Origine et Nature de la Vérité

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Thème 2 : Origine du mot « vérité »

  • En grec « aletheia », qui signifie ce qui n'est pas caché, donc ce spectacle, et le mensonge devient découverte.
  • Le « pseudo » est son contraire, déguisement.
  • Ainsi, la vérité est la découverte grecque de choses, la divulgation de ce qui est.
  • En latin, « veritas » se réfère à l'exactitude et à la précision.
  • En espagnol, véracité, qui est opposée au mensonge ou à la tromperie.
  • En hébreu, « emouna » exprime la vérité.

Un véritable ami est celui avec lequel vous pouvez dire : « Emouna » se réfère à la confiance que quelque chose que nous espérons soit rempli. Ces trois sens différents sont à l'origine du terme.

  • État de vérité : sécurité au sujet de la vérité.
  • Ignorance : l'état d'esprit qui admet l'ignorance au sujet d'un particulier.
  • Doute : la condition que l'on ne peut affirmer ou nier la vérité subjective.
  • Certitude : l'état dans lequel l'esprit affirme la vérité d'un procès sans permettre la liberté d'échouer.

Critères de vérité :

  • Autorité : parce qu'il vient de quelqu'un qui reçoit un crédit pour ses connaissances dans un domaine.
  • Tradition : plus de choses ont été acceptées comme vraies.
  • Correspondance entre la pensée et la réalité : ce que nous pensons est vrai si nous vérifions avec la réalité.
  • Cohérence logique : approche logique-mathématique, qui consiste à vérifier qu'il n'y a pas de contradiction.
  • Utilité : ce sera vrai quand cela est bénéfique et utile pour nous.
  • Preuves : critère clé, qui a été présenté comme indiscutable.

La vérité comme correspondance : Aristote dit que ce n'est pas, ou ce n'est pas, qu'il est faux de dire ce qui est et ce qui n'est pas. La vérité est comprise comme une relation de concordance entre ces deux éléments, ce qui est appelé la correspondance : la corrélation entre ce qui est dit de quelque chose et ce que quelque chose est.

Cohérence : Hegel, est une approche contextuelle, dont rien n'est vrai ou faux, mais chaque connaissance est appelée à rester dans le système de connaissances. Hegel : le vrai est le tout.

Théorie pragmatiste : William James, dans cette théorie, dit que tout ce qui est utile ou pratique est l'adéquation de la vérité. Cela s'entend dans la même direction : ce vélo est adapté pour le moto-cross, dans le sens où il sert un but particulier.

Théorie consensuelle : Peirce, Apel et Habermas insistent sur la nécessité d'un dialogue afin de découvrir la vérité. En effet, quand nous disons que quelque chose est vrai, cela implique que nous avons des raisons suffisantes pour convaincre les autres.

Thème 3 : Ne les valeurs morales universelles nient-elles la possibilité de trouver des valeurs universellement partagées ?

  • Le relativisme moral affirme que les principes de la justice et du bien ne peuvent être trouvés au sein de chaque groupe spécifique et ne sont valables que pour lui.
  • Le relativisme a les positions suivantes :
    • Relativisme culturel : selon les différentes cultures.
    • Contextuel : on ne peut savoir si la proposition est bonne ou mauvaise si l'on considère chaque contexte d'action.
    • Ethnocentrisme : pour justifier la bonté de ceux qui partagent déjà notre mode de vie.

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