Les Libéraux et les Conservateurs en Espagne au Début du XXe Siècle

Avec les libéraux au pouvoir, Alfonso n'a pas accepté leur proposition (Monet), mais n'a pas supprimé le pouvoir et les contraintes imposées sur le pouvoir. Cela a conduit à des mesures contre l'Église et l'armée pour éviter leur mécontentement. La période libérale a été marquée par une recherche d'ouverture sur le plan social et individuel, avec la suppression de la taxe sur la consommation et l'instauration de la conscription universelle pour la guerre. Le gouvernement a tenté de contrôler l'Église, ce qui a provoqué une réaction de Maura.

Concernant le texte, on peut dire que les libéraux, au pouvoir, se sont opposés à la loi de la serrure, qui interdisait la création de nouveaux groupes religieux. Les conservateurs se sont plaints, car ils souhaitaient plus de liberté pour l'Église, comme dans les temps anciens. Le droit des associations, qui remonte à la communauté de sa propre administration, était également contesté par les conservateurs, qui préféraient un État plus centralisé. En conclusion, on peut dire que les libéraux ont favorisé une plus grande ouverture en matière de liberté individuelle, tandis que les conservateurs étaient plus proches de l'ancien régime.

La mort de Canalejas a accentué le décalage entre libéraux et conservateurs. Une grande crise de pouvoir s'est ensuivie, et le roi a ordonné la formation d'un gouvernement de transition. Le Parti conservateur est arrivé au pouvoir, mais d'une manière différente. Son arrivée au pouvoir a continué à produire une crise au sein du jeu politique, et le pouvoir est passé aux libéraux. Cependant, le Parti libéral s'est également divisé en plusieurs factions, de sorte que les deux partis se sont retrouvés dans une situation similaire.

Sur la question militaire, les partis se sont opposés. Les conservateurs ont donné plus de pouvoir à l'armée, notamment en matière de juridictions. Les libéraux étaient contre, et certains militaires ont même proposé un coup d'État contre les libéraux. Ces événements ont abouti à une révolution contre les deux partis et le règne du roi Alfonso XIII. La période s'est terminée par une révolution militaire africaniste menée par Primo de Rivera, qui a apporté une période de plus grande stabilité et a favorisé les militaires et l'Église.

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