La Salud y la Enfermedad: Definiciones y Tipos

 L’Organisation  Mondiale de la Santé en donne une définition qui n’a pas changé depuis 1046 : Selon la constitution de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), o la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas  seulement en une absence de maladie ou d'infirmité . Généralement, la maladie se définit comme une entité opposée à la santé, dont l'effet  négatif est dû à une altération ou à une désharmonisation d'un système à un niveau  quelconque (moléculaire, corporel, mental, émotionnel…) de l’état physiologique ou  morphologique considérés comme normal, équilibré ou harmonieux.Selon leurs causes on pourrait faire deux grands groupes : les maladies infectieuses et les  maladies non infectieuses.Maladies infectieuses : les maladies infectieuses sont causées par la transmission d’une  bactérie, d’un virus, d’un champignon ou d’un parasite. Une maladie infectieuse peut être  bénigne : rhume, infection urinaire, herpès, grippe, etc... ou plus graves. C’est le cas du Sida  ou VIH, d’un staphylocoque ou d’une pneumonie. Maladies non infectieuses : les maladies non infectieuses ne se transmettent pas d’une  personne à une autre. Ces pathologies sont causées par certains facteurs allant des  prédispositions héréditaires au mode de vie des patients. Parmi les pathologies non  infectieuses, l’on retrouve par exemple la mucoviscidose, le rhume saisonnier allergique,  les anomalies glandulaires comme l’hypothyroïdie, ou encore le diabète.  Les maladies infectieuses  Ainsi on dit une épidémie à l’apparition rapide d’une maladie infectieuse et contagieuse qui  touche un groupe de population de façon importante.  L’endémie, au contraire, est la persistance dans une même région d’une maladie  particulière, La pandémie est une grande épidémie qui touche presque tous les habitants d’une même  région, voir du monde entier. Les agents pathogènes    Un agent pathogène (du grec pathos qui signifie « souffrance ») est un facteur  exogène (origine environnementale) ou endogène (origine interne à la personne)  qui provoque une maladie.  Les bactéries sont des microorganismes unicellulaires. On peut traiter les maladies  bactériennes avec des antibiotiques. Des maladies causées par des bactéries sont la  tuberculose, la diphtérie, le tétanos, certaines méningites, certaines gastro-entérites… - Les virus sont des microbes beaucoup plus petits que les bactéries. Ils ne peuvent survivre  qu’à l’intérieur d’une cellule vivante. bv  ). Les antibiotiques sont, par contre, inefficaces. Des maladies causées  par des virus sont les hépatites, la poliomyélite, certaines gastro-entérites, la rougeole,  certaines méningites, le sida, la varicelle, Covid-19… Les champignons : les maladies dues aux champignons sont appelées mycoses. On peut traiter les mycoses avec des antifongiques. Des maladies causées par des champignons sont le  pied d’athlète et les teignes.  Les parasites sont des organismes plus ou moins agressifs. Ils envahissent le corps en tout  ou en partie.Il faudrait parler d’une part des protozoaires, organismes unicellulaires comme les amibes  qui produisent la dysenterie amibienne, D’autre part on parlerait des parasites pluricellulaires comme les vers ou les arthropodes.  Des maladies causées par des parasites sont la gale, la pédiculose, l’infection par le ver  solitaire, l’oxyurose…3. La contamination par les micro-organismes Les micro-organismes sont omniprésents dans notre corps et dans l’environnement  extérieur. Les micro-organismes non pathogènes désignent les microbes non dangereux  pour la santé. La plupart des microbes ne sont pas dangereux. Certains sont même bénéfiques pour notre santé, notamment (sobre todo) dans notre tube digestif. Certains microbes, en revanche, sont pathogènes, c’est-à-dire qu’ils peuvent provoquer  une maladie. Pour provoquer une maladie, les micro-organismes doivent passer dans notre corps, par la  peau, ou les muqueuses. Ils peuvent passer par la peau lors d’une blessure ou d’une  altération de celle-ci. Ils peuvent passer par las muqueuses digestives (siingère un  aliment contaminé), par les muqueuses nasales, buccales, génitales, etc.  Contamination. Lorsqu’un microbe arrive à pénétrer dans le corps, on parle de  contamination. La réponse immunitaire lente est souvent accompagnée de fièvre et d’un gonflement des  nœuds lymphatiques. Elle fait intervenir des cellules immunitaires de deux grands types :  les lymphocytes B et les lymphocytes T.  Les lymphocytes B permettent la lutte contre les infections bactériennes.o Un anticorps est une protéine synthétisée par les lymphocytes B capable de  reconnaitre spécifiquement des parties des bactéries.

Les lymphocytes T permettent de lutter contre les virus. Les lymphocytes T repèrent les  cellules infestées par un virus, grâce aux fragments viraux présents à leur surface. Une fois  la cellule repérée, le lymphocyte T va la détruire en produisant des molécules qui vont  provoquer sa mort. Après avoir rencontré un micro-organisme, certains lymphocytes deviennent des  lymphocytes mémoire, et restent dans le corps très longtemps. Si le même microbe  contamine le corps à nouveau, ces lymphocytes mémoire agiront plus vite et en plus grand  nombre. On parle alors de mémoire immunitaire, car le corps est capable de mémoriser les  micro-organismes l’ayant déjà infecté, pour pouvoir mieux se défendre, s’il est amené à le  rencontrer à nouveau. z5. Prévenir et soigner les infections Chaque individu peut limiter les contaminations en appliquant des mesures d’hygiène  comme se laver les mains régulièrement et de manière efficace. De plus, en cas de plaie, des infections peuvent être évitées en appliquant de  l’antiseptique. Comme ça, on désinfecte la plaie. o Un antiseptique est une substance qui permet d’éliminer les micro-organismes dans  l’environnement ou sur la peau. Une infection peut également être combattue grâce à la prise d’antibiotiques adaptésqui  permettent de lutter contre les bactéries.Chapitre 2 : La santé et la maladie Les antiseptiques et les antibiotiques sont deux choses différentes. Un antiseptique vise à  éliminer tous les micro-organismes sans distinction, et n’est qu’à usage externe. Les  antibiotiques, quant à eux, visent un population de bactéries spécifique, et peuvent être  administrés sous diverses formes (piqures, comprimés). Un antibiotique est une substance qui détruit les bactéries ou ralentit leur  croissance. Cependant, pour qu’ils fassent effet correctement, il est nécessaire de prendre tous les comprimés prescrits par le médecin. Si on arrête le traitement d’antibiotiques avant la fin  de l’ordonnance, certaines bactéries peuvent devenir résistantes à l’antibiotique, c’est la  résistance bactérienne. La résistance bactérienne est un phénomène très dangereux,  parce qu’elle rend difficile le traitement des infections. C’est pourquoi il faut utiliser les  antibiotiques de manière raisonnable, et bien suivre les indications de son médecin. La vaccination permet de prévenir les infections. La vaccination consiste en une injection  de micro-organismes inoffensifs, ou des certaines parties de ces microorganismes, pour  que notre corps mette en place une réponse immunitaire mémoire, effective à long terme. De plus, la vaccination est également un acte de prévention collective, car elle permet, en  plus de ne pas tomber malade, de ne pas transmettre la maladie. On protège ainsi une  population entière, et non pas un seul individu. Ainsi, en vaccinant une personne peu sensible à une maladie, on évite de transmettre cette  maladie à une personne plus vulnérable, comme un enfant ou une personne âgée. Le choix  individuel s’inscrit de cette manière dans une politique collective.  Il en est de même pour tous les actes de prévention à l’échelle individuelle. Si chaque  individu fait bien attention à limiter les risques de contamination, les risques à l’échelle  collective sont diminués. En se lavant les mains, on évite de transmettre des microbes aux  personnes qui nous entourent.  6. Les maladies non infectieuses Ce sont des affections survenant sans transmission, ne se transmettent pas d’une  personne à une autre. Ces pathologies sont causées par certains facteurs allant des  prédispositions héréditaires au mode de vie des patients.Certaines affections non transmissibles prennent des formes chroniques. Ces troubles  démontrent une évolution lente.  es principaux types de maladies non transmissibles sont : - les maladies cardiovasculaires (accidents vasculaires cardiaques ou cérébraux), - les cancers,  les maladies respiratoires chroniques (comme la broncho-pneumopathie chronique  obstructive ou l’asthme),  le diabète.  Les facteurs de risque tel que les antécédents de la personne, le mode de vie et  l’environnement sont connus pour augmenter les probabilités de développer certaines  maladies non-transmissibles. Ils incluent : l’âge, le sexe, la génétique, l’exposition à la  pollution atmosphérique, les conduites comme le tabagisme, la diététique et l’inactivité  physique, qui peuvent mener à l’hypertension artérielle et à l’obésité, etpuis une  augmentation du risque des MNT. La plupart des MNT sont considérées comme pouvant être prévenues parce qu’elles sont  causées par des facteurs de risque modifiables. 

7. Habitudes saines de vie Au long des différents chapitres on a déjà parlé des différentes habitudes saines de vie,  selon les appareils et systèmes étudiés. Ici on va compiler les plus importants et générales. 1. Boire de l’eau en quantité suffisante (1,5 à 2 litres par jour). 2. Équilibrer les repas, selon la pyramides des aliments. Il faut éviter l’excès de  graisses saturées, les sucres raffinés, limiter le sel. Privilégier les légumes et les  fruits. Manger seulement ce qui est nécessaire. Consommer des fibres.  3. Faire de l’exercice. Une activité physique modérée mais régulière. L’activité  physique fait travailler les muscles mais aussi le cœur et les poumons. Essayer de  maintenir une bonne posture. 4. Eviter le stress si possible.  5. Ne fumer jamais et ne pas boire de l’alcool. Éviter aussi d’autres drogues