52 et 56 de la CPC et ils sont :

  • Les jugements définitifs.
  • Les résolutions de la réception de l'affaire au procès. Les résolutions de l'enquête d'un incident doivent être signalées par le quotidien d'État, selon le dernier alinéa de l'article 323 du CPC.
  • Les résolutions ordonnant la comparution personnelle des parties.
  • Si le tribunal n'ordonne expressément le (dernier alinéa de l'article 48 du CPP).
  • Quand il s'agit d'informer des tiers non parties à la poursuite, ou celles qui affectent les résultats (art.56 CPC).
  • Lorsque s'écoulent six mois sans aucune décision rendue dans le processus, aucune notification ne sera valable par l'État jusqu'à une nouvelle notification est faite en personne ou par bulletin de vote. (Art.52 du CPP).
  • Dans d'autres cas que la loi établit. Par exemple, 233 paragraphe 2, 595 du CPC, etc.

Adresse de service aux fins de la notification au bulletin de vote

Conformément à l'article 49 du CPC, pour l'application de la notification par vote, chaque justiciable doit, dans sa gestion judiciaire, d'abord nommer une adresse connue dans les limites de la ville de l'endroit où opèrent les tribunaux respectifs, et cette désignation est considérée comme non-subsistante ensuite une autre partie intéressée, même si en fait, changer sa demeure.

Dans le procès devant les tribunaux inférieurs, la maison devrait être fixée à un endroit connu de la compétence du tribunal compétent, mais si l'endroit désigné est à une distance considérable, c'est que dans la gestion de la cour, il peut ordonner, sans aucune formalité et sans appel, de nommer un autre à l'intérieur des limites plus proches.

La pénalité est une violation de l'obligation de désigner la maison.

Les résolutions en vertu de l'article 48, être notifiées au bulletin de vote, l'état doit être communiquée quotidiennement aux parties qui n'ont pas désigné d'adresse dans le premier litige. Cette peine qui reste, alors que cette nomination n'est pas faite par la partie qui a fait de cette omission.

Toutefois, cette sanction n'a aucun effet pendant tout le processus. Il est appliqué en tant que justiciable ne parvient pas à se conformer à son obligation de désigner la maison.

La notification par l'État des résolutions en vertu de l'article 48, être notifiée au bulletin de vote doit être par le simple fait que le procès respectif ne traite pas de la nomination de son administration judiciaire d'abord, sans demande d'une partie et sans mandat judiciaire préalable. Est-ce qui empêche l'article 53 du CPC.

La peine est donc grave ; il s'agit de remplacer la carte d'avis, qui est entourée dans un certain sens des formalités, la notification par le quotidien d'État, qui est plus simple de tous.

Notification d'état Quotidien

Concept : c'est-à-comprennent la résolution devant être déclarés en état de se former et mettre tous les jours au greffe du tribunal avec les informations prévues par la loi.

Se réfère à ce genre de rapports l'article 50 de la CPC, stipulant à la rubrique 1 : Résolutions non incluses dans les articles précédents sont notifiées aux parties en entrant dans un état de se former et de mettre tous les jours dans le secrétariat de chaque tribunal aux directives que le paragraphe suivant dit.

Le cas échéant :

La formule est simple : la notification par l'état se produit chaque fois que la résolution n'est pas avisée de ceux qui doivent être signifiés personnellement ou par bulletin de vote.

Conséquence de cela, c'est que la notification par l'état est la règle.

De jour formation de l'état :

Le relevé quotidien devrait être dirigé avec la date actuelle qui est formé et doit être indiqué par le numéro de commande approprié dans le général, exprimé en chiffres et en lettres, et aussi par les noms du demandeur et du défendeur ou de la première liste avec ce personnage, si elle est différente, tous les cas où la décision a été prise à ce jour et le nombre d'arrêts dans chaque. Il a ajouté le sceau et la signature du secrétaire. Ceci est garanti par le paragraphe 2 de l'article 50 du CPC.

Le temps et la façon dont l'état doit être maintenu :

Celles-ci doivent être conservées pendant trois jours dans un endroit accessible au public, recouvert de verre ou d'un autre comportement perturbateur d'apporter des modifications en eux, et liés par un ordre strict des dates seront archivés par mois. (Art.50 du paragraphe 3 de la CPC).

Notification par le journal d'État devrait être autorisée témoignage dans l'affaire ; des erreurs ou omissions dans le témoignage n'infirment pas l'avis et sera condamné à une amende seulement une demi-UTM, une demande ou d'office.

Le défaut de notification par l'état sur une résolution.

Si, par inadvertance ou pour toute autre raison, non inclus dans la liste quotidienne sur une résolution qui est délivrée, ne peut pas être inclus dans les états des jours qui ont suivi, l'intéressé en fait la demande et sans ordonnance d'un tribunal avant.

Processus de série

Nous avons dit que dans les formalités de notification par l'état, que les processus inclus dans ces états, tels que définis, y compris les citations pour le numéro de série de leur part dans la population générale.

Conformément à cela, le législateur a prévu que le départ sera attribué un numéro de série dans la première décision rendue et il doit apparaître dans le rôle du tribunal, jusqu'à la fin. (Article 51 du CPC).

Avis spécial

Il existe plusieurs disséminés dans les dispositions du Code qui établissent des cas spécifiques et notifications qui sont loin en termes de sa forme, les règles générales sur eux. Exemples art. 553 (conflits de possession), 588 (cas d'expulsion devant le tribunal pour résiliation du bail), 629 du CPC, etc.

Tacite notification.

Concept : Il y a 55 du CPC. Bien que non vérifié avis article ou encourus dans la morale, elle doit être notifiée d'une résolution de la partie qui a fait au procès affecte toute la gestion des connaissances impliquant cette décision, sans avoir d'abord prétendu que le manque ou la nullité de l'avis.

Par conséquent, selon la déclaration, la notification n'est pas vraiment impliqué une sorte ou d'une catégorie de service. Il est appelé tacite parce que certaines conditions sont remplies ou des exigences, la loi présume que la personne a été légalement notifiée.

Selon ce qui précède, les conditions de notification tacite ont lieu sont les suivantes :

  • la décision n'a pas été notifiée à la partie ou qui a été diversement rapportée à celle prévue par la loi.
  • le parti a fait toute la gestion dans le processus qui implique la connaissance de la résolution et
  • le fait que la gestion ne consiste pas précisément à faire valoir l'absence de préavis, ou de l'absence de validité de l'avis signifié.

Au nom de la notification légale ou fictive

Si une partie demande et obtient une déclaration de nullité d'une notification, il doit être informé de la décision dont la notification a été déclarée invalide, depuis la notification de la décision prononçant la nullité tels. Si la nullité de l'avis a été déclarée par une juridiction supérieure, une telle notification doit être faite après réception de l'avis du compliment de la résolution.

Cet avis a été incorporé dans notre législation par la loi n° 18.705, par adjonction du paragraphe 2 de l'art. 55 de la CPC.

Objectif : L'amendement vise à éviter l'absurdité qui a été donnée lors de la déclaration de la nullité de l'avis d'une résolution qui devrait à nouveau être notifiée, avec la perte de temps.

On pourrait dire que la loi présume que vous avez demandé une déclaration de nullité de l'avis a été informé et, par conséquent, une nouvelle notification est inutile.

L comme des jugements

Concept : Ce sont les déclarations des tribunaux sur les questions couvertes par sa décision. Ils expriment une activité dans laquelle le juge répond aux demandes des parties ou de mesures procédurales disponibles.

L'auteur affirme que la décision du tribunal Casarino est tout acte émanant du tribunal pour avoir omis de soutenir ou de contester le procès.

Sont réglementés dans le Livre I, Titre XVII, articles 158 à 185 du CPC.

Classification des jugements :

A. « Compte tenu de sa nature juridique, sont classés :

  • Les jugements définitifs.
  • Jugements interlocutoires.
  • Autos.
  • Décret, ordonnance ou fourni.

B. - En réponse à la demande :

  • Instance unique jugements. Sont ceux qui, une fois prononcés, ne font pas l'objet d'un appel.
  • Arrêt de la Cour : sont ceux qui ne font pas l'objet d'un appel.
  • Jugement en appel : est celui qui fait la cour supérieure ou cour d'appel, en statuant sur un recours.
  • Il y a aussi la décision du terme : c'est celle qui met fin au dernier recours.

C. - Si la production ou non l'effet de la chose jugée.

Les états qui sont devenus définitifs et exécutoires produisent cet effet.

D. - Sur le terrain d'où émanent :

  • Jugements des tribunaux.
  • Les décisions rendues par des tribunaux spéciaux.
  • Les jugements rendus par les tribunaux arbitraux.

E. - En ce qui concerne la nationalité de la cour de la juridiction dont ils émanent.

  • Résolutions adoptées par les juridictions nationales.
  • Les décisions rendues par des tribunaux étrangers.

La classification la plus importante est celle de l'article 158 du CPC, qui classe les décisions en jugements définitifs, jugements interlocutoires, ordonnances et décrets. Dans les paragraphes 2, 3, 4 et 5 de la même loi, le législateur définit chacune de ces espèces de jugements. Ce sont ces définitions que nous devons respecter pour bénéficier des jugements et ne pas le nom à donner, ou de la forme extérieure. Ainsi, par exemple, la résolution de la réception de la juridiction de jugement est un jugement interlocutoire, même si elle est dite voiture d'essai. En outre, même si le juge rend une décision interlocutoire de forme externe de magazine d'un décret, il ne perd pas son statut juridique ; il reste à toutes fins juridiques, une décision interlocutoire.

La note de la décision est prise ; elle est importante pour les raisons suivantes : les exigences externes du Code sont différentes, en fonction du type de la résolution judiciaire ; les recours judiciaires peuvent être intentés contre certains jugements, contre d'autres non ; le nombre de ministres d'intervenir dans leur dictée par les tribunaux collégiaux, forme que ce soit d'être rédigé, ou non, bénéficie de la chose jugée, etc.

Décret : Le paragraphe 5 de l'art. 158 du CPP définit ce genre de décision judiciaire de la manière suivante : C'est ce qu'on appelle l'ordonnance ou à condition que, sans faute sur les incidents ou les procédures qui constituent la base pour la délivrance d'une déclaration, est uniquement destinée à déterminer ou fixer la justification du processus.

De cette définition, il est clair que les expressions décret, ordre et fourni sont synonymes, désignant la même idée.

Le TOC art.70 donne au paragraphe 3 du décret n° autre définition. Des dispositions juridiques en question dit : Nous entendons par des ordres de conduite qui visent à fournir une évolution progressive de la Cour, sans décider de ne pas préjuger d'une quelconque question de discussions entre les parties.

D'où il suit qu'il y a deux caractéristiques des décrets, ordonnances ou fournis : a) ils sont destinés à donner à la voiture une évolution progressive, et b) ils décident de ne pas préjuger de la question en discussion entre les parties. C'est cette dernière caractéristique qui les distingue des autres jugements.

Les deux définitions expriment clairement quel est le but du décret : déterminer ou fixer la justification du processus, c'est-à-dire faire le cours actuel progressif.

Exemples : la décision du juge qui fournit l'application, en donnant son transfert à la partie défenderesse. La résolution prévoit que le mémoire au tribunal de retarder le mouvement leur donne le demandeur, quand il a cité les parties à une citation à comparaître de la défense et de test, etc.

Voiture : C'est ce qu'on appelle l'auto la résolution réside dans un incident, sans établir de droits permanents pour les parties, et en circulation sur un processus qui sera utilisé comme base pour la délivrance d'une décision définitive ou interlocutoire. Cette définition est de faire une étude connexe des paragraphes 3 et 4 de l'article 158 du CPC.

Les voitures sont des jugements d'incidents qui résolvent ce problème. C'est la caractéristique distinctive des décrets, ordonnances ou fournis. Les décrets ne résolvent jamais les incidents.

Les incidents sont les questions accessoires qui nécessitent la conclusion du tribunal de première instance.

La deuxième partie de la définition dit que les voitures ne créent pas de droits permanents pour les parties, ou des dispositions pour être résolus sur une base d'émettre une décision finale ou interlocutoire. Cette deuxième caractéristique est ce qui distingue les voitures des ordonnances interlocutoires.

Par exemple, la décision ordonnance de la Cour sur le privilège de la pauvreté.

Ordonnances interlocutoires : sont définies au paragraphe 3 de l'article 158 du CPC qui dit que échoue à un incident du procès, l'établissement des droits permanents pour les parties ou résolus sur un processus qui sera utilisé comme base pour la délivrance d'une décision finale ou interlocutoire.

Comme les voitures, les jugements interlocutoires sont des jugements qui ne résolvent pas les incidents ; caractéristique qui les distingue des décrets, ordonnances ou fournis.

Mais pas tous les incidents sont les résolutions qui ne sont pas des ordonnances interlocutoires. Devrait assister également l'un des cas suivants : a) doit établir des droits permanents pour les parties, ou b) devrait se prononcer sur une procédure qui devrait être la base pour rendre une décision finale ou interlocutoire. Ce sont ces exigences qui distinguent les ordonnances interlocutoires des voitures.

Les échantillons envoyés. Interlocutoire d'établir des droits permanents pour les parties, une décision interlocutoire à accepter le retrait de la demande ou déclarés abandonnés ou une procédure qui accepte une exception dilatoire, etc.

Exemples d'ordonnances interlocutoires qui répondent à une procédure qui devrait être la base pour rendre une décision finale ou interlocutoire tard : la décision de faire l'affaire en jugement, la décision d'envoyer des ordres et mandat de saisie de l'exécution contre le débiteur, la résolution qui ne l'authenticité d'un document accompagné partie de l'épreuve dans un incident séparé, etc.

Classification des ordonnances interlocutoires :

  • a. - Jugement interlocutoire de grade ou de classe : sont ceux qui règlent un incident en établissant des droits permanents pour les parties. Par exemple, la résolution qui accueille l'abandon, une résolution qui accueille l'exception dilatoire, qui accepte ou rejette ou reçoit un défi à un document.
  • b. - Jugement interlocutoire ou deuxième année de classe : Ceux qui répondent à une procédure qui fournit une base pour rendre une décision définitive ou interlocutoire ultérieure. Par exemple, la résolution pour obtenir l'affaire au procès ; l'exécution de la décision de la Cour et mandat de saisie délivré exécutoire.

Une autre classification qui a à voir avec le bien-fondé de l'appel ; la loi les classe en deux groupes : a) les ordonnances de référé qui ont mis fin à l'instruction ou rendent impossible la poursuite, et b) les ordonnances interlocutoires qui ne produisent pas ces effets. En vertu de l'article 766 du CPC, l'appel est approprié seulement contre les jugements définitifs et interlocutoires qui mettent un terme à l'instruction ou rendent impossible la poursuite.

Exemples de décisions interlocutoires qui ont mis fin à un procès ou permettent son maintien, tandis que celles qui acceptent le retrait de la demande, qui état d'abandon de la procédure, acceptent l'incompétence de la cour, etc.

Les jugements définitifs : Ils sont définis au paragraphe 2 de l'art. 158 du CPC, qui se lit : C'est la décision finale de clôture de la procédure, de résoudre la question ou la question qui a fait l'objet du procès.

Selon cette définition, pour qu'un contrôle judiciaire les caractéristiques d'une décision finale, doit satisfaire aux exigences suivantes : a. - doit arrêter l'instance ; b) devrait résoudre le problème ou la question qui a fait l'objet du procès.

L'instance : est chacune des catégories établies par les tribunaux de droit pour que les tribunaux entendent et tranchent les affaires en vertu de sa décision, du pouvoir souverain de se prononcer sur des questions de fait et de droit dans cet espace.

Dans notre droit, la règle générale est que les problèmes sont connus en deux instances, l'exception étant qu'ils sont dans une seule instance. Il y aura donc de nombreuses décisions finales et les cas où il faut passer par une entreprise en particulier judiciaire. C'est pourquoi les décisions finales en ce qui concerne les cas sont classées en une seule instance, de première instance et en deuxième instance.

Les jugements en appel, dont un grand nombre rejettent le recours, comme ceux qui l'acceptent, ne sont pas, à proprement parler, des jugements définitifs, même si une partie de leurs caractéristiques formelles, l'appel, par exemple, n'est pas.

Pas assez pour une ordonnance d'un tribunal de mettre fin à l'instance à la dernière phrase, il faut également résoudre le problème ou la question qui a fait l'objet d'un litige. Pourquoi les états qui acceptent le retrait de la plainte, déclarant abandonné la procédure ou déclarant abandonné l'exigence d'appel contre la décision finale de première instance, ne sont pas des jugements définitifs, mais interlocutoires, parce qu'ils n'ont pas le deuxième élément ou fonction du final, qui est la décision de la question ou un problème qui a été l'objet de litiges. Il est donc la résolution ne résout pas le fond du procès, mais les aspects formels de celui-ci.

Jugement du terme : parfois le CPC utilise le terme « phrase terme », par exemple quand il nous dit que la jonction peut être ordonnée à tout stade de la procédure avant le terme phrase (art.98).

Mais le législateur n'a pas défini la peine terme. La doctrine, cependant, a estimé que la décision du terme est celle qui met fin à la dernière instance de procès. Si le procès ne passe que par un tribunal unique, la phrase est celle qui tombe dans ce cas unique. Mais si la cause est vue en première et deuxième instance, la peine terme qui tombe en appel.

Condamnations définitives : Le CPC se réfère aux arrêts définitifs ou exécutoires à l'article 174 qui dit : s'entend d'une résolution signée ou exécutée depuis qu'elle a été signifiée aux parties si aucun recours contre cette décision, et si ce n'est pas le cas, depuis la notification du décret envoyé pour se conformer une fois qu'elles ont terminé les recours nets, ou de l'expiration de toutes les périodes que la loi permet le dépôt de ces recours, sans aucune application par les parties. Dans ce dernier cas, où des jugements définitifs, le secrétaire certifie le fait de la cour après la décision, qui est considérée comme définitive à partir de maintenant, sans plus tarder.

Selon cet article, vous pouvez définir les jugements définitifs ou exécutoires que celles qui peuvent être satisfaites, soit parce que aucun recours contre eux, soit parce que les recours indiqués et ayant été interrompus, soit parce que les recours proviennent, mais ils ont franchi toutes les temps que le législateur a conféré à son dépôt, sans aucune application par les parties.

Des déclarations que l'application de la cause : ceux qui peuvent être atteints, malgré les appels en instance. Par exemple, exécutoire parce que le tribunal de première instance lorsqu'elle a été portée en appel et l'appel, conformément à la loi, est accordée aux seules fins d'examen. De même exécutoire parce que le tribunal de deuxième instance lorsqu'il est dirigé contre un appel parce que ce dernier, conformément à l'art. 774, en règle générale, ne suspend pas l'exécution de la peine.

Classification doctrinale de la décision finale : Ils sont classés phrase, déclarative et constitutive.

  • La sentence de condamnation : sont celles qui imposent un avantage pour le défendeur envers le demandeur et permettent ensuite d'obtenir le respect de cette disposition par action de l'exécutif, qui est, par des méthodes compulsives. Ce sont les phrases les plus courantes.
  • Les états ou purement simplement énoncé déclaratif : sont ceux qui sont limités à se prononcer sur un rapport juridique qui apparaît incertain. Ici, le demandeur est satisfait de la peine de dissiper ou de clarifier les doutes qui existent sur un rapport de droit sensiblement sérieux. Jugements déclaratoires seraient également ceux qui rejettent la revendication, ou en favorisant le défendeur.
  • Les phrases constitutives : sont ceux dont la déclaration produit l'existence de nouveaux états juridiques. Il est également question des déclarations constituant des déclarations de l'état et constitutive de droit. Exemple de la première : les jugements de nullité de mariage, le divorce, l'interdiction ; et exemple de celui-ci, la peine de dommages-intérêts contre les blessures illicites.

Exigences des décisions judiciaires

Les conditions de forme des jugements varient selon les espèces. Il y a cependant quelques dispositions de portée générale pour tous les arrêts. Ils ont fait référence aux articles 61 et 169 du CPC.

En vertu de ces lois, toute résolution, quelle qu'elle soit, doit :

  • exprimer par des mots la date et lieu de délivrance.
  • conduire à pied de la signature du ou des juges qui a publié ou participé à leur accord, mais si l'un d'eux a eu lieu après l'accord a été incapable de signer, exprime simplement le fait que la même faute.
  • également conduire à pied de la signature du secrétaire, ou le ministre de la foi qui les autorise.

Exigences de la première résolution :

En dehors des exigences générales énumérées ci-dessus, doivent contenir une disposition spécifique, qui consiste à attribuer à un numéro de série à être inclus dans le rôle du tribunal à l'achèvement, dans le but d'effectuer la notification par l'État à venir parfois indiquer le montant.

Exigences des décrets :

Outre les exigences générales, doit indiquer l'état du processus de commande, c'est-à-dire le processus par lequel marche progressive est donnée aux voitures. Donc, pour répondre à la demande dans une action ordinaire est accordée à la partie défenderesse.

Exigences pour les voitures et les ordonnances de référé :

Ils doivent également satisfaire aux exigences générales et aussi avec celles établies par les articles 144 et 171 du CPC. La première résolution concerne la condamnation aux dépens.

Conformément à l'article 171, dans les ordonnances interlocutoires et le fichier doit être exprimée en fonction de la nature de l'affaire, la décision sur la question en cause, les circonstances mentionnées dans les Nos.4 et 5 de l'article 170, c'est-à-dire, les conclusions de fait ou de droit qui sous-tendent la décision et la déclaration de la loi et, à défaut des principes de l'équité, en vertu de laquelle le verdict prononcé.

Si ce type de résolution ne contient pas de ces considérations et a omis de lois de l'État et en l'absence de principes équitables, ce n'est pas un motif d'appel ; c'est une question de fait qui est livrée à la discrétion du tribunal de première instance.

Exigences de la décision finale :

Il faut distinguer entre les jugements définitifs seulement, la première ou deuxième instance.

Exigences de la décision finale du ou seulement en première instance : Elles sont divisées en une partie descriptive, réfléchie et décisive.

L'article 170 qui énonce les conditions qui doivent être remplies, ce qui devrait être complété par l'ordre convenu émis par le CS, de Septembre 30, 1920.

De la narration : Ce qui est en son début ou le début et couvre les points suivants :

  • Désignation des parties, leur adresse, profession ou métier.
  • Le bref exposé de la demande ou action intentée par le demandeur et de ses fondements.
  • Idem : déclaration des exceptions ou défenses alléguées par le défendeur.
  • Si elle a reçu le résultat du test (banc).
  • Si les parties ont été ou n'ont pas été convoquées pour entendre la phrase (banc).

Or, cette étape est nécessaire car l'ordre convenu a été publié en 1920 et tout litige en cours existe dans la citation à comparaître pour entendre la décision finale.

Le préambule devrait contenir :

Est réglementée au n° 4 et 5 de l'art. 170, contient la dernière phrase :

  • Les conclusions de fait ou de droit qui sous-tendent la décision, et
  • L'énoncé des lois, et en l'absence des principes d'équité, de vertu qui a prononcé le verdict.

Le préambule des arrêts est, essentiellement, destiné à éviter l'arbitraire judiciaire. Elles constituent le fondement de tout ou partie décisive.

Le dispositif est celui qui contient la décision de la question controversée, qui devrait inclure : toutes les réclamations et les défenses ont été affirmées lors du procès, mais peut être omise dans la résolution de celles qui sont incompatibles avec ce qui est accepté.

La signature du ou des juges qui a prononcé la sentence et la signature du greffier du tribunal autorisant une telle décision.

Les décisions finales de deuxième instance : Dans ce cas, peuvent être subdivisées :

  • Jugements tels que modifiés : C'est ajuster ou modifier la décision en première instance.
  • Révocation des phrases : celle qui abroge ou révoque la décision de première instance.
  • Phrases de confirmation : celle qui confirme la décision en première instance.

Exigences de cas de confirmation :

  • Il n'est pas nécessaire de répondre à toute exigence particulière.
  • devrait, cependant, corriger les vices commis par le tribunal de première instance.
  • Le tribunal de deuxième instance ne peut manquer les réclamations et les défenses qui n'ont pas été résolues par la décision initiale. Dans un tel cas, doit automatiquement l'annulation de la décision ou l'ordonnance du tribunal inférieur pour compléter la phrase, et
  • La règle ci-dessus souffre des exceptions : 1. - Lors de réclamations non résolues et les défenses étaient incompatibles avec ce qui est accepté ; et 2. - lorsque le défaut de manque de résolution de l'affaire en question a été commis dans la décision finale rendue dans un procès sommaire.

Exigences de modification ou de révocation des peines :

Cela est nécessaire pour faire une distinction fondamentale, le libellé des dispositions des alinéas 1 et fin de l'art. 170, et qui est, premièrement, de déterminer si la décision du tribunal répond ou non à ses propres exigences de forme imposées à ces phrases pour le même article. En effet, si la décision du tribunal répond à ces exigences, d'autre part, que la modification ou la révocation est suffisante pour reproduire le récit de la première, puis, qui expose les considérants de fait et de droit qui montrent la nécessité de modifier ou de révoquer le premier, et finir par faire la déclaration sur les réclamations et les défenses qui composent la question controversée.

Si la décision du tribunal ne satisfait pas à toutes les exigences qui sont propres à la deuxième phrase du règlement modifié ou abrogé dans la partie, elle doit répondre à toutes les exigences énumérées au paragraphe 1 de l'art. 170, c'est-à-dire, se compose de la partie, attentionné et décisive.

La répression que le manque de points :

La décision ne peut être invalidée par des considérants interposés contre un appel dans la forme, basé sur la causalité n° 5 de l'article 768 en liaison avec les nos 4 et 5 de l'article 170 du CPC.

Il convient de considérations actuelles qui font le mal de l'appel dans la forme.

Exceptions à la décision de l'affaire en question :

Le principe selon lequel la peine doit résoudre chaque une des réclamations et des défenses présentées, et rien que ces réclamations et défenses n'est pas absolu. Il est une règle qui a les exceptions suivantes :

  • La décision finale ne peut omettre la résolution de ces actions ou exceptions qui sont incompatibles avec ce qui est accepté. (Fin du point n° 6 170). Exemple : void adverse exceptions et de paiement ; si le tribunal accepte le premier, ce n'est pas répondre à la seconde, les deux exceptions étant incompatibles. Il convient également de garder à l'esprit à cet égard comme le prévoit l'article 208 du CPC, selon lequel la cour d'appel peut décider des questions diffusées en première instance et qui ne sont pas prononcées dans la sentence interjetée appel de la décision d'être incompatible avec elle, sans nécessiter de nouvelle décision du tribunal inférieur. Revenant à l'exemple précédent, fait appel de la décision d'accepter le recours en annulation et reste silencieux sur le paiement, comme incompatible avec cela, la cour d'appel peut rejeter le pourvoi en cassation et statuer sur le paiement, malgré l'appel de la décision ne contient aucune résolution à ce sujet.
  • L'autre exception est prévue à la fin de l'article 160 du CPC, qui énonce le principe que la peine doit être rejetée la question controversée, sauf dans les cas où les lois ou autorisé à se rendre au tribunal automatiquement. À titre d'exemple, nous citons le cas en vertu de l'article 1683 du CC, en vertu de laquelle la nullité absolue peut et doit être déclarée par le juge, même sans pétition, apparaît comme une évidence dans l'acte ou le contrat.

Autres exigences de la décision finale :

En outre, les décisions finales doivent être conformes aux autres exigences visées aux art. avril 144 de la CPC et le banc CS.

Conformément à l'art. 144, les phrases doivent contenir un énoncé des coûts de l'affaire.

Sanction pour défaut de se conformer aux exigences formelles de décisions judiciaires :

Il est donc nécessaire de distinguer la nature de chaque décision de justice.

  • Si le défaut se rapporte à une ordonnance ou un décret : les parties à remédier à ce défaut doivent le faire par le dépôt de l'appel. Est portée devant le même tribunal qui a statué pour résoudre ce la même chose.
  • Si le défaut se rapporte à une décision interlocutoire : La façon de remédier au défaut par l'appel. Est portée devant le même tribunal de statuer sur supérieur.
  • Si le défaut est rendu une décision finale : les parties peuvent demander un appel dans la forme.

Effets des décisions

Ce phénomène se produit uniquement dans le cas de jugements définitifs et interlocutoires et sont comme suit : a) Le détachement de la cour ; b) Action Jeopardy ; c) La défense de la chose jugée.

Le détachement de la Cour :

Concept : Le début du détachement de la cour est inscrit dans la première partie du paragraphe 1 de l'article 182 du CPC, qui se lit : rapport d'une décision définitive ou interlocutoire ou l'autre des parties est le tribunal qui a rendu, altérer ou modifier en aucune façon. Le détachement de la cour est donc l'effet produit par les jugements définitifs et interlocutoires, en vertu de laquelle, une fois qu'ils ont été notifiés à l'une des parties, ne peut être modifié ou altéré de quelque manière que par le tribunal qui a délivré.

Éléments :

  • Il doit y avoir une décision finale ou interlocutoire.
  • Il doit y avoir un avis juridique de cette décision, au moins l'une des parties au procès.

Les exceptions au principe de détachement auprès des tribunaux.

  1. La requête en clarification, ajout ou une correction. Nous avons dit qu'en vertu du principe du détachement, une fois prononcée et notifiée aux deux parties une ordonnance du tribunal, qu'il soit définitif ou interlocutoire, le tribunal a statué que le droit perd de modifier ou de laisser sans effet. La ressource est définie comme le moyen de passage de la loi sur les partis afin de clarifier les points obscurs ou douteux, sauf les omissions et les erreurs corrigées copie, de référence ou des calculs numériques apparaissent en surbrillance dans une finale ou interlocutoire (art. CPC 182). Le but de cette ressource est donc très limité, est réduit à rien d'autre que de clarifier les points obscurs ou douteux, sauf omissions, ou pour corriger des erreurs matérielles, de référence ou des calculs numériques. Tout autre défaut de forme ou de fond contenues dans la sentence peuvent être corrigées par appel ordinaire ou extraordinaire d'autres. Cette ressource n'a pas de date limite et peut être tenté, malgré le dépôt d'autres appels contre la décision respective (art. 185). La loi autorise également le tribunal a rendu une décision définitive ou une ordonnance interlocutoire à rectifier les erreurs de copie, de référence ou des calculs numériques, il est une autorité d'office d'être exercé dans les cinq jours de la première notification l'instruction défectueuse (art. 184). L'exercice de ce pouvoir à rectifier les erreurs de copie, de référence ou des calculs numériques contenus dans une sentence est sans préjudice des droits des parties pour obtenir des recours contre celle-ci (art.185). A interjeté appel, le tribunal peut décider de donner l'usinage à plat ou accessoires et, en attendant, suspendre ou non la procédure du procès ou à l'exécution de la peine, selon la nature de la créance. (Art. 183 CPC).
  2. Le cas de la décision interlocutoire déclarant un désert d'appel, qui peut être remis à zéro devant le même tribunal qui a délivré à condition qu'elle soit fondée sur une erreur de fait (art. 201 paragraphe 2 du CPP).
  3. Le cas de la peine prescrite et indiquant un appel interlocutoire, qui peut également être remis à zéro devant la même juridiction qui l'a délivré, à condition qu'elle soit fondée sur une erreur de fait (art. 212 CPP).
  4. Le cas d'une décision interlocutoire qui reçoit le résultat du test, qui peut également être remis à zéro et devant le même tribunal qui a délivré (art. 319 CPP).
  5. La nullité de toutes les procédures pour défaut de localisation, d'un incident qui peut également être porté devant le même tribunal qui a rendu la décision finale ou interlocutoire, même si elle a produit depuis le détachement de la Cour (articles 80, 182 et 234 alinéa 2 inc. fin de la CPC).

Les ordres et décrets contre le principe de détachement de la cour : (article 181 du CPP)

Les décrets et ordonnances peuvent être modifiés ou laissés vides par la cour elle-même qui dicte, pour lesquelles la loi donne aux parties la demande de révision ou en réexamen.

La demande de révision est définie comme la traversée de la loi signifie aux parties pour la modification ou l'annulation d'un arrêté ou un décret par le tribunal qui a rendu, si elles sont appliquées ou non de nouvelles informations, afin de justifier.

De cette définition, il est clair que cette ressource peut prendre deux formes ou classes, avec de nouvelles informations et sans nouvelles informations. L'importance de cette classification ou distinction est que le remplacement de nouvelles informations n'est pas le temps, tandis que le remplacement sans nouvelles informations doivent être déduites fatale dans les cinq jours à compter de la notification de la partie qui s'engage.

A déposé une demande de réexamen, les effets de l'auto ou d'un décret sont effectivement suspendus jusqu'à ce que la cour d'appel échoue. L'accueil de remplacement de la partie lésée peut interjeter appel de la décision de l'appel. Au lieu de cela, place l'ordonnance rejetant la demande de réintégration est définitive si elle peut faire l'objet d'interjeter appel de la décision demandée, si les mesures sont appropriées. Comme le terme d'appel est suspendu pour la demande de réexamen et à la décision de rejeter le dernier appel est définitive, pour éviter que se ferme à l'appel de l'ordonnance ou un décret contre lequel la réclamation est la procédure appropriée pour réexamen et nouvelle appel conjoint, celui-ci dans le caractère subsidiaire de l'événement qui est rejeté.

L'ACTION DE CHOSE JUGÉE

Concept : est celle qui est destinée à exécuter une décision judiciaire définitive. Cette définition résulte des articles 175 et 181 du CPC, en vertu desquelles la décision finale ou interlocutoire ou de produire des compromis final, mais également des commandes fermes et les décrets peuvent être mis en œuvre et maintenus pendant la période d'achat ce caractère.

Les exigences procédurales de l'action de la chose jugée

Des mesures appropriées de la chose jugée, il faut :

  • l'existence d'une décision judiciaire définitive ou d'une exécution finale ou de cause conformément à la loi.
  • parte exprimée sur le respect de la décision du tribunal, et
  • la disposition qui impose la peine est maintenant due.

Titulaire d'une décision définitive :

L'article 176 du CPC dit : CJ correspond à l'action de ceux à qui il a été déclaré un droit en justice, le respect de la résolution ou l'exécution de la décision de la manière prescrite par le titre XIX de ce livre.

Le libellé de cette action statut CJ correspond à ce justiciable en faveur de laquelle a été déclarée un droit dans la poursuite.

Titre XIX du livre I de la CPC en ce qui concerne la mise en œuvre des résolutions et contient deux paragraphes : le premier concernant la mise en œuvre des décisions prises par les tribunaux chiliens et la seconde est l'application des jugements rendus par des tribunaux étrangers.

La mise en œuvre des décisions prises par les tribunaux chiliens :

Conformément au paragraphe 1 de l'art. 231 du CPC, mise en œuvre des résolutions par les tribunaux qui ont statué en première instance ou seulement, et il est d'une fois que les décisions sont définitives ou font exécutoire conformément à la loi.

Maintenant, si l'exécution d'une décision définitive nécessite l'ouverture d'un nouveau procès, il peut être porté devant le tribunal qui a rendu la première instance ou seulement, ou le tribunal compétent en conformité avec les principes généraux établis par le droit, au choix de la partie qui a obtenu dans l'essai, selon bien sûr si vous suivez les cours ces derniers les règles sur la répartition des causes.

Ce qui précède, sans préjudice du droit des tribunaux qui entendent les appels, l'appel et de révision pour mettre en œuvre les décisions émises par la justification de ces ressources, suivant le principe et la portée de la concurrence. Vous pouvez même décret aussi payer les coûts liés au personnel qui ont contribué à ces ressources (art. 231, dernier alinéa).

Procédures :

Il est important de savoir quelles sont les règles de procédure du droit qui sont applicables pour l'exécution ou l'exécution de jugements prononcés par les tribunaux chiliens.

  • Procédure incidente. Est-ce celui qui se déroule devant le même juge qui a rendu la décision qu'il est de se réunir dans l'année suivant la date de la décision a été prise à payer (article 233).
  • La procédure d'exécution 2. En général, quand il s'agit de déclarations qui ont trait à l'obligation de donner, ne pas faire. Dans cette procédure, quand un an s'est écoulé depuis l'exécution a été due ou lorsque le respect demandant à la décision d'un tribunal différent de celui que vous avez dit.
  • Procédures spéciales 3. Parmi eux, nous citerons à titre d'exemple, qui est encore dans les essais des Finances, dans lequel la décision qui a condamné le Trésor à toute disposition, entrée en vigueur délivré par le Président de la République le décret correspondant (art. 752) et la procédure suivie dans certains essais émanant du bail, en particulier dans l'expulsion et la restitution de la chose louée, selon l'art. 595 du CPC, si ils ont ratifié l'expulsion intervient à la date fixée pour le retour, sans que le locataire quitte le bien loué, il sera publié à ses frais, c'est ce qu'on appelle la libération.
  • Procédures décrites par le juge de première instance. Article 238 du CPC, c'est-à-dire que quand il s'agit de l'exécution des décisions qui ne peuvent pas être soumis à certaines procédures déjà mentionnés, correspondent au juge du procès de dicter les mesures à le respect, l'effet peut infliger des amendes ou d'emprisonnement, raisonnablement être établie par le tribunal, malgré la pression de répéter.

Retour pour voir plus de détails relatifs à la procédure

C'est le cas lorsque l'exécution de la décision demandant au tribunal qui a rendu la sentence et dans l'année suivant l'exécution a été requise, comme il est dit dans l'article 233 paragraphe 1 de la CPC.

Après cette procédure, il faut que les trois conditions suivantes : a) que le respect de la demande de décision devant la même juridiction qui a rendu ; 2) sera demandée dans l'année dont l'exécution a été requise ; et 3) la notification à la partie et le représentant au bulletin de vote.

Conformité avec l'ordre dominant de cette manière, le tribunal doit examiner le contexte et fournir à l'application à la demande avec une citation à comparaître. Cette résolution doit être notifiée par bulletin de vote, mais l'exécution est demandée contre une notification de tiers, elle doit être faite personnellement. Fatal, dans un délai de trois jours, la personne contre laquelle l'exécution est demandée la décision, peut soulever des moyens de défense et de se défendre. Art. 234 est concernée à la liste exhaustive, l'impérative.

L'exécution des jugements rendus par des tribunaux étrangers

Elles ne peuvent être satisfaites au Chili, quand la Cour suprême a accordé l'autorisation. Le CS n'est pas libre d'accorder ou de refuser l'arrêté d'autorisation ou d'exécution, de sorte qu'ils peuvent jouer dans le pays, mais doivent être conformes aux règles en la matière que donne le CPC.

Ces règles sont contenues dans les articles 242 à 245 du CPC et peuvent se résumer en trois règles de base :

  • Le CS devrait assister d'abord aux dispositions des traités existants.
  • Si il n'y a pas de traités, le CS doit tenir compte de la réciprocité.
  • Si vous ne pouvez pas appliquer les règles ci-dessus, régie par l'article 245 du CPC, selon lequel les décisions des tribunaux étrangers au Chili ont la même force que si elles ont été données par les tribunaux chiliens, à condition qu'elles répondent aux circonstances suivantes :
    • Contiennent rien de contraire aux lois de la république.
    • Que ne s'opposent pas à la juridiction nationale.
    • Ne pas avoir été rendue par défaut et
    • Qu'elles sont exécutoires conformément aux lois du pays dans lequel elles ont été prononcées.

En ce qui concerne la procédure à charge de l'ordre d'exécution, vous avez pour voir si cela est une question litigieuse ou contentieuse.

Dans la doctrine de la chose jugée

Concept : est l'effet produit par une entreprise finale ou interlocutoire, en vertu de laquelle il ne peut pas être à nouveau discuté entre les parties la question qui a fait l'objet d'un échec. Est réglementée dans l'art. 177 du CPC.

Éléments :

  • Il doit être une décision finale ou interlocutoire.
  • La décision finale doit être définitive ou interlocutoire ou définitive. Ceux qui ne produisent pas de cause applicable CJ.
  • Les parties concernées afin de discuter dans un procès subséquent, tel que discuté dans un précédent.
  • Qu'il y ait identité de parties.

La justification de l'exception de CJ est dans la nécessité pour les litiges et aussi avoir une fin, qu'ils ne conduisent pas à des décisions contradictoires.

Caractéristiques :

A quatre caractéristiques : a) être levée ; b) est relative ; c) est irrévocable et d) limitations.

Renonciation de la double incrimination :

Cela signifie que si la partie ne s'oppose pas à cette objection lors du procès, il est entendu qu'il lui donne ; le tribunal ne peut déclarer officiellement la CJ.

Relativité de la chose jugée :

Cette caractéristique découle de la définition. Puisque vous ne pouvez pas re-examiner le litige entre les parties qui a fait l'objet d'un litige. Alors, c'est que la présomption de vérité qu'elle implique ne s'applique qu'aux parties en cause dans une procédure judiciaire.

Il y a des exceptions, en particulier dans le CC, qui indiquent que le juge en chef a un effet absolu, c'est-à-dire, les cas dans lesquels les décisions judiciaires produisent leurs effets non seulement pour les personnes qui ont participé à l'essai, mais dans l'ensemble du monde. Les exemples incluent les articles 315, 1246 et 2513 CC.

Conformément à l'article 315, la décision du tribunal qui a déclaré vrai ou faux de la légitimité de l'enfant, non seulement vrai pour les personnes qui ont participé à l'essai, mais pour tous, par rapport aux effets que porte la légitimité.

L'article 1246 prévoit que, dans ce cas d'une succession d'homologation créancier ou a été judiciairement déclaré héritier en tant que tels, être considérés comme sur les autres créanciers, sans préjudice.

L'article 2513 stipule que la déclaration qui déclare une injonction servira un acte public pour les biens immobiliers ou de droits réels incorporés en eux, mais pas la peine de tierce partie compétente, sans l'enregistrement.

Finalité de la chose jugée.

Dans le sens que les décisions judiciaires ou exécutées ne peuvent être modifiées en aucune façon. Ni les tribunaux ni le législateur n'ont le pouvoir de modifier la situation juridique dans laquelle la décision a placé les parties impliquées dans le procès. Il a échoué dans une cour de justice est un droit réel pour les parties, ainsi que le contrat entre les parties.

Les arrêts de la Cour, sauf non-contentieux, pour seulement une décision négative dans ce cas, le demandeur peut essayer de nouveau ; dans le cas d'une déclaration positive ou positive, celle qui accepte la demande, cette déclaration ne peut pas être changée.

Applicabilité de la chose jugée.

Cela signifie qu'elle, malgré le passage du temps, peut être invoquée à tout moment. Fondamentalement différent à cet égard, l'action du juge en chef, qui, comme d'autres actions, est éteint lorsqu'il n'est pas exercé dans un certain délai.

Jugements qui ne produisent pas la chose jugée.

Le législateur a établi certains cas où des décisions judiciaires ne produisent pas l'exception de la CJ. Un des résultats visés à l'art. 478 et 615 du CPC.

La première de ces dispositions prévoit que la peine prononcée dans l'exécutoire CJ se produit dans une procédure ordinaire, à la fois pour l'artiste et le pouvoir exécutif, sauf dans le cas qui a bénéficié d'une réserve de droits à l'artiste interprète ou exécuté.

La seconde des dispositions visées à l', stipule que les jugements rendus conformément aux paragraphes 1 et 2 du titre VI du livre III de la CPC, en ce qui concerne les essais spéciaux de location, ne sont pas empêcher les parties d'exercer les actions ordinaires qui ont le droit, sur les mêmes questions résolues par eux.

Exigences en vertu de la loi applicable à la doctrine de la chose jugée.

Conformément aux dispositions de l'art. 177 du CPP, pour procéder de la doctrine de la chose jugée, doit assister à copulativement entre la demande nouvelle et déjà résolue.

  1. Identité juridique de la personne.
  2. L'identité de la chose demandée, et
  3. L'identité de cause d'action.

Si vous allez entre la demande nouvelle et résolue avant que la triple identité visée à l'article 177 du CPC, ne peut être invoquée dans le deuxième procès à l'exception de la CJ.

  1. Dans l'identité juridique de la personne. Cela signifie que le demandeur et le défendeur dans les deux essais devraient avoir le même statut juridique et est indifférent de savoir si ou non la même personne. Ce qui est pertinent est que les parties incluses dans le nouveau procès dans la même qualité que dans l'essai précédent, indépendamment du fait que le changement de rôle du procès. Ainsi, une personne peut agir personnellement en justice et être représentés dans un nouveau procès par mandataire judiciaire. Dans ce cas, malgré l'absence de physique, de l'identité juridique ou légale.
  2. Ordonne l'identité de la chose. La seconde condition requise par la loi pour lui permettre de s'opposer à la doctrine de la chose jugée, c'est que la demande nouvelle et a déjà décidé de l'identité de la chose demandée. La chose est demandée, ce sont les prestations juridiques revendiquées dans la première instance et qui doit être droit. Il est, par conséquent, demandé l'identité de la chose, lorsque la prestation juridique est revendiquée dans le nouveau procès est le même que celui réclamé dans l'essai précédent. Afin de déterminer si elle satisfait l'identité de la chose demandée, il ne faut pas être adressée à la matérialité de l'objet, mais le droit est revendiqué en cours de discussion. Lorsque la loi est la même discuté, il y a l'identité de la chose demandée, même si elle est sensiblement différente des choses. Au contraire, n'est pas convaincu de l'identité de la chose demandée, lorsque la loi examinée est différente, même si la matière est la même chose. Par exemple, si vous demander la livraison d'une montre, parce que je suis l'héritier de John, et je perds le procès, plus tard, je ne peux pas demander la livraison d'un cheval, encore une fois faire semblant d'être l'héritier de John, et qu'elle s'opposera à l'exception de la CJ. Dans les deux demandes de première instance, les mêmes avantages juridiques : la reconnaissance d'un héritier.
  3. L'identité de la cause d'action. L'art. 177 la définit comme le fondement du droit immédiatement déduit de l'essai. Il n'y a pas d'erreur, l'objet de controverse avec sa cause. Dans deux essais peuvent être demandés le même objet, même si pour des raisons différentes. Ainsi, dans le premier procès a été appelant à une ferme, parce qu'il possède en raison de l'achat. Refuse de la demande. Dans le second procès a été l'appel de la même ferme, mais elle est soutenue par l'acteur qui appartient pour avoir hérité. Ne peut s'opposer à la doctrine de la chose jugée, que bien que l'objet est identique dans les deux essais, c'est-à-dire, la reconnaissance de la qualité de propriétaire, la cause d'action est complètement différente, puisque dans le premier est le contrat de vente et dans le second, l'héritage. Il ne faut pas confondre avec la cause de la preuve de la mise à profit pour prouver le fait juridique qui sous-tend l'action intentée. Une action en justice fondée sur la même cause d'action d'un précédent qui a été reproché, il doit être rejeté, même s'il est soutenu par d'autres preuves. Si une personne perd un procès, ne peut pas la reprendre plus tard, sur la base des mêmes faits, même en essayant de prouver sa créance au moyen d'essais différents.

Différentes façons d'affirmer la doctrine de la chose jugée.

Cette exception ne peut être invoquée :

  • Exception dilatoire (mixte), conformément à l'art. 304 du CPC, c'est-à-dire comme un incident de décision préjudicielle spéciale, mais si c'est de vaste connaissance, répondre à la plainte sera envoyée et se réserve la décision pour décision finale.
  • Demurrer, pour répondre à la plainte, qui est, selon l'art. 309 N° 3 du CPC, et si elle obtient de cette façon, a une particularité : non seulement peut être invoquée comme la réponse à la demande, mais à tout stade de la procédure, doit oui, des observations écrites avant la convocation à la peine en première instance, ou de l'audition de l'affaire en deuxième instance.
  • À l'appui de l'appel, sous forme d'appel, appel et de révision de fond.

Parallèle entre l'action et les périls.

  1. L'action du juge en chef est née uniquement des condamnations, alors que l'exception de CJ peut soutenir à la fois une condamnation et un acquittement.
  2. L'action CJ correspond à un plaideur à qui il a été déclaré un droit dans le procès, alors que l'exception de CJ peut être invoquée par la partie qui a obtenu au procès et tous ceux qui, comme la loi le prend, la décision, à condition qu'il existe une triple identité, qui sont étudiés.
  3. L'action CJ est affirmée dans la demande de la direction, tandis que l'exception de la CJ a si peu d'occasions de se donner les moyens sont les différentes formes d'alléguer, et
  4. L'action de CJ prescrit conformément aux règles générales, mais plutôt l'exception du juge en chef, par sa nature même, est inaliénable.

Les effets des condamnations pénales dans un procès civil

Peut être une relation étroite entre un criminel et un procès civil, en particulier si le procès criminel n'y a pas eu de décision de justice sur l'action civile en dommages-intérêts née de l'enquête sur le crime.

Tout ce qui naît d'une infraction pénale et peut naître en outre, une action civile visant à poursuivre le simple retour de la chose ou la question qui a fait l'objet du crime ou la réparation du préjudice que l'acte fautif est survenu.

Si nous voulons obtenir le retour de la chose compte de la criminalité, l'action civile ne peut être intentée devant le tribunal saisi de l'affaire.

La poursuite de l'action civile en réparation des dommages peut être portée devant le tribunal saisi de l'affaire pénale ou devant les tribunaux civils.

Dans les deux cas, il n'y a pas de problèmes, mais la question se pose de savoir si la décision rendue par un juge de première instance « ou ne pas agir ou de la doctrine de la chose jugée pour le procès civil qui lui succède dans lequel ils demandent l'indemnisation des dommages et intérêts ? ». L'accord du législateur avec cette affaire diffère, selon que la condamnation pénale est un acquittement ou une condamnation.

Jugement de condamnation pénale :

Les arrêts dans un procès criminel, si la culpabilité du défendeur, le juge en chef se produisent sur un procès subséquent civil, comme indiqué par l'art. 178 du CPC.

Conformément à l'art. 180, stipule que chaque fois qu'une condamnation pénale définitive a lieu dans les procédures civiles, il n'est pas permis d'examiner des preuves ou des arguments incompatibles avec la décision dans cette affaire ou les faits qui constituaient le fondement nécessaire.

Par exemple : Si j'abuse de ma voiture avec une personne et, en tant qu'auteur, je suis reconnu coupable de blessures illégales, je ne peux pas être légalement discuter de la nature et le montant de l'indemnisation, mais je n'ai pas pu apporter la preuve ou des motifs incompatibles avec la décision de la phrase que j'ai commandé, et encore moins discuter des faits qui lui servent, à cette résolution, les bases nécessaires.

Jugement pénal et l'ordonnance d'acquittement ou de rejet final.

Si cela se produit, ni l'un ni l'autre ne produit, pour un procès ultérieur civil, sauf pour la CJ, mais lorsqu'ils sont fusionnés dans certaines circonstances qui couvre de façon exhaustive l'art. 179 du CPC.

La disposition législative expresse citée, les décisions des chefs d'accusation ou d'acquitter d'ordonner le rejet, le juge en chef se produit uniquement en matière civile, quand elle est fondée sur certaines des circonstances suivantes :

  • L'absence de crime ou un délit qui a été l'objet de la procédure. Il doit être compris dans ce nombre de cas dans lesquels l'acquittement ou provenant de l'existence de circonstances qui exonèrent de toute responsabilité pénale. Cette exception est fondée sur l'inexistence de l'infraction et le besoin particulier de faire certaines distinctions :
    • Si la sentence pénale décide qu'aucun crime ou un délit, ou de son ordonnance de rejet final est délivrée, CJ se produit, il est basé sur la non-existence de l'infraction et, par conséquent, ne pouvait pas être initié par une action civile en dommages-intérêts.
    • Si la décision conclut que ni crime ni délit, bien que crédité les faits, parce qu'ils ne sont pas punis par le droit pénal, ne produit pas CJ. Cela se justifie parce que même s'ils ne peuvent pas être punis par la loi pénale, ils ne peuvent pas être des délits pénaux ou civils.
    • Si la déclaration ne déclare pas de délit, malgré l'existence des faits, être accrédités et sanctionnés par le droit pénal, parce qu'il n'y avait aucune malice dans la partie défenderesse, cette déclaration produit CJ.
  • Suite. 179 dire qu'il n'y a pas de lien entre l'événement et le poursuivi l'accusé, sous réserve de la responsabilité civile pour les actes qui peuvent affecter des tiers, ou pour les dommages résultant d'accidents, conformément aux dispositions du titre XXXV, Livre IV de la CC, et
  • Ne pas exister à l'heure actuelle aucune preuve contre l'accusé dans cette affaire ne peut réclamer le CJ, mais à l'égard des personnes impliquées dans la procédure pénale que les parties principales ou intervenantes.

Effets des jugements en matière civile dans un procès criminel

Peines prononcées par le juge dans le civil n'ont aucun effet en matière pénale, c'est la règle, mais en tant que telle, a quelques exceptions :

  • L'exercice de l'action civile résultant d'un crime, l'action privée d'éteindre l'action pénale qui est née de la même infraction, être promu simplement parce que la première action civile.
  • Vous ne pouvez pas intenter une action civile en dommages-intérêts dans un procès criminel, quand il a été bloqué par le juge dans les affaires civiles. CJ est opposée, et
  • Le juge de la procédure pénale doit respecter les décisions des juges en matière civile, dans ce qu'on appelle les questions civiles sont traitées avec elle.

INCIDENTS

Conformément aux dispositions de l'article 82 du CPC, les incidents peuvent être définis comme les questions accessoires qui nécessitent la conclusion du tribunal de première instance, avec ou sans entendre l'autre partie.

Les incidents sont aussi appelés articles ; ils peuvent se produire dans les deux procès, en général et en spécial.

Classification des incidents

Les incidents peuvent être classés selon différents points de vue.

  • Ordinaires et extraordinaires Incident :
  • Articles ordinaires : sont ceux dont la transformation est établie dans le titre IX du livre Ier du CPC.
  • Les spéciaux : sont ceux qui ont leurs propres règles de procédure et ne se conforment aux dispositions applicables aux incidents ordinaires que lorsqu'ils ne sont pas modifiés par eux.
  • Précédents incidents et la livraison spéciale, et aucun incident préalable de livraison spéciale.
  • La prestation spéciale et préliminaires : sont ceux dont le consentement préalable, sans décision, ne peut continuer à étayer la cause principale, suspendre le cours de celle-ci et doit être manipulée dans la même chambre que celle-ci. Par exemple, l'incident de l'incompétence.
  • La spéciale-préjudicielle non : sont ceux dont la résolution préalable n'est pas nécessaire pour pouvoir poursuivre le traitement de la cause principale, ne maintiennent pas le cap de cette situation et doivent être justifiés dans un fichier séparé. Privilège de la pauvreté, par exemple.
  • Incidents à traiter et les incidents qui ne devraient pas être traitées.
  • Les incidents à traiter : l'article 89 dit que si un incident est favorisé, dans 3 jours pour répondre et le délai a expiré, ou la partie a manqué, le tribunal statue sur la question, s'ils se sentaient pas nécessaire de tester.
  • Les incidents ne devraient pas être traitées : sont celles que le tribunal peut régler à l'amiable, parce que leur échec peut être basé sur des faits énoncés dans le processus ou sont de notoriété publique, si le tribunal est entré dans sa résolution.
  • Les incidents et les incidents non liés :
  • Le rapport : sont ceux qui sont directement liés à l'objet du procès.
  • Incidents indépendants : sont ceux qui n'ont rien à voir avec l'objet du procès.

QUESTIONS ORDINAIRES

Possibilité d'être faites : Conformément aux dispositions des art. 84, 85 et 86 du CPC, il est clair que les incidents, comme règle générale, peuvent être promus à trois reprises :

  • Les incidents résultant d'un acte avant le procès ou en même temps que le début. Dans ce cas, l'incident doit être promu avant toute principale dans la gestion des litiges.
  • Incident s'est produit dans un incident qui se produit pendant le procès. Dans ce cas, l'incident doit être promu dès que l'événement vient à la connaissance de la partie concernée.
  • Incidents dont les causes existent simultanément. Présentation d'une situation telle que celle-ci, l'incident doit être promu à la fois.

Pénalité : à la peine en cas de violation des règles ci-dessus, c'est que le tribunal rejettera automatiquement l'incident soulevé. Ce qui précède est la règle, mais n'a pas de caractère absolu, car si l'incident se rapporte à un défaut qui casse le processus ou d'une circonstance essentielle pour le rituel ou le déroulement du procès, peut être promu à tout moment et doit être l'ordonnance du tribunal à la pratique les mesures nécessaires pour la procédure judiciaire suivre son cours.

Délégation de compétence au juge pour corriger automatiquement les défauts qui peuvent annuler la procédure. Le dernier paragraphe de l'art. 84 de la CPC renforce l'autonomie des juges pour corriger automatiquement les erreurs constatées dans la gestion des processus et de prendre toutes les mesures possibles pour empêcher l'annulation des actes de procédures. Les juges n'ont pas besoin que les parties représentent les vices ou demandent leur correction ; ils sont habilités à le faire pour se protéger dans l'intérêt public qui existe dans toute la fonction judiciaire.

Gestion des incidents

Dès qu'il favorise un incident, le tribunal doit garder à l'esprit les dispositions des articles 87 et 89 de la CPC et donc d'examiner si l'incident est lié, si elle a présenté en temps voulu, si oui ou non des déclarations spéciales préliminaires, et si elle a favorisé l'une des parties qui est obligée d'entrer.

Si toutes les conditions citées par les dispositions légales citées sont remplies, le tribunal doit fournir à l'application respective, permettant une période de 3 jours fatale à la partie adverse pour répondre. Ceci est sans préjudice, que la demande peut être fondée sur des faits énoncés dans le processus ou qui sont de notoriété publique, auquel cas le tribunal doit régler à l'amiable l'incidence dans des circonstances de résolution.

S'il s'agit d'un incident antérieur, la décision de la cour spéciale assurera le transport et la voiture.

Quelle que soit la décision rendue par écrit que la promotion de l'incident doit être notifiée aux parties par le quotidien d'État.

La réponse du compteur : Le compteur dispose d'un délai de trois jours pour répondre.

Attitudes que la Cour peut supposer le délai pour répondre : La date limite est fatale à la partie à répondre ; le tribunal peut prendre l'une des deux attitudes : a) reçoit l'incident à l'essai ou b) il manque.

S'il y a des faits pertinents et que le tribunal rendra une preuve de l'incident, sinon elle échouera immédiatement.

La résolution de l'enquête de l'incident doit être signalée par le quotidien d'État. (Art. 323 inc. 2°).

Fin de la preuve des incidents.

La période d'essai est de 8 jours mortels, mais lorsque la procédure de preuve doivent être menées en dehors du lieu où l'action est, le tribunal peut, motifs fois prolongé la durée par le nombre de jours qu'il juge nécessaires et ne peuvent en aucun cas dépasser la durée totale de 30 jours à compter de l'incident a été reçu au procès, la preuve que la prolongation de la durée est facultative pour le tribunal, peut faire qu'une seule fois et s'il existe des motifs raisonnables.

Notifié de la résolution qui reçoit l'incident pour tester, ouvre une période d'essai de 8 jours pour donner au sein de lui et aussi justifier la disqualification des témoins s'il y a lieu pour eux. Dans les deux premiers jours, doit accompagner chacune des parties une liste des témoins qu'ils entendent se prévaloir.

Il pourrait aussi y avoir un terme spécifique de stage, étant donné le silence du législateur, conformément aux dispositions de l'article 3 de la CPC. Puis auront à appliquer à ce terme particulier toutes les règles des conditions particulières de la cause.

Jugement et des ressources

Après l'expiration de la preuve, aucune autre mesure à noter et la juridiction immédiatement de sa propre initiative ou au plus tard dans les trois jours, en attendant l'incident ne devrait.

La résolution d'un incident ne peut être une ordonnance interlocutoire ou une décision. Ce sera une voiture, si pas de droits permanents pour les parties ou fixée sur un processus qui servira de base à prendre une décision définitive ou interlocutoire. Ou peut-être qu'il s'agit d'une décision interlocutoire à établir des droits permanents pour les parties ou fixée sur un processus qui devrait être la base d'une sentence interlocutoire ou définitive, ou peut-être ceux qui ont mis fin au jus ou rendre impossible la poursuite.

Le caractère procédural de la décision rendue dans l'affaire est importante aux fins des ressources. Donc, si une voiture est seule capable de l'appel, si un appel interlocutoire est mensonge et si ces interlocutoire stopper l'instruction ou rendre impossible la poursuite, sera probablement appel dans la forme.

Les incidents qui ne peuvent être traités sans affectation préalable. (Art. 88 CPP)

La partie qui a perdu deux incidents ou plus qui a promu lui-même ne peut pas promouvoir une autre, sans l'appropriation préalable du montant à cet effet par le tribunal, comprise entre 1 et 10 UTM.

Ce qui précède ne s'applique pas pour apprécier le privilège de la pauvreté dans le procès, mais si vous agissez avec malice évidente, peut le tribunal imposer d'office un avocat en personne ou par un avantage fiscal représentant amende.

Les incidents qui nécessitent l'appropriation antérieure nécessairement être traitées dans un fichier séparé.

NUMÉROS SPÉCIAUX

  • a. - Retrait de la demande : La procédure est l'acte juridique par lequel le demandeur résilie le procès à un stade quelconque de celui-ci, une fois que la demande a été dûment signifiée, c'est-à-dire, après que la relation a été formée procédure. Avant de notifier, le demandeur peut retirer la demande et il n'a pas été déposé. C'est le retrait de la demande visée à l'art. 148. L'effet du retrait est de produire les effets de la CJ sur les actions affirmées dans le procès. À cet effet, il est nécessaire de trouver nécessaire à la cour, ce qui se fait par une décision interlocutoire.

Traitement. Doivent être traitées selon les règles de l'incident. Dans les 3 jours, la partie adverse doit répondre en acceptant le retrait ou conditionnellement ou dans son intégralité. En tout cas, s'il y a opposition, le tribunal doit décider si oui ou non le procès, ou comment il devrait être pris en charge par la requérante a renoncé. Article 149.

Retrait de la demande reconventionnelle : art. Les 151 se réfèrent à ce point, soulignant que des moyens acceptés sans une déclaration expresse, proposés par le fait, à moins que la partie adverse dans les trois jours de préavis. Dans ce cas, l'incident et traitée comme un échec de réserver la décision finale.

  • b. - L'abandon de la procédure. Est-ce l'effet qui se produit dans la procédure, toutes les parties énumérées dans le procès ont cessé leur poursuite pendant six mois à compter de la date de la dernière décision rendue dans toute gestion utile pour donner la marche progressive de l'actuel (art. 152). La procédure se termine par le simple écoulement du temps lorsque les justiciables ne sont pas appel à leur poursuite dans le délai imparti par la loi.

Conditions d'origine. Il faut les trois conditions suivantes :

  • Dans l'attente de la procédure.
  • Procédure d'inactivité.
  • Temps.

Procédure de droit de faire respecter la baisse : vous pouvez être revendiqué par le défendeur lors du procès jusqu'à ce qu'il obtienne la dernière phrase dans le cas (art. 153).

Façon d'affirmer l'abandon. L'abandon peut être revendiqué par le défendeur par voie d'action ou d'exception, mais dans les deux cas sous réserve de traitement accessoires.

Lorsque l'action est par la défenderesse, demande au tribunal est considérée comme abandonnée parce que la procédure de six mois s'est écoulée sans que les parties aient fait une certaine gestion des mesures supplémentaires.

Soyez par voie d'exception lorsque, ayant fait l'acteur une lettre visant à obtenir d'autres procédures après l'expiration de six mois, l'intimé s'oppose à l'abandon de la procédure, faisant valoir que convergent toutes les conditions pour la déclarer.

Renonciation au droit de l'abandon : Si une nouvelle poursuite, le défendeur n'a pas de gestion de l'intention de s'appuyer sur l'abandon (art.155). La loi présume la renonciation à ce droit ; c'est un cas de renonciation implicite.

Effets de l'abandon. Non, éteint les actions et défenses des parties (art. 156).

Vous perdez le droit de poursuivre la procédure abandonnée ; il ne peut pas appliquer un nouveau procès. Restent les actes et contrats qui sont bien faits. Article 156 Inc.2°.

Essais où ne s'applique pas (art. 157). Ne peuvent être invoqués :

  • La procédure de faillite.
  • Les essais de la division ou de la liquidation des successions, des sociétés ou des collectivités.

Règles spéciales de procédure d'exécution. Cette question est régie par l'article 153 paragraphe 2, conformément à 152 du CPC.

La règle de l'article 153 a été ajoutée par la loi 18 705 et a ensuite été modifiée par la loi 18882 du 20 septembre 1989.

Avant la modification, ne s'appliquait pas dans le carnet d'urgence, l'abandon de la procédure, comme cela a été jugé par C de A et CS à plusieurs reprises.

Avec la modification législative, il ne fait aucun doute que s'applique l'abandon de la procédure dans la procédure d'exécution. Toutefois, dans ce cas, il faut distinguer entre le portable et la contrainte principale portable.

Carnet d'accueil : administration des règles générales établies dans l'art. 152. Il peut invoquer l'abandon de la procédure, par une action ou d'exception, par la course, une fois que les parties énumérées dans le procès ont cessé leur poursuite pendant six mois à compter de la date de la dernière décision rendue dans une gestion utile pour donner effet à la présente progressive.

En ce qui concerne la possibilité procédurale de faire valoir, il court à partir de la notification de l'obligation d'exécuter jusqu'à ce qu'il soit exécuté la sentence. Par conséquent, la possibilité s'étend jusqu'au jour de la date limite de dépôt des défenses ou jusqu'à ce que le jour où la décision devient exécutoire la décision sur les objections.


contrainte portable: Dans ce domaine régit l'art. 153, paragraphe deux (lire).
Les conditions requises pour être donné à l'abandon de la procédure dans cette affaire sont les suivants:
L'inactivité des parties dans le journal de contrainte.
Après une période d'inactivité.
Revendication exécuté par la pression dans le bloc-notes.
la résolution judiciaire qui accueille l'abandon des procédures d'exécution.
Cette négligence peut prétendre une fois qu'elle est rendue la décision finale ou une estimation dans le cas de l'article 472.
L'inactivité des parties doit être fabriqué dans le carnet d'urgence, pour une période de trois ans à partir du livre de gestion des rechutes dernière utiles urgence. Si la gestion est utile de pré-date de la décision finale ou le cas de l'article 472, doit comporter une durée de trois ans à compter de la date à laquelle la sentence a été exécutée ou depuis la date limite de dépôt des défenses.
En ce qui concerne la procédure, il court à partir de la date à laquelle la sentence a été exécutée ou depuis la date limite de dépôt des défenses avant la vente aux enchères des actifs. Si vous êtes mobile, avant même que le commissaire-priseur marchandises. Si vous êtes l'immobilier, quelques minutes seulement avant la vente aux enchères.
c. - De la jonction ou de dossiers, ce sera toujours la suite à traiter séparément deux ou plusieurs processus qui doit être un procès juste et fin avec une seule phrase, pour maintenir la continence, ou de l'unité de la cause.
Délibérations:
1 .- Lors de l'action ou les actions intentées devant les tribunaux sont les mêmes que été déduit dans une autre, ou lorsque l'un et l'autre résultant directement et immédiatement à partir des mêmes faits.
2 .- Lorsque les gens et l'objet ou le sujet du procès sont identiques, même si les actions sont différentes.
3 .- En général, à condition que la peine d'être remis un procès devrait produire l'exception du juge en chef dans un autre.
d. - L'immunité judiciaire de la pauvreté: Ce peut être demandée à n'importe quel stade du procès et même avant son ouverture, et doit toujours être demandé au tribunal de l'approprié ou ne connaissent en première instance de l'affaire qui doit prendre effet.
Être traitées dans un fichier séparé de la demande et a exprimé les raisons. Le tribunal ne donnera pas d'information au crédit, avec seulement la citation de la partie contre laquelle la portée ou a le privilège de plaider
e .- Dans les frais juridiques et personnelles:
Les coûts sont divisés en de procédure et de personnels.
Processus sont ceux exposés dans la formation du processus et il est estimé pour les services dans les frais de justice. Ex récepteurs.
Ils sont personnels Les frais d'avocats et autres personnes impliquées dans les affaires et les défenseurs du public dans le cas de l'art.367 de la COT. La taxe est réglementé appartiennent à la partie en faveur de la condamnation a été décrété à payer les coûts, mais si l'avocat a reçu pour une raison quelconque, sont à la charge qui a été fourni ou à droit. Seuls les frais de justice sont à la charge utile, en éliminant celles qui correspondent à des poursuites ou de procédures inutiles ou non autorisés par la loi, et les actions ou incidents attribués contre l'autre partie. Le tribunal de première instance dans chaque cas, de réguler la valeur du personnel et aussi d'évaluer le processus en vertu de la Loi douanière. Cette fonctionnalité peut déléguer un de ses membres, si un collège, et son secrétaire pour les frais de justice. Taxation des frais fait, et fait connaître aux parties, elle doit être approuvée si elles sont toutes exposées dans les trois jours. Si une partie soulève des objections, le tribunal peut résoudre ou de leur donner à plat sur le traitement accessoire.
Le parti est complètement défait lors d'un procès ou d'un incident, être condamnée aux dépens.
f .- Dans les questions de compétence. Moyens d'inhibition.
Les parties peuvent d'un procès questions tout cas d'incompétence de promouvoir demurrer ou inhibitrices.
Ces deux mécanismes procéduraux sont incompétence demande similaire quant à leur but: Elles ont contesté la cour, mais diffèrent dans leur traitement: un tribunal incompétent et l'autre devant le tribunal compétent à le croire.
Les inhibiteurs: il tente de la cour à qui l'autorité est créée, vous demandant de contacter l'entreprise qui envisage d'être inhibé et renvoyer l'affaire. Si l'appelant cherche à prouver son droit à des documents doit accompagner la demande d'injonction, ou pour que son témoignage.
Un non-recevoir, tirée de la cour qui est censé pas compétence sur une entreprise qui fait l'objet en indiquant ce qui est estimé être responsable et lui demander de s'abstenir de ces connaissances.
g. - Les enjeux et les défis
La déclaration ou l'implication d'un défi où il faut se fonder sur des motifs juridiques doivent être recherchées avant tout la gestion des fonds qui sont pertinentes pour l'entreprise, ou avant de commencer à agir la personne contre qui il est adressé, à condition que la prétendue cause existe déjà et être connu de la partie.
Si la cause est supérieur ou n'est pas venu à l'attention de la partie, devrait proposer dès que vous avez entendu parler de lui. Pas appuyé cette demande, la demande est rejetée si elle est une implication. Dans ce cas, le tribunal peut imposer à la partie qui demande malicieusement a retardé l'implication, d'une amende.
L'implication d'un juge d'un juge unique est invoquée devant lui-même, exprimant les motifs juridiques sur lesquels elle repose et les faits et les approches fondamentales, d'accompagnement ou de fournir les preuves nécessaires et en lui demandant de se récuser de la connaissance de l'entreprise.
La disqualification des entreprises seuls juges et les implications et la récusation des juges sont appliquées juridiction collégiale qui, par la loi, doivent être conscients de ces incidents.
L'implication et le défi de fonctionnaires de niveau inférieur ont affirmé au tribunal que l'entreprise sait que celles-ci doivent intervenir, et si d'autres procédures sont pris en charge quand ils ont besoin fondée sur des motifs juridiques.
Si la cause présumée n'est pas légal ou non sont les faits sur lesquels il est, ou si elles ne sont pas suffisamment précisées, le tribunal rejette la demande de cours. Si ce n'est pas tout à fait les Etats de causalité, et si les faits sur lesquels elle est composée de la cour ou sont accompagnées d'arrière-plan ou d'envoyer automatiquement le tribunal a ajouté, est déclaré sans plus tarder, l'implication ou d'objection.
Si l'implication ou l'objection est rejetée sont des coûts à laquelle la demande et a imposé une amende.
Si plus de 10 jours ouvrables et l'incident paralyser le tribunal officiellement déclarée abandonnée, citant la partie a fait valoir l'implication ou d'objection.


Le procès mesures pré
Concept:
les actes juridiques sont-procès procédures préalables, qui sont destinées à préparer l'entrée à elle, assurer la responsabilité de toute preuve qui pourrait disparaître, ou plutôt d'assurer le résultat même de sinistres futurs.
Celui qui essaie d'obtenir une mesure provisoire devrait indiquer les mesures qui vise à isoler et brièvement ses bases. L'article 287. De cette façon, est des mesures visées dans une certaine garantie de fiabilité. On parle généralement de mesures sont accordées sans entendre la partie contre laquelle elles sont sollicitées, de sorte que le tribunal a accordé ou refusé en fonction de l'application de la demande.
Les exceptions à cette règle
1 .- Lorsqu'on lui a demandé d'inspection défavorable personnel des experts nommés par le tribunal le rapport du même tribunal ou d'un certificat attestant l'agent, s'il ya danger imminent de préjudice ou de blessure, ou lorsque les faits qui pourraient facilement disparaître, devrait être connaissance préalable de la personne à qui il est à poursuivre. L'article 281, et
2 .- connaissances devrait également être accordée à la personne à qui il doit poursuivre à la demande avant l'application, l'examen de ces témoins dont le témoignage, en raison d'incapacités graves, a fondé la peur que peut-être pas reçu en temps opportun. L'article 286.
Caractéristiques
1 .- Le parquet a requis et a été promulguée avant l'existence du procès, pas un procès lui-même, et que le procès aura lieu en général quand il ya un causée par une relation avec sa demande de procédure respectifs le site répondant .
2 .- L'application générale de toute forme de procès. Alors qu'ils sont régis par le procès ordinaire, a jugé à plusieurs reprises qui sont généralement applicables à tous les jugements déclaratifs ou constitutive. En ce qui concerne les cadres du procès débattu de l'opportunité des mesures préliminaires de précaution.
3 .- Aucune notification requise en vertu de l'article 289, à produire des effets, l'une des exceptions à l'article 38 du CPC.
Note:
1 .- le procès mesures pré ou se préparatoires: son but est de préparer l'entrée à l'essai. Ils sont visés à l'article 273 (lire)
Le propriétaire de ces mesures est l'avenir de la requérante, mais le futur défendeur ne peut pas prétendre que ces mesures préliminaires, à l'exception de celles visées à l'article 5 de l'article 273 du CPC.
Mesures de preuve décisions .- 2 sont ceux qui sont destinés à produire des éléments de preuve avant le procès, il y avait des craintes importantes qui disparaissent. Cette loi contribue à la fois le plaignant et le défendeur.
Ces mesures sont réglementées de preuve dans les articles 281, 284 et 286 du CPC.
Ces mesures ne sont pas appliquées 289, car il doit nécessairement être menée connaissance préalable de la partie (demandeur ou défendeur éventuel futur).
décisions relatives à la preuve des mesures établies par le législateur sont:
a. - le personnel du tribunal d'inspection
b. - Rapport d'experts
c. - Certificat du ministre de la foi.
Dans ces trois mesures, le législateur a exigé qu'il y ait un danger imminent de perte ou de dommage ou lorsque les faits qui peuvent facilement disparaître
d. - Acquittement des positions. Pour être en mesure d'adopter cette mesure devrait être une bonne raison de craindre qu'une personne est absente du pays dans un court laps de temps.
e. - Les Témoins de promulguer cette mesure de la preuve doit être bien-fondé de la crainte que le témoignage des témoins ne peuvent être reçues en temps opportun.
Ces mesures peuvent être demandées par les deux décisions de la preuve du demandeur et le défendeur avenir avenir.
3 .- préliminaire des mesures de précaution sont celles qui sont destinées à garantir le bon déroulement de la procédure de réclamation
Ces mesures sont réglementées par les articles 279 et 280 dans le cadre du titre V du livre II, articles 290 à 302 de tous les CPC. Avant d'examiner ces mesures seront d'abord montrer les mesures de précaution.
Mesures de précaution
Concept:
Tous ceux qui sont conçus pour garantir le bon déroulement de l'action.
Les mesures de précaution sont susceptibles d'être ordonnées avant ou pendant le déroulement du procès, mais elles sont indépendantes de lui et traités comme des incidents du même type ou comme des étapes préliminaires.
Objectif:
Le législateur a créé cette institution pour empêcher le contournement de l'issue du procès ou le respect de maquette à la décision.
Caractéristiques:
1 .- peut être commandé dans n'importe quel type de procès et quelle que soit la procédure est soumise, même dans l'exécutif.
2 .- Il est limité à l'actif nécessaire pour répondre aux conclusions du procès.
3 .- Pour demander une injonction ne doit pas avoir répondu à la demande est présente.
4 .- Pour déclarer une mesure de précaution, le demandeur doit accompagner les recettes qui constituent au moins une présomption grave du droit revendiqué. Article 298
5 .- Ils sont essentiellement temporaires, selon les termes de l'art. 301. Par conséquent doit être constamment disparaître si le danger a cherché à éviter ou à donner des garanties suffisantes.
6 .- La liste des mesures de précaution qui font l'art. N'est-ce pas exhaustive-290
Note:
Commune:
ils sont visés à l'article 290 et sont d'application générale.
Les mesures de précaution énumérées à l'art. 290 du CPC
1 .- L'enlèvement d'une chose qui fait l'objet de la réclamation.
2 .- La nomination d'un ou plusieurs inspecteurs.
3 .- Le maintien de certaines marchandises
4 .- L'interdiction des actes ou des contrats pour certains produits.
Spécial: sont établis dans des lois spéciales ou d'autres articles du Code (par exemple, l'art etc. 565, nouvelle suspension des travaux, l'article 684, qui se réfère à l'accès à l'application provisoire dans le résumé d'un procès,)
Extraordinaire: ils sont visés à l'article 298 et la deuxième partie est le tribunal que le décret qu'il juge nécessaire et dans le cas des mesures ne sont pas expressément prévues par la loi et nécessitant en liberté sous caution à l'acteur.
Traitement
Il doit déposer par écrit en conformité avec les exigences communes à tous les écrire, je devrait être individualisée en fonction du demandeur et le défendeur au procès, en précisant la mesure conservatoire requise, si ordinaires, extraordinaires ou spéciales, doit déterminer la propriété sur laquelle se trouvent les mesure de précaution demandé, doit accompagner les recettes qui constituent au moins une présomption grave du droit revendiqué, sauf s'il s'agit d'un cas grave et urgente, et doit également répondre aux exigences spécifiques de chaque mesure de précaution. Si des mesures de précaution sont extraordinaires, le tribunal peut également exiger d'obligations.
Soumis la protestation écrite, le tribunal doit procéder à une étude visant à déterminer son admissibilité.
Grant procédure.
L'opinion de la majorité considère que doit être résolu d'emblée. L'opposition à la mesure accordée peut conduire à un incident, mais s'il n'est pas exercé leurs droits contre la résolution qui ne donne pas lieu à incident. A demandé une mesure de précaution, le juge ne sera accordée ou refusée, mais pas de se référer à la partie.
Nature de la résolution et des ressources.
Conformément à l'art. 158 de la résolution du CPC à être parlée est une voiture, étant essentiellement révocable mesures conservatoires et provisoires spéciales.
Être une voiture, il est venu contre le recours internes et les appels et de subvention.
De l'opposition, la révocation et de levage de précaution
Opposition de l'incident
Comme l'a ordonné, le défendeur peut objet de deux façons:
a. - réexamen recherche et l'allocation d'automobile appel applicable, dans les cinq jours de sa notification. Le remplacement d'échec pur et simple.
b. - peut s'opposer à la mesure après la date limite ci-dessus, tiré de l'illégalité de la mesure et en appelant à l'annulation de la voiture.
Rise
Comme toutes ces mesures de précaution sont essentiellement temporaires, doivent être constamment disparaît si le danger a cherché à éviter ou à donner des garanties suffisantes.
Le traitement de la demande de l'insurrection, sont soumis aux règles de l'incident ensemble.
La résolution est muette sur la montée, il est aussi une voiture, l'appel est accordé dans le seul but de révision. Ensuite, toutefois, le requérant interjeta appel, et regarder l'action, la mesure doit être levée.
De l'extinction
Elle est donnée dans les cas suivants:
Si ce n'est pas accompagnée de pièces justificatives, dans les 10 jours, la mesure prend fin.
Fixation des recettes à la demande de ne pas renouveler l'injonction.
Si une injonction est ordonnée sans préavis et il n'est pas dans les 5 jours.
Le tribunal peut proroger le délai de cinq jours, pour une bonne raison. Cette prorogation doit être demandée avant l'échéance, ce terme inclut l'art. 302 du CPC est mortelle, mais renouvelable.

Mesures de précaution dommageables
Les actes juridiques sont procédure préalable au procès est d'assurer le résultat de la demande qui sera appliquée à l'avenir.
Exigences générales:
1.-commune aux écrits.
2 .- Une déclaration de l'action proposée et brièvement tirent leurs fondements, et
3 .- recettes Side constituer au moins une présomption grave du droit revendiqué
Spécifiques à ces mesures de précaution visées
1 .- Qu'il y sont sérieuses et qualifiées.
2 .- Pour déterminer le montant des biens qui doivent tomber sur des mesures de précaution.
3 .- donne pas caution suffisante ou autre garantie, de l'avis du tribunal, pour répondre des préjudices subis et les amendes infligées.
Ces trois conditions sont copulative.
Le défaut de satisfaire à ces exigences doivent être éliminés par le tribunal, au contraire, si l'on accepte les mesures préliminaires de précaution ne peut être exécutée immédiatement ordonné sans tenir d'audience parce que le défendeur avenir.
C'est au législateur à l'article 280 du CPC a établi que le demandeur doit déposer plainte dans les 10 jours pouvant être prolongée jusqu'à 30 jours et a ordonné à la demande qui est considéré comme une mesure de précaution ordonnée.
Si la demande ne se produit pas dans la mesure expire.
Il peut arriver que le dépôt de la demande de garder la mesure, mais le tribunal estime que la phase d'analyse qui ne tient pas la mesure ordonnée. Dans ce dernier cas par le simple fait du refus du demandeur sera responsable des dommages causés intentionnellement compte tenu de la procédure, créant une responsabilité.


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