Réflexions sur la Société, l'Histoire et la Technologie

Black-Blanc-Beur : Mythe ou Réalité ?

Nous sommes à l’ère du concept « Black-Blanc-Beur ». Si l'on écoute les médias, on pourrait croire que la société promeut l'égalité des chances pour tous, qu'ils soient noirs ou blancs. Mais est-ce vraiment la réalité ? Des centaines de jeunes diplômés restent aux portes de l'emploi parce qu'ils ne sont pas blancs, ou parce qu'ils sont issus de l'immigration. Yasmina Benguigui met en lumière des familles où, d'une part, les parents ont fait le voyage vers la France sans jamais trouver l'emploi espéré, et d'autre part, les enfants se voient exclus des emplois auxquels ils postulent pour des raisons de couleur de peau. Le slogan « Black-Blanc-Beur » sonne bien, mais il est loin de refléter une réalité bien française, celle d'un rejet des immigrés et aussi de leurs enfants.

La Bombe Atomique : Hiroshima et ses Conséquences

Paul Tibbets était le premier pilote américain à larguer la première bombe atomique sur Hiroshima. Le bombardier Superfortress B-29 était l'avion qui largua la première bombe atomique de l'humanité. Avant de larguer la bombe atomique sur Hiroshima, un test nucléaire avait été effectué un mois plus tôt dans le désert du Nouveau-Mexique. Le 31 juillet 1945, le président Harry Truman donna l'ordre de bombarder Hiroshima.

Les Américains disposaient de deux bombes : Fat Man et Little Boy. Little Boy était une bombe d'environ 4 tonnes. À 2h45, l'Enola Gay décolla, non sans rencontrer des problèmes dus au poids de la bombe. À 8h15, la bombe fut larguée. Pour survivre à l'explosion, l'avion dut s'éloigner de 12 km. Les militaires observèrent un énorme « champignon » de couleur pourpre. À leur retour, l'enthousiasme était général, car l'utilisation de la bombe atomique devait aider à mettre fin à la Seconde Guerre mondiale. Little Boy provoqua la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Les survivants de la bombe atomique d'Hiroshima regrettent que Paul Tibbets n'ait jamais demandé pardon.

L'iPod comme Antisèche : Un Défi pour les Enseignants

Des enseignants américains s'inquiètent des fraudes commises à l'aide de baladeurs numériques, tels que les iPods, qui permettent d'enregistrer des réponses à l'avance et de les écouter discrètement pendant l'examen pour les retranscrire sur la feuille.

Le personnel enseignant étant souvent moins habitué aux technologies numériques que les élèves, l'utilisation de baladeurs pendant les examens est désormais interdite par le règlement dans de nombreuses universités. La sanction pour fraude peut aller de l'interdiction temporaire à l'exclusion définitive.