El Siglo XVIII: Historia y evolución de las ideas

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Le XVIII siècle. L’histoire et l’évolution des idées.

Le XVIII siècle français est un siècle de transition, recherche et tradition.

En la politique de l’Ancien Régime à la Révolution.

Art et littérature on abandonne le classicisme pour la sensibilité préromantique.

Les sciences et les idées : la recherche mène à des expériences et des projets nouveaux.

La curiosité philosophique : remise en cause des bases morales et des institutions sociales.

Effervescence qui touche les hautes classes de la société quelques nobles et grands bourgeois qui ont de l’instruction et du temps pour réfléchir.

En dépit de la proclamation de nouveaux idéaux de la croyance au progrès (XVIII : le siècle des Lumières) la France reste un pays rural, traditionnel et inégalitaire.

Une France encore traditionnelle.

1. Un royaume de paysans

À la mort de Louis XIV : 19 millions d’habitant

Sous Louis XVI : 26 millions. La France = le pays le plus peuplé d’Europe.

Population essentiellement paysanne

Les campagnes ne connaissent pas la misère

L’agriculture : traditionnelle et mal équipée mais prospère

2. Le blocage industriel

L’industrie n’est pas encore moderne comme celle de l’Angleterre

Il n’y a pas d’habitudes capitalistes

Libre circulation des biens entravée par les particularismes locaux (paysans qui s’attache à leur tradition)

La noblesse méprise l’entreprise

Travail = indigne. Ils refusent tout travail productif

La bourgeoisie investit dans des entreprises sûres l’agriculture, le commerce et l’immobilier.

Embryon d’industrie : le textile et la métallurgie

3. Une bourgeoise impatiente

Le clergé — 1% de la population

La noblesse — 2% de la population

La majorité — des paysans

La bourgeoise — la classe montante

La petite bourgeoise : petits commerçants, médecins, professeurs, avocats.

Ils vivent surtout dans les villes et ils ont de l’instruction

Ils lisent et ils prennent conscience de leur valeur

Représentants du peuple pendant la Révolution, et députés des assemblées révolutionnaires

Les grands bourgeois = banquiers, riches commerçants

Ils font du commerce avec les colonies

Parfois plus riches que les nobles

Désir de prestige social et de pouvoir politique en accord avec leur importance réelle

Ils critiquent la société des privilèges dus à la naissance, même si au fond ils désirent devenir nobles

Ils ont lu les philosophes, et demandent une participation plus active aux affaires de l’État, une organisation plus juste et plus efficace de l’administration et des impôts.

Ils accueillent les penseurs modernes dans leurs salons, et ils sont les plus ouverts aux idées des Lumières, car ce sont eux qui ont les plus intérêts

Le siècle des Lumières

Deux étapes dans l’évolution de la pensée

Points de repère

-1750 = 1º Discours de Rousseau

-1751 = parution premiers vols Encyclopédie

Avant 1750 : période de formation de l’esprit critique

Après 1750 : les écrivains deviennent des adversaires de toutes les traditions

Période de la lutte philosophique

L’esprit philosophique manque la pensée du XVIII siècle, sous l’influence de l’Angleterre : en avance sur tous la plans

Religieux, politique, économique

2. Un esprit nouveau : les philosophes et la raison.

XVIII = siècle des philosophes : maintenant les écrivains s’occupent moins de l’esthétique que de problèmes philosophique

À l’origine de ce mouvement philosophique = 3 précurseurs : Descartes, Pierre Bayle, Fontenelle

Le mot philosophe = sens très particulier

-Ce n’est pas un sage qui médite sur le monde

-C’est un militant qui s’oppose à tout ce qui st irrationnel

Encyclopédie : « Le philosophe est donc un homme qui agit en tout par raison »

Conflit de la confiance dans la raison avec la foi religieuse

Le philosophe préfère les lumières de la raison pour se guider

Mot « lumières » résumé au domaine religieux, à la grâce divine

Il s’applique maintenant à l’activité intellectuelle de l’homme

Le philosophe tente de remettre en question tous les préjugés politiques et religieux

Ils deviennent militants pour reprendre les idées de liberté, tolérance, progrès

Il veut être utile à la société

Ce qui reste de la littérature du XVIII dans son ensemble : son côté combattant et d’opposition.

3. L’idée de liberté

Diderot : « Chaque siècle a son esprit qui le caractérise ; l’esprit du nôtre semble être celui de la liberté » siècle de lumière

On peut le constater dans tous les domaines de la vie

Du point de vue des mœurs

-le philosophe = assimilé à un libertin qui ne respecte rien

Diderot droit au divorce

Marivaux et Mme de Lambert des défenseurs de la condition féminine

Diderot et Rousseau : abolition de l’esclavage etc…

Du point de vue linguistique

-Recherche dans la littérature anglaise d’un modèle d’une « langue libre »

La langue = Un rôle politique : pour qu’un peuple soit libre, il doit parler une langue qui ne soit pas servile

Du point de vue religieux : liberté est synonyme de tolérance

Toutes ces prises de position en faveurs des libertés : à partir d’une observation dans préjugés de la Nature, à la manière des sciences

L’essor de sciences

L’attitude du philosophe du XVIII : comparable à celle du scientifique

Littérature et science ne sont plus deux domaines séparés

Les grandes découvertes scientifiques enthousiasment les philosophes

Époque de Newton et la théorie de la gravitation

On invente le thermomètre ; on perfectionne la machines à vapeur etc…

La science est à la mode

Les conversations des salons autour des découvertes et des expériences scientifiques

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