Les Principes Aristotéliciens de la Vérité et de l'Éthique

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Aristote déclare qu'il y a cinq façons de rester dans la vérité :

  • 1. La science : elle est capable de montrer des premiers principes.
  • 2. L'intuition : dans la philosophie, elle est considérée comme une connaissance directe des axiomes, et cette connaissance est nécessaire.
  • 3. La sagesse : elle est l'ensemble de toutes les autres manières d'être dans la vérité.
  • 4. La technique : il s'agit d'un savoir produit par des règles, permettant d'apporter quelque chose à l'existence, c'est-à-dire de produire quelque chose, mais pas nécessairement.
  • 5. La prudence : c'est un acte de savoir, elle est subordonnée, mais elle ne s'enseigne pas.

La science et l'intuition forment une connaissance théorique.
La technique est une production de connaissances.
La prudence est une connaissance pratique.
Aristote les appelait les connaissances de trois.
Aristote dit qu'il y a deux sortes de principes ou axiomes :

  • 1. Logiques : selon le principe de contradiction, une proposition vraie et son contraire ne peuvent pas être vraies en même temps. L'autre est le tiers exclu, qui ne peut pas être à la fois.
  • 2. Ontologiques : ceux qui se réfèrent à l'être, mais Aristote dit que l'être se dit de plusieurs manières.

Catégories :

  • 1. Substances : ce qui reste constant, le substrat qui ne change pas. C'est aussi la substance de la proposition, ainsi que la liaison entre la matière et la forme, de sorte que la substance qui en résulte fait son travail.
  • 2. Accidents : ce sont des attributs de la substance qui peuvent changer, mais aussi le fond.
  • 3. Acte : l'être réel, faire, sentir ce qu'elle est, et donc ne nécessite aucun traitement, et en ce sens, est parfait.
  • 4. Puissance : possibilité de ce qui peut être et n'est donc pas encore, mais qui doit changer. Tout pouvoir est un acte, mais pas tout pouvoir est mis à jour au besoin pour rester à jour sur la nature de la substance et le mouvement/changement, et donc la puissance est toujours imparfaite. Les critères pour toutes les catégories est le changement. Aristote dit qu'il y a une cause probable pour expliquer le changement.

Elle est déterminée par le changement, et il y a quatre raisons à cela :

  • 1. Matérielle : ce qui a fait quelque chose, mais à la fin de la dernière période, est la matière première, qui n'est que matière, seulement le pouvoir, inconnaissable (non connu), et éternelle.
  • 2. Formelle : structure ordonnée à une question de transformer une substance.
  • 3. Efficiente : une cause étrangère à la substance qui ne s'applique qu'aux accidents ou qualités.
  • 4. Finale : le traitement des commandes, et donc l'acte, est l'endroit où vous allez changer. Cette dernière cause est la cause tout d'abord.

Aristote explique l'ordre de l'univers. Dans un système connu sous le nom d'hylémorphique, il y a l'union entre la matière et la forme. Ce mélange d'éléments peut inclure des non-vivants (roches) et des vivants (animaux).
La plus haute perfection est la forme pure, qui n'est que la forme, sans matière. Le corps et le peuplier sont des substances uniques, formant un tout unique, de sorte que lorsqu'ils sont séparés dans la mort, aucun être humain n'est connu comme téléologique. Le but de l'homme est de maximiser ses qualités spécifiques, qui sont deux : la raison et la volonté. Cela signifie que l'arête (vertu) est obtenue en développant le plus de ces qualités. Il existe deux types d'arête :

  • 1. L'éthique de la vertu (ethos) : acquise par l'habitude, la répétition des habitudes, constituée de seulement deux extrémités par un cercle vicieux, car elle est passée, et une autre parce qu'elle ne l'est pas.
  • 2. Les vertus de la compréhension (dianoia) : acquises par l'étude. Le plus important de tous est la phronesis (prudence), qui est capable de choisir la bonne chose.

L'homme n'est pas un individu isolé, mais un être social par nature, s'assemblant spontanément. La base est le groupe familial, qui se compose, dit Aristote, du père, de la mère, des enfants, des esclaves et des bœufs.
Le regroupement des familles, le village, n'a toujours pas d'unité politique, mais chaque famille est auto-suffisante. Le syndicat du village de l'éthique se caractérise par une autorité commune, une structure du pouvoir et une division du travail. La fin de l'éthique est le bien-être, mais le bonheur de la communauté et non de l'individu. L'amende maximale est l'autarcie.

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