Les procédures de l'interpellation dans le discours de Victor Hugo

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Les procédures de l'interpellation:

  • D'une part, les exclamations soulignent l'émotion du moment: "...l'abolition de la misère!" (II, 26-28).
  • D'une autre part, la question oratoire avance l'interprétation qui doit être acceptée par l'auditoire: "et vous commenceriez par lui dérober, à ce Dieu, ...le droit de vie et de mort?" (I, 12-13)
  • Finalement, l'apostrophe manifeste l'urgence de l'action: "eh bien, songez-y" (I, l.4).

Des fois, certaines énumérations affichent un rythme ternaire qui intensifie l'émotion du discours: "l'abolition pure, simple, définitive, de la peine de mort" (I, l.27), "à ce grand but, à ce but magnifique, à ce but sublime, l'abolition de la misère" (II, l.27-28).

Hugo choisit un niveau de langage soigné farci de noms abstraits (civilisation / barbarie).

L'ampleur et le caractère solennel du discours est perceptible dans des nombreuses énumérations (« l'irrévocable, l'irréparable, l'indissoluble »).

L'implication de l'orateur:

  • En ce qui concerne le premier discours, Hugo se montre dans les trois derniers paragraphes.
  • Même si la première personne est présente dans tout le deuxième discours, elle se montre davantage dans la clôture du texte.

Les procédures de l'interpellation:

  • D'une part, les exclamations soulignent l'émotion du moment: "...l'abolition de la misère!" (II, 26-28).
  • D'une autre part, la question oratoire avance l'interprétation qui doit être acceptée par l'auditoire: "et vous commenceriez par lui dérober, à ce Dieu, ...le droit de vie et de mort?" (I, 12-13)
  • Finalement, l'apostrophe manifeste l'urgence de l'action: "eh bien, songez-y" (I, l.4).

Des fois, certaines énumérations affichent un rythme ternaire qui intensifie l'émotion du discours: "l'abolition pure, simple, définitive, de la peine de mort" (I, l.27), "à ce grand but, à ce but magnifique, à ce but sublime, l'abolition de la misère" (II, l.27-28).

L'anaphore contribue à renforcer la solennité des idées: « je dis… je dis…je dis » (l. 15-17).

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